gille1230
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C'est vrai que c'est triste de le voir en 2... Mais quand on voit toutes les resto, la partie plate forme centrale du châssis est systématiquement remplacée car pourrie vu la faible épaisseur des tôles. N'ayant que ce tracteur comme engin de levage , j'ai préféré sacrifier quelques tôles et quelques câbles pour pouvoir avancer. Je poste la suite bientôt ;-)
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C'est bien un tambour qu'on voit sortir de l'eau... Après avoir levé un peu à gauche, un peu à droite... Craque, le chassis se croque... je tente donc le tout pour le tout et après avoir levé l'avant au maximum, je décide de le tirer avec le tracteur, l'arrière du chassis étant inaccessble. Voir vidéo : Verdict... 2 morceaux
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Ayant à disposition plusieurs accessoires pour le tracteur, je décidais d'utiliser le bras de la fendeuse de bûches +- 1,5 m de long directement fixée au système de relevage pour dégager la partie avant du chassis.Mais une fois l'ensemble solidement attaché, on met la sauce... et RIEN, ça ne bouge pas d'un poil. Merde, le relevage ne semble pas assez puissant. Après deux, puis trois essais, je dois changer de technique. Voir vidéo : http://youtu.be/sg8TFBEvOzc
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Le 26 octobre 2013 je me décidais enfin de tenter de sortir le chassis du sol, mais vu l'état général de l'engin je me résignais à ne pas louer de grue ni d'hélicoptère pour le "sauvetage", il me fallait cependant un engin capable de "lever et tirer". Mon beau-père, tout content de pouvoir sortir son tracteur est venu en renfort. accroché solidement par une chaine, l'idée première était d'utiliser le relevage du tracteur pour lever le chassis d'un petit mètre.
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Je suis content de cet engouement... Si quelqu'un qui passe par ce poste a une photo d'une plaquette d'un combi belge identique à celle-ci avec la date de fabrication en bas à droite... mais en bon état, je suis intéressé, comme ça je saurai si les chiffres que je voit au dessus font partie du numéro de chassis ou d'un autre numéro quelquonque.
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Personne n'avais encore demandé... mais comment sait-il que c'est un barn de 1954 ??? Dans un premier temps je me basais sur l'année potentielle de l'ensevelissement...Sachant qu'en 1968 ce combi était déja sous terre, je me suis dit que son ex-propriétaire ne l'aurait pas enterré si il avait eu environ 5 ans... je me doutais donc qu'il devait s'agir d'un barn, mais étant plus connaisseur de cox que de combi, les morceaux visibles ne me permettaient pas de dater ce chassis avec certitude... ce fut chose faite losque d'un coup de truelle, je sorti de terre la plaquette d'identification de l'importateur belge anciennement "D'Ieteren frères" reprenant la date de fabrication, du moins, on devine en bas à droite que les chiffres 54 sont la fin de 1954... Malheureusement, le numéro de chassis, lui, se fait plus discret, j'espère retrouver un morceau où il sera lisible... un jour
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Voici une des tôles enterrées qui malgré 40 années passées sous terre présente encore pas mal... Je n'ai pas encore su la dégager. Si en voyant le renfort, quelqu'un sait de quel morceau il s'agit... je suis preuneur... et le code couleur ? a côté, on voit le bout du pare-choc avant... lui est dans mon garage à présent
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Merci pour vos commentaires, ça me fais plaisir de voir qu'il n'y a pas que moi qui m'excite devant ces vestiges rouillés... Car lorsque j'en parle à des "non-initiés", ils me prennent pour un malade... Pour en revenir au combi, je me suis bien vite rendu compte que la caisse n'était plus sur le châssis car les tôles que je mettais à jour étaient celles du plancher et comme on le voit aussi au niveau du moteur, le châssis était "à l'endroit". Et même si mon rêve de départ de sortir un combi complet du sol avec seulement quelques bosses sur le toit disparaissait petit à petit de mes pensées... je continuais à creuser, mais pour le bien de mon ménage, je me résignais à ne creuser que quelques heures par week-end, le temps passant vite et les saisons changeant également rapidement, le mauvais temps est rapidement venu jouer les trouble-fête... Suite des photos : Mon petit matériel Le châssis Un peu de compagnie quand même
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Voici l’histoire d’un Barndoor de 54’ (du moins de morceaux de Barndoor) qui n’aurait jamais du revoir la lumière du jour… Tout commence dans les années 50-60 alors qu’un bruxellois avide de dépaysement extra-urbain décida de s’offrir un petit terrain boisé dans la campagne brabançonne belge. Rapidement il y vint avec son Combi VW qu’il finit par laisser sur le terrain pour s’en servir de « caravane ». Quelque années plus tard, probablement aux alentours des années 66-68, la commune entrepris des travaux dans le village et notre bruxellois, en ayant assez de son terrain pentu demanda aux ouvriers s' ils ne pouvaient pas amener la terre et les briquaillons sur son terrain pour le niveler au même niveau que la route. Le combi qui était déjà immobile depuis plusieurs années et en piteuse état fut alors enfuis dans les remblais, le bonhomme ayant désormais les moyens de s’offrir une belle et grande caravane résidentielle… 40 ans plus tard, autour d’un bon repas de famille, beau papa, sachant l’intérêt que je vouais aux anciennes Volkswagen cox et dérivés, me raconta l’histoire du combi qui avait été enterré sur le terrain a coté de chez son frère. Comme tout fan de VW qui se respecte (voir peut être un peu plus dingue que la moyenne) je devais me renseigner à se sujet et je me promis de partir, un jour, bèche à la main, à la recherche de ce combi. Des projets familiaux et immobilier m’ayant poussés à retarder cette aventure de quelques années, je décidais, en été 2013 de me lancer dans « l’aventure ». Après renseignement pris, je pu me faire une idée plus ou moins précise de l’endroit ou avait été enseveli le véhicule mais j’appris aussi qu’il avait été écrasé pas un engin de chantier… Mais dans ma petite tête d’aventurier, il en fallait bien plus pour me décourager. Je me mis donc à creuser fin du moi de juillet sous un soleil de plomb la terre du terrain qui a présent étais devenu un bois… Premier trou… rien, deuxième trou…toujours rien a part des pavés et des cailloux… Troisième trou… Toc, toc… une tôle ! Place aux photos du premier jour : L'endroit en question : les sapins et buissons rendent l'accès difficile :