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La Saab 90 est un modèle d'automobile fabriqué par Saab entre 1984 et 1987, en version coupé 2 portes, à 25 378 exemplaires. Construite en Finlande à Uusikaupunki par Saab-Valmet, actuelle Valmet Automotive, ce coupé a la particularité d'avoir fusionné l'avant de la Saab 99 et l'arrière de la Saab 900 berline tricorps, sous l'œil professionnel du designer industriel Björn Envall. Posée sur des roues de 15 pouces à freins à disque avant et arrière, elle s'anime d'un classique moteur 2.0 litres huit soupapes Saab H à carburateur, développant jusqu'à 100 ch (73 kW) transmis aux roues avant par une boîte manuelle à 4 ou 5 rapports. La conception des sièges de soupape permet d'accepter, dans son réservoir de 63 litres, de l'essence sans plomb. [2] Confortable, sécurisante, robuste et très fiable, ce véhicule était particulièrement adapté au climat du Nord. Saab 90 Lumikko [modifier] En 1985 le concessionnaire Saab finlandais Scan-Auto lance la production d'une série spéciale désignée Lumikko, nom finnois pour la fouine des neiges, à la suite du concours organisé par un magazine de compétition automobile. L'objectif était de proposer une voiture de série améliorée à moindre coût. Sans aucune modification du moteur de série, la Lumikko se présentait en robe blanche avec le kit Airflow de Saab (jupes, bas de caisse et aileron arrière), les jantes à trois branches Aero, un kit stéréo amélioré Saab, des sièges chauffants automatiques et le toit ouvrant de la Finlandia. Rétroviseurs et poignées de portes étaient également peintes en blanc. Cette série n'a été produite qu'à exactement dix exemplaires, il n'en reste actuellement que trois en état de fonctionnement, au sein du club Saab finlandais[
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La Saab 99 est un modèle d'automobile fabriqué par le constructeur suédois Saab entre 1968 et 1984. Dessinée par Sixten Sason, elle affichait un Cx de 0,37 et fut déclinée en berline 4 et 5 portes, ainsi qu'en coupé 2 et 3 portes. Présentée à la presse le 22 novembre 1967, elle entra en production à l'automne 1968.[1] Cette voiture fut la première Saab à inaugurer le classique moteur « Saab H » de 2 litres, dont plusieurs évolutions seront encore utilisées sur les Saab 9-3 de première génération. Il s'agissait à l'origine d'une adaptation du moteur Triumph Slant-4, celui qui animait la Dolomite, pourvu d'un carburateur Zenith-Stromberg CD développé pour l'occasion. Triumph ne cessera d'en augmenter la cylindrée, passant de l'originel 1.5 litre au 1.7 litre disponible en version injection électronique dès 1970, jusqu'à 1.85 litre à carburateur ou injection à partir de 1971. Saab, qui se chargera ensuite personnellement du développement du moteur, la portera définitivement à 2.0 litres en 1972 avec le début des moteurs B. La 99 version turbo commercialisée en 1978 effaçait le 0 à 100 km/h en 8,9 secondes, quand la version à injection se contentait de 11,6 secondes. Particularité technique : le frein à main agissait sur les roues avant. Motorisations [modifier] * 1.7 à carburateur - 1 709 cm3 - 80 ch (59 kW) * 1.7i à injecteur Bosch EFI - 1 709 cm3 - 87 ch (64 kW) * 1.85 à carburateur - 1 854 cm3 - 86 ch (63 kW) * 1.85i à injecteur Bosch EFI - 1 854 cm3 - 95 ch (70 kW), 103 ch (76 kW) * 2.0 à carburateur - 1 985 cm3 - 100 ch (74 kW), 108 ch (79 kW) avec double carburateur * 2.0i à injecteur Bosch Jetronic - 1 985 cm3 - 110 ch (81 kW), 95 ch (70 kW) * 2.0t - 1 985 cm3 - 143 ch (107 kW) Modèles [modifier] * EMS : sorti en 1972, l'EMS (Electronic Manual Special) était un modèle sportif disponible uniquement en version 2 portes. Elle bénéficiait d'une suspension renforcée et d'une peinture métallisée argent. Le moteur de 1 985 cm3 délivrait 108 ch et permettait une vitesse maximale de 170 km/h. * SSE : vendu aux États-Unis pour satisfaire la demande alors que l'EMS n'était pas disponible là-bas. La SSE arborait un toit en vinyle noir et proposait une transmission automatique. * X7 : sorti en 1973. Un modèle très basique commercialisé uniquement en Suède et au Danemark. * L : Luxe. Un modèle sorti en 1973 avec le moteur 1.85 litre. * GL : Grand Luxe. * GLE : Grand Luxe Elegant/Extra, sorti en 1976. La version la mieux dotée avec un moteur à injection, la direction assistée et une transmission automatique. * GLs : Grand Luxe Super. Identique à la GL mais avec un double carburateur lui procurant 108 ch au lieu de 100 ch. * Turbo : sorti en 1978. Avec un moteur de 2.0 litres turbocompressé et une carrosserie 3 portes. Elle était disponible en rouge, argent et noir. * Finlandia : une version limousine de la GLE avec un châssis rallongé de 20 cm sortie en 1977 et commercialisée uniquement en Finlande.
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La Saab 96[1][2] est un modèle d'automobile fabriqué par Saab entre 1960 et 1980. Ce coupé 2 portes basé sur le châssis de la Saab 93 a été dessiné par Sixten Sason. La 96 a d'abord été motorisée par un deux-temps de 740 cm3 à trois cylindres, développant 28 kW. Dès 1963 la cylindrée du moteur sera augmentée à 841 cm3 pour une puissance de 30 kW, avec toujours trois carburateurs[3]. En 1967 le coupé adoptera aussi le V4 de la Ford Taunus, un 4 cylindres de 1 498 cm3 à 8 soupapes, développant jusqu'à 48 kW. Pour les deux moteurs, plusieurs évolutions tendant à augmenter la puissance seront réalisées. La particularité de la 96 consiste en la présence d'un double circuit croisé de freinage — un circuit indépendant opérant sur les roues avant-gauche et arrière-droite, un autre opérant simultanément sur les roues avant-droite et arrière-gauche — , et d'une colonne de direction déformable en cas de choc frontal. Comme sur les premières Saab, la masse du véhicule est portée à 60 % sur le train avant, afin de favoriser une tendance naturelle à compenser les dérapages. Un peu plus tard, Saab développera une version break sous le badge 95, nommée Estate, à 3 portes avec la possibilité de déployer une seconde banquette arrière pour deux enfants, en position opposée[4]. thumb Saab Le véhicule sera engagé dans sa version 96 principalement mais aussi dans la version 95, le break, avec succès en rallye, grâce notamment au pilotage d'Erik Carlsson. Celui-ci[5] se permit d'arriver 4e au Rallye Monte Carlo de 1961 au volant d'une Saab 95. La version Monte Carlo de la Saab 96 reste très prisée aujourd'hui par les collectionneurs (sans doute moins de 1000 ex. construits). Un total de 527 241 Saab 96 aura été produit, toutes motorisations confondues. En 1967 le moteur V4 de Ford fut utilisé pour animer la Saab 96. Il s'agissait d'un moteur quatre-temps 4 cylindres en V (V4) de 1 498 cm3, initialement développé pour la Ford Taunus 12M en 1962. Les moteurs V4 ont d'abord produit 55 ch (48 kW) puis 65 ch (48 kW) à partir de 1977-1980 (suivant les marchés), permettant à la voiture d'atteindre les 100 km/h en 16 secondes. Moteur préparé pour la compétition Saab équipera rapidement ses voitures de rallye de ces nouveaux moteurs préparés par le service competition de Trollhättan. Les moteurs furent alésés à 1 600 cm3 puis à 1 825 cm3, alimentés par deux carburateurs double corps. Les versions les plus pointues se montraient capables de développer plus de 170 ch.
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La Saab Formula Junior est un modèle d'automobile de course fabriqué par Saab en 1960, destiné à courir en Formule Junior. Avec l'apparition de la Saab 96 et son nouveau moteur sport[1] de 841 cm3 deux temps, Saab souhaita pouvoir expérimenter plusieurs innovations mécaniques avant de lancer les versions sportives de sa gamme. Ainsi la marque s'engagea-t-elle à l'automne 1960 dans la course automobile Formule Junior, avec la voiture de course Saab Formula Junior. La première présentation des voitures eut lieu en Suède au circuit de Gellerås[2] à Karlskoga, puis en Finlande au circuit de Djurgårds (Eläintarhanajot). Contrairement à ses concurrentes, la Saab se constituait d'une monocoque autoporteuse en aluminium, avec un nez en fibre de verre enveloppant le trois cylindres horizontaux deux temps de 950 cm3 (cote de réaléase maximum du moteur de 841 cm3). Le moteur développait jusqu'à 86 ch transmis au train avant par une boîte manuelle à trois rapports. Mais avec sa tendance marquée au sous-virage, due à une répartition des masses de 70-30 %, et son manque de puissance, la voiture ne brilla pas en compétition malgré l'effort des pilotes Erik Carlsson, Carl-Magnus Skogh et Gösta Karlsson. Elle ne termina pas mieux qu'en quatrième position puis quitta la compétition en 1961 après deux saisons.[3] L'expérience très courte aura tout de même permis à Saab d'enregistrer quantité de données importantes pour le développement de ses moteurs. La seule voiture encore en état est exposée au musée Saab de Trollhättan. Résultats [modifier] 1960 * Djurgårdsloppet, Finlande o 4ème place: Carl-Magnus Skogh o 5ème place: Erik Carlsson 1961 * Västkustloppet, Suède o 2ème place: Erik Carlsson o 3ème place: Gösta Karlsson * Copenhagen Cup, Danemark o 2ème place: Carl-Magnus Skogh * Grand Prix, Danemark o 12ème place: Carl-Magnus Skogh o 13ème place: Gösta Karlsson * Skarpnäcksloppet, Suède o 1ère place: Carl-Magnus Skogh o 2ème place: Gösta Karlsson
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La Saab GT750 est une automobile développée et produite par Saab entre 1958 et 1962. La Saab GT750 est une 93 spécialement améliorée pour le marché nord américain. Elle sera produite à partir d'une base 96 dès 1960. Dévoilée en avril 1958 à l'occasion du salon automobile de New York, la voiture présentait un intérieur luxueux avec une sellerie très épaisse, un volant en bois, des ceintures de sécurité, des sièges avants réglables en plusieurs positions et une instrumentation nouvelle incluant un « Halda Speedpilot », sorte de dispositif analogique très courant en rallye indiquant la distance parcourue, la vitesse moyenne, la consommation moyenne ainsi que la température extérieure ; autant parler du premier ordinateur de bord. L'extérieur se caractérisait par la présence de deux rétroviseurs extérieurs au lieu d'un, deux phares supplémentaires, des feux arrière doublés, des enjoliveurs chromés et deux baguettes latérales chromées. Figurait également sur l'aile avant le logo chromé « Granturismo 750 ». Le moteur deux-temps de 758 cm3 bénéficiait de deux carburateurs, pour développer une puissance de 50 ch (37 kW) entre 3 400 et 5 000 tr/min. Il existait également un kit 750GTR permettant de monter la puissance jusqu'à 55 ch (41 kW). D'autres versions modifiées amenaient la puissance jusqu'à 57 ch (43 kW). En 1960, la GT750 se développa sur une base de 96 avec sa boîte de vitesses à quatre rapports, puis adopta le nouveau moteur de 841 cm3 dès 1962 et des freins à disque à l'avant. La voiture prit alors la désignation GT850, désignée Sport Car en Grande-Bretagne et Monte-Carlo en Amérique du Nord.
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Saab Sonett Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. (Redirigé depuis Saab 94) Aller à : Navigation, rechercher La Sonett est le nom d'un modèle d'automobiles de Saab déclinée en plusieurs versions suivant les années. La Sonett I fut tout d'abord appelée Saab 94. Les Sonett II et III sont connues sous le nom de code Saab 97. Dans les années 50 Rolf Mellde suggéra que Saab devrait fabriquer une petite quantité de voitures 2 places sans toit. Rolf Mellde dessina lui-même la voiture dans le plus grand secret dans une grange à Åsaka près de Trollhättan. Seulement quelques personnes travaillaient sur le projet sur leur temps libre. Le coût total du projet s'élève à 75 000 couronnes suédoises. Le nom « Sonett » vient d'une exclamation en suédois de Rolf Mellde; « Så nätt den är », et non le sonnet, forme d'écriture poétique . Ce nom fut suggéré auparavant à la fois pour la Saab 92 et la Saab 93. Saab 94 (1956) [modifier] Saab 94 Le 16 mars 1956 la Saab Sonett Super Sport ou Saab 94 (connue plus tard sous le nom de Sonett I) fut exposée à Stockholm. Seulement 6 exemplaires ont été fabriqués, l'original ayant une carrosserie faite à la main, et les autres en polyester renforcé de fibre de verre en utilisant l'original comme modèle. Elle a un moteur 3 cylindres deux temps de 748 cm³ de cylindrée développant 57,5 chevaux DIN (43 kW). La conception de la carrosserie est avancée pour son temps, supportée par un chassis en aluminium. En septembre 1966, la voiture numéro 1 a battu le record suédois de vitesse pour les voitures de cylindrée inférieure à 750 cm³ en atteignant la vitesse de 159,40 km/h. Saab Sonett II (Saab 97 - 1966/1970) [modifier] Saab Sonett II à moteur deux temps Saab Sonett II V4 Dans les années 60 Björn Karlström suggéra que Saab devrait développer une nouvelle voiture de sport 2 places animée par un moteur deux temps, mais cette fois-ci ce serait un coupé, et non un cabriolet. Deux prototypes furent développés, la Saab MFI13 par Malmö Flygindustri et la Saab Catherina par Sixten Sason. La MFI13 fut celle sélectionnée pour la production. En 1966 la MFI13 fut, après quelques modifications produite à ASJ à Arlöv en tant que « Saab 97 » - cette année seulement 28 unités ont été produites, et 230 de plus en 1967. Le moteur était un trois cylindres deux temps donnant 60 chevaux (45 kW). La Sonett II peut faire un 0 à 100 km/h en 12,5 secondes et a une vitesse maximale de 150 km/h. Lorsque Saab commença à utiliser le moteur V4 de la Ford Taunus dans leurs autres modèles, ils ont également voulu l'utiliser dans la Sonett II. La voiture a été redessinée et renommée Sonett V4, avec le moteur Ford V4 de 1500 cm³. Un nouveau capot a été dessiné par Gunnar A. Sjögren, avec une « bulle », nécessaire pour faire rentrer le moteur plus grand. Elle est légèrement décalée sur la droite, afin de ne pas gêner la vue du conducteur. Le moteur produit 65 chevaux (48 kW) et la Sonett V4 fait le 0 à 100 km/h en 12,5 s, avec une vitesse maximale de 160 km/h. Au total, seulement 1868 Sonett II et V4 ont été produites. Saab Sonett III (Saab 97 - 1970/1974) [modifier] Saab Sonett III V4 (1970-1973) Saab Sonett III V4 (1973-1974) Dans les années 70 le design de la Sonett commence à dater. Aux É.-U., la presse automobile raille son apparence alors qu'elle salue sa tenue de route. Pour le nouveau design Saab appela Sergio Coggiola pour la Sonett (appelée pour l'occasion Sonett III). Il était important que la section du milieu reste la même, mais Coggiola ignora cette obligation, et fit une voiture bien plus large. Le design de Coggiola fut modifié par Gunnar A. Sjögren afin d'adapter la section du milieu. La vitre arrière devint l'accès au coffre, améliorant l'accès aux bagages. Le compartiment moteur est accessible via un petit panneau noir mat sur le haut du capot. Pour un travail plus important, l'avant tout entier de la voiture peut être désolidarisé et enlevé. Le nom de Coggiola n'apparait dans la conception de la voiture, peut-être qu'elle a trop été modifiée pour que cela soit le cas. À cause de la demande du marché nord-américain, la Sonett III a un levier de vitesse au sol, contrairement au levier au volant de la précédente version. L'air conditionné est également proposé en option, impératif pour le marché nord-américain Les feux avant rétractables sont actionnés manuellement par une manette dans l'habitacle. En 1973, la voiture reçoit des pare-chocs auto-réparables. La Sonett III a comme type « 97 » dans le numéro de chassis et utilise le même moteur Ford V4 qu'auparavant, avec 1 500 cm³ en 1970 et 1971, puis 1700 cm³ dans les versions suivantes (afin de respecter le contrôle d'émissions américain. Les deux versions de ce moteur fournissent 65 chevaux (48 kW). La Sonett III fait le 0 à 100 km/h en 13 s et à cause d'un étagement plus long des rapports de boîte, a une vitesse maximale de 165 km/h. Le coefficient de pénétration dans l'air (Cx) est de 0,31. La production fut stoppée en 1974 à cause des règles d'émissions plus strictes aux États-Unis. Au total, 10 219 Saab 97 (Sonett II et III) furent construites.
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La Saab 93[1] est une automobile développée et produite par Saab entre 1955 et 1960. La voiture fut annoncée dès le 18 août 1955 et présentée pour la première fois le 1er décembre 1955. Dessinée par Sixten Sason avec une inspiration italienne, elle reçut un moteur trois cylindres deux-temps de 758 cm3 monté longitudinalement et fournissant jusqu'à 33 ch (25 kW). Ce moteur, développé avec la collaboration de l'ingénieur allemand DKW Hans Müller, bénéficiait d'un carburateur Solex 40AIC. Délaissant les barres de torsion de la 92, la 93 adopta des ressorts hélicoïdaux pour une meilleure tenue de route.[2] En 1957, les ceintures de sécurité deux points furent introduites en option. La 93 devint la première Saab à être exportée de Suède, la plupart des exemplaires étant destinés aux États-Unis. Un embrayage automatique Saxomat, de fabrication Fitchel & Sachs, et un toit rétractable étaient proposés en option. Saab 93B [modifier] Saab 93B Le 2 septembre 1957 marque le lancement de la 93B. Le pare-brise en deux parties est remplacé par un pare-brise unique. Elle reçoit en outre une nouvelle calandre et des feux clignotants en remplacement des indicateurs mécaniques. Autre évolution : le mélange huile-essence devient automatique. La même année Erik Carlsson finit 1er au Rallye de Finlande à bord d'une Saab 93, puis réitère l'exploit en 1959 au Rallye de Suède. Saab 93F [modifier] En 1960 apparaît la 93F, F pour « Front » (avant) à cause des portes qui, équipées cette fois de charnières à l'avant, s'ouvrent normalement. Elle se caractérise par un système de refroidissement plus élaboré, et par la présence de bavettes à l'arrière. Version limitée à 600 exemplaires, il s'agit de la dernière année de production pour ce véhicule qui sera remplacé par la Saab 96. En tout 52 731 Saab 93 auront été produites. Historique de courses [modifier] 1956 [modifier] * Rallye de Wiesbaden, Allemagne (24 juin 1956) * 1er Bengt Jonsson et Kjell Persson * Rallye Viking, Norvège o 1er Carl-Magnus Skogh o 2e Erik Carlsson o 4e Ivar Andersson * Rikspokalen, Suède o 1er Erik Carlsson * Scandiatrofén, Suède o 1er Erik Carlsson et Carl-Magnus Skogh (ex-aequo) * Tour d'Europe Continental o 2e Rolf Mellde et Sverker Benson * Rallye des tulipes, Pays-Bas o 2e Sture Nottorp et Charlie Lohmander o 3e Gunnar Bengtsson et Sven Zetterberg o 7e Bengt Jonsson et Sölve Relve 1957 [modifier] * Mille Miglia, Turismo Preparato 750 cm³, Italie o 1er Charlie Lohmander et Harald Kronegård * GAMR - Great American Mountain Rallye, USA o 1er Bob Wehman et Louis Braun, USA o 1er Meilleure équipe constructeur o 6e Rolf Mellde et Morrow Mushkin o 17e Jerry Jankowitz et Doris Jankowitz * Rallye des 1000 lacs, Finlande o 1er Erik Carlsson o 1er Meilleure équipe constructeur Erik Carlsson, Carl Otto Bremer, Harald Kronegård o 1er Finnish champion, Carl Otto Bremer * Rallye Adriatique, Yougoslavie o 1er R M Hopfen * Lime Rock Rally, USA o 1er Bob Wehman * Rikspokalen, Suède o 1er Carl-Magnus Skogh * Finnish Snow Rallye, Finlande o 2e Erik Carlsson * Acropolis Rally Greece, Grèce o 2e Henri Blanchoud * Rallye Atlas-Oasis, Maroc o 2e Harald Kronegård et Leonce Beysson 1959 [modifier] SaabFestivalofSpeed2007.jpg * 1er au Midnattssolsrallyt[3] o Erik Carlsson / Mario Pavoni 1960 [modifier] * Finnish Snow Rallye, Finlande o 1er Carl Otto Bremer
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La Saab 92[1] est la première automobile produite par Saab, commercialisée entre 1949 et 1956 Conçue par l'ingénieur Gunnar Ljungström et dessinée par Sixten Sason à partir du prototype Ursaab (Saab Originelle), puis animée d'un moteur deux cylindres d'origine DKW deux-temps de 764 cm³, la commercialisation de la première automobile Saab démarra en décembre 1949. La légende raconte que sa première livrée unique vert foncé provenait d'un surplus de peinture aéronautique issu de la guerre que Saab décida d'utiliser par économie. Dotée de 3 vitesses, elle pouvait grâce à un Cx de 0,30 dépasser 100 km/h. Détail d'origine aéronautique : le coffre à bagages s'accédait de l'intérieur de la voiture en abaissant le dossier de la banquette arrière. Au contraire des véhicules de l'époque, le moteur de la 92 était monté transversalement pour délivrer sa puissance aux roues avant. Deux semaines seulement après sa commercialisation, l'ingénieur Saab Rolf Mellde s'engagea à son bord au rallye de Suède, pour se classer second de sa catégorie. Greta Molander remportera, elle, la Coupe des Dames du Rallye de Monte-Carlo, en 1952 avec Helga Lundberg, grâce à un moteur optimisé à 35 ch (26 kW).[2] Un succès qui vaudra au véhicule d'apparaître sur un timbre-poste national suédois. Le véhicule abandonna dès 1951 son instrumentation allemande VDO[3] (badin, jauge...) pour adopter des composants américains Stewart-Warner. En 1953 Saab proposa la version 92B qui inaugura enfin une ouverture extérieure du coffre à bagages, par ailleurs plus grand, une lunette arrière élargie et un choix de quatre couleurs de robe. D'autres améliorations suivront jusqu'en 1956. (Photo de fiche : Saab 92 de 1950, Martin Bergstrand) Conception [modifier] Saab 92 de 1949 engagée en rallye La Saab 92 regroupe dans sa structure toutes les idées de l'ingénieur Gunnar Ljungström. Constitué d'une coque autoporteuse, comme la Citroën Traction, le véhicule devait offrir une bonne sécurité à l'impact pour les passagers en absorbant une partie de l'énergie cinétique du choc et en proposant une cage secondaire indéformable. Dans le même esprit, les éléments extérieurs de carrosserie ne devaient présenter aucune saillance susceptible d'engendrer des blessures ; d'où un aspect fortement arrondi de leur forme. La rigidité de cette structure fut testée avec les mêmes outils que ceux utilisés en conception aéronautique. Grâce à cette coque, la masse engagée dans le véhicule (passagers, bagages...) se répartissait équitablement sur les quatre roues. A vide, les roues avant supportaient plus de charge que les roues arrière, donnant ainsi au véhicule une tendance naturelle à compenser les dérapages. La position du réservoir, très basse et située entre les roues arrière, contribuait également à la tenue de route en plus d'offrir une meilleure sécurité en cas d'accident.[4] La forme en elle-même de la carrosserie fut affinée et testée à l'échelle 1:10, dès 1946, dans le tunnel aérodynamique d'étude aéronautique Saab.[5] Elle affichait pour l'époque un excellent Cx de 0,32. Concernant la position des passagers, les places arrière furent maintenues plus basses qu'à l'avant à la fois pour respecter la pente aérodynamique de la poupe et offrir au conducteur un champ de vision postérieur suffisant. Seules les vitres avant étaient mobiles et pourvues, en cela, d'un mécanisme circulaire particulier couplé au même point de rotation que celui de la manivelle.
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Saab est le nom d'un constructeur aéronautique et d'un constructeur automobile suédois. Ce nom est l'acronyme de Svenska Aeroplan Aktie Bolaget, qui peut se traduire par « Société par actions d'aéroplanes suédois »[1]. Saab AB et Saab Automobile AB sont au XXIe siècle deux entreprises distinctes, mais à l'histoire commune. Saab Automobile AB est un constructeur automobile, ex-filiale de General Motors, propriété du Néerlandais Spyker Cars depuis le 26 janvier 2010[2]. Le groupe Saab AB, quant à lui, exerce ses activités principales dans le domaine de la défense, de l'aéronautique et de la sécurité civile. En raison des graves difficultés de GM dans un contexte difficile de l'industrie automobile, la production automobile de SAAB a fortement chuté de 2007 à 2009, avec 95 000 voitures en 2007, 40 000 en 2008 et 20 800 en 2009 La société suédoise Svenska Aeroplan Aktie-Bolaget, plus connue sous l'acronyme Saab, fut créée en 1937 à l'initiative du gouvernement suédois avec l'aide de capitaux privés. La compagnie, dont le siège et l'usine sont historiquement installés à Trollhättan, a été fondée dans le but de fabriquer des avions militaires, par l'alliance des deux industriels Svenska Jarnvagsverkstaderna AB et Svenska Flygmotor AB, en prévision d'une guerre qui semblait inéluctable[4]. En mars 1939, Saab, qui produisait alors des bombardiers allemands Junker 86 sous licence, absorba le constructeur aéronautique local ASJA[5], fabricant de bombardiers américains Northrop 8A sous licence[6]. Le siège social de la firme fut alors définitivement installé à Linköping. C'est à l'automne 1945 que la direction choisit de diversifier la production en y incluant les automobiles. Saab Automobile [modifier] La direction du projet de développement d'un véhicule économique, adapté au marché suédois, fut confiée à l'ingénieur Gunnar Ljungström, qui réunit une équipe d'une vingtaine d'ingénieurs et de techniciens de l'aéronautique. La légende ajoute que seuls deux membres du groupe possédaient un permis de conduire. En moins de deux ans, ces passionnés réussirent à transformer leurs compétences du domaine de la construction aéronautique en une solide connaissance des automobiles, sans pour autant renier leurs origines. Leur apprentissage méticuleux s'alimentait des modèles Opel, DKW et Adler. Le prototype UrSaab reçut même les feux avant de la VW coccinelle. Saab 92001 (Ursaab) La première Saab fut ainsi présentée à la presse et au public le 10 juin 1949[7]. Dotée d'un profil semblable à celui d'une aile d'avion, elle ne ressemblait à aucune autre voiture commercialisée à cette époque. Le modèle industrialisé, redessiné par le designer industriel Sixten Sason (Karl-Erik Sixten Andersson), fut commercialisé dès décembre 1949 sous le nom de Saab 92. Animée d'un deux cylindres à deux temps de 764 cm3 d'origine DKW, elle développait une puissance de 19 kW pour atteindre 105 km/h en vitesse de pointe. Encore partie intégrante du groupe Saab originel en 1945, la division automobile qui entre-temps intégra Scania en 1964 devint parfaitement indépendante dès 1990, prenant ainsi le nom de Saab Automobile AB au capital partagé à 50 % entre General Motors et Saab-Scania. Puis en 1995 le groupe Saab-Scania se divisa en deux compagnies distinctes ; Saab Automobile AB, qui appartiendra pour moitié à General Motors, et Scania AB. C'est en 2000 que General Motors acquiert définitivement 100 % du capital[8]. Début 2009, frappée comme nombre de constructeurs automobiles par la crise économique, GM souhaite se séparer de Saab Automobile AB, qui est alors mise en redressement judiciaire par le tribunal de Vänersborg[9]. Cette procédure place la société dans une certaine protection temporaire face à ses créanciers et la sépare de facto de sa maison mère. En février 2009, Saab Automobile est officiellement mise en vente, sous l'égide de la Deutsche Bank, et menacée de fermeture en cas d'échec dans la sélection des repreneurs potentiels[10]. Courant juin 2009 le suédois Koenigsegg, spécialisé dans les voitures sportives haut de gamme, signe un engagement officiel pour reprendre le constructeur[11], mais finira par se rétracter le 24 novembre 2009, devant la difficulté de refinancement[12]. Le constructeur néerlandais Spyker Cars, soutenu par la banque russe Covers Group, se pose alors en repreneur de la dernière chance, devant le concurrent canadien Magna International soutenu par la Sberbank ; la date limite des négociations reste fixée au 31 décembre. Mais alors que Spyker est sur le point d'accéder au soutien financier de la Banque Européenne d'Investissement (BEI), General Motors estime que la transaction ne pourra se faire avant la date fatidique. La maison mère décide le 18 décembre 2009 de rompre les discussions, pour annoncer l'arrêt définitif des activités de Saab Automobile à partir de janvier 2010 et, à terme, sa disparition. Entre temps, le constructeur américain annonce rester ouvert à toute autre proposition de rachat[13]. De nouvelles offres apparaissent notamment chez Spyker Cars, Genii-Ecclestone, Merbanco et Samuelsson-Nygren[14]. Après quantité de rumeurs et rebondissements, Victor Muller (Spyker Cars) et GM annoncent séparément au soir du 26 janvier 2010 la signature d'un accord de vente ; Saab Automobile AB est cédée au Néerlandais pour 400 millions de dollars, dont 74 millions en liquidités et 326 millions en actions préférentielles[15] de la nouvelle entité Saab-Spyker. La vente sera finalisée courant février, avec le soutien d'un prêt de 400 millions d'euros de la Banque Européenne d'Investissement garanti par l'État suédois[16]. Cet épisode aura engendré une mobilisation sans précédent de passionnés à travers le monde, notamment grâce à l'internet et au site SaabsUnited animé par Steven Wade, un Australien de Tasmanie à qui Victor Muller annoncera prioritairement par téléphone la signature de l'accord, avant même la conférence de presse[17]. Le 23 février 2010 Spyker Cars annonce la finalisation de la vente, Saab Automobile et Spyker Cars resteront deux entités indépendantes sous l'égide de la maison mère Spyker Cars N.V.[18] Évolution de l'emblème [modifier] Si l'Ursaab indiquait sa marque par un écu rouge bordé de chrome, le véritable logo de la marque Saab présentait initialement l'acronyme, en chrome sur fond bleu, monté sur des ailes chrome. Dès 1963 l'acronyme changea de caractère pour surmonter un avion bimoteur à hélice représenté de face, l'ensemble d'abord simplement chromé puis finalement chromé sur fond bleu au sein d'un trapèze isocèle aux coins arrondis. En 1984, suite à la fusion avec Scania, Carl Frederik Reuterswärd dessina dans un double cercle l'animal mythique symbole de vigilance, un griffon couronné, issu de l'ancien logo Scania-Vabis AB et emblème de la Scanie, sa région d'origine. L'animal était entouré de haut en bas des mentions Saab et Scania. Le 14 août 2000 apparut un logo plus simple, rond, portant uniquement la tête de griffon rouge couronnée de jaune, et surmontant l'acronyme blanc ou chrome Saab sur fond bleu[19]. Orientation technologique [modifier] L'histoire de Saab demeure très liée à celle de la sécurité et de l'innovation dans l'automobile. En effet, dès 1962 toutes les Saab se voient d'office équipées de ceintures de sécurité. Saab inventera également l'allumage automatique des phares (1969), les pare-chocs auto-réparateurs (1971), la protection contre l'impact latéral (1972), le filtre à pollen (1978), les plaquettes de frein sans amiante (1983), l'air conditionné sans CFC (1992), les appuis-têtes actifs anti-coup-du-lapin SAHR[20] (1996), les sièges ventilés (1997). Autant d'équipements aujourd'hui devenus standards, mais pour lesquels Saab s'est montré précurseur. Depuis 2007, le constructeur développe un système d'alerte pour la perte de vigilance du conducteur, le Driver Attention Warning System, basé sur un dispositif d'analyse des yeux par deux caméras infrarouges miniatures[21]. Une autre spécificité de Saab tient à la diffusion, à partir de 1976, de la technologie du moteur turbo auprès du grand public, ceci grâce à l'ingénieur Per Gillbrand. Auparavant, cette technologie apparue en 1909 se réservait quasiment à la compétition automobile puis au très haut de gamme (Chevrolet Corvair Monza en 1962, BMW 2002 en 1973, Porsche 911 en 1975). Dès 1977, la première Saab équipée d'un moteur turbo-compressé apparaît dans les concessions : la Saab 99 Turbo. Suivront les Saab 900 Turbo 16, ainsi que les modèles Aéro qui développent aujourd'hui jusqu'à 280 ch. Toutefois les moteurs 2.0 essence de 130 ch et 1.8 essence de 122 ch ne sont pas équipés de cette technologie. L'avenir de Saab s'oriente résolument vers les technologies automobiles à haute qualité environnementale. Déjà engagé sur la voie écologique avant l'heure, avec l'abandon de l'amiante en 1983 et des CFC en 1992, le constructeur initie l'Europe à l'éthanol avec l'apparition en 2005 de ses moteurs BioPower turbo à injection directe, compatibles à l'essence sans plomb et optimisés pour le Superéthanol E85 issu, en Suède, de la biomasse non agricole. Saab prévoit dans un avenir proche la mise sur le marché de véhicules hybrides, notamment un moteur diesel 1.4t allié à une motorisation électrique d'assistance au couple pour la Saab 9-5 2010[22]. La marque prévoit également l'installation de cellules photovoltaïques sur le toit de ses véhicules, assurant la recharge de la batterie, et une alimentation électrique du turbo destinée à alléger la charge du moteur. Enfin, Saab Automobile participe à un programme suédois pour le développement d'une voiture électrique civile, la True Electric ZE 9-3 (Zero Emission), en partenariat avec ElectroEngine in Sweden AB, Innovatum AB, Boston-Power Inc. et Power Circle. L'assemblage d'une centaine de Saab 9-3 Aero électriques est prévu pour 2010[23]. Saab Technologies [modifier] Le groupe Saab Technologies, totalement séparé de Saab Automobile depuis 1990, propose en plus de son savoir-faire aéronautique, des activités de développement dans les secteurs de la défense militaire, de la sécurité civile, et de la communication.[24] Actuellement animé de plus de 13 300 employés, le groupe est fortement impliqué dans des projets européens ainsi qu'en Afrique du Sud, aux États-Unis et en Australie. Le groupe réserve 17 % de son activité à la recherche et développement. La diversification des compétences commence dès les années 1960 avec la création de divisions d'ingénierie spécialisées dans l'informatique (Datasaab), l'industrie spatiale et le missile. En 2000, Saab fait l'acquisition du groupe de défense Celsius qui comprenait entre autres Bofors[25], le spécialiste suédois des canons depuis le XIXe siècle, pour devenir actuellement la première entreprise scandinave du secteur de la défense. Entre autres produits, le groupe a notamment développé le drone Skeldar V-150, le radar de défense aérienne HARD, le système aérien de surveillance large zone CARACAS, le système de gestion des combats 9LV Mk4, un système intégré de contrôle du trafic aérien i-acs, le système CEROS 200 repérant des cibles et engageant le combat en contrôlant divers systèmes d'arme, le Trackfire RWS qui cible, vise, traite la ballistique automatiquement[26], ainsi qu'une unité de commandement portative WCU intégrant un GPS, avec visualisation en temps réel du théâtre d'opération. Saab Technologies, dirigé par Åke Svensson, se compose actuellement des groupes d'activités suivants[27] : Le drone Skeldar développé par Saab Aerosystems Division Aéronautique Division Défense & Sécurité Division Productions & Systèmes Saab Aerostructures Saab Aerotech Saab Avitronics Saab Aerosystems Saab Security Saab Barracuda Gripen International Saab Systems Saab Bofors Dynamics Saab Surveillance Systems Saab Microwaves Systems Combitech Saab Trainings Systems Saab Underwater Systems Modèles d'automobiles [modifier] Modèles anciens [modifier] Une SAAB 96 V4 en pleine course. * Saab 92 (1949-1956) * Saab 93 (1955-1960) * Saab 94 (1956) * Saab GT750 (1958-1962) * Saab Sport (1964-?) * Saab Formula Junior (1960) * Saab 95 (1959-1978) * Saab 96 (1960-1980) * Saab 97 (1966-1974) * Saab 99 (1968-1984) * Saab 90 (1984-1987) * Saab 900 (1978-1993) (Version classique, le cabriolet resta en production jusqu'en 1994) * Saab 900 NG (1993-1998) (Nouvelle Génération) * Saab 9000 (1984-1998) * Saab 9-3 (1998-2002) (Base de 900 NG) * Saab 9-3 Cabriolet (1998-2002) * Saab 9-2X (2004-2006), Subaru Impreza modifiée, produite au Japon pour le marché nord américain. * Saab 9-7X (2004-2009), tout-terrain sur base de Chevrolet pour le marché américain, disponible en version essence uniquement. N'est pas importé par la marque Saab en France, mais par un distributeur Saab : Espace Défense Automobiles (92). * Saab Sonett, quatre versions, voir Saab 94 et 97. * Saab 600 Modèles actuels [modifier] * Saab 9-3 Berline de Sport (2002-...), routière. * Saab 9-3 Cabriolet II (2003-...) * Saab 9-3 Sport-Hatch, break commercialisé depuis septembre 2005. * Saab 9-3X, crossover. (2009) * Saab 9-5 I Berline (1998-2009), grande routière, restylée depuis décembre 2005. * Saab 9-5 I Estate (1998-2010), grand break, restylé en décembre 2005. * Nouvelle Saab 9-5 Berline (2010) Véhicules expérimentaux et prototypes [modifier] Saab 9-X * Ursaab (1946) * Saab Monster (1959) * Saab Quantum (1962-1963) * Saab Catherina (1964) * Saab MFI13 (1965) * Saab Toad (1966) * Saab 98 (1974) * Saab EV-1 (1985) * Saab 9-X (2001) * Saab 9-3X Coupé (2002) * Saab Concept 9-3 Sport Hatch (2003) * Saab Aero-X (2006) * Saab 9-X BioHybrid (2008) * Saab 9-X Air (2008) * Saab 9-3 True Electric ZE (2009-2010) Modèles d'avions [modifier] Avions militaires [modifier] À quelques exceptions près, les avions militaires produits par Saab sont innovants sur le plan aérodynamique et considérés comme économiques et performants. Le dernier né Gripen (Griffon en suédois) fut le premier avion de combat polyvalent de quatrième génération à entrer en service. Ses concurrents européens sont le Rafale et l'Eurofighter. Un Saab J 21A-3 des années 1940 Saab JAS 39 Gripen des années 1990 * Saab B3 (Junkers Ju 86K13 produits sous licence) * Saab B5 (Northrop 8A produits sous licence) * Saab Sk 14 (North American NA-16-4M construits sous licence) * Saab 17 * Saab 18 * Saab J-21 * Saab MFI-17 Supporter (Mushshak pakistanais, T-17 danois) * Saab 105 * Saab J 29 Tunnan * Saab 32 Lansen * Saab 35 Draken * Saab 37 Viggen * Saab JAS 39 Gripen De nos jours, Saab est engagé dans le programme du futur drone européen de combat nEUROn. Avions civils [modifier] * Saab 90 Scandia (1944 - 1954) * Saab 91 Safir * Saab MFI-15 Safari * Saab 340 * Saab 2000
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Ferrari P540 Superfast Aperta Le Père Noël vient de trouver en la personne de Ferrari un concurrent féroce. En effet, la firme italienne vient de livrer à un richissime client américain la voiture de ses rêves, une 599 GTB Fiorano à toit targa baptisée P540 Superfast Aperta. Le jour où Edward Walson, fils de l'inventeur de la télévision câblée John Walson, a vu la Ferarri 330 GT carrossée par Fantuzzi dans le court-métrage « Toby Dammit » réalisée par Felini en 1968, il a su immédiatement qu'un jour il aurait la même. C'est ainsi qu'en 2008 le petit Edward, ayant bien grandi depuis et étant largement à l'abri du besoin, prend contact avec le département des projets spéciaux à Maranello pour concevoir sa propre Ferrari. En effet, depuis la P4/5 sur base Enzo de James Glickenhaus en 2006 commandée à Pininfarina, c'est la marque elle-même qui traite directement ce genre de demande. Connue sous le nom de P540 Superfast Aperta, la Ferrari de Walson est une 599 GTB Fiorano à toit targa dessinée par Pininfarina et construite à Maranello en seulement 14 mois. Un délai très court qui ne l'a pas empêché de satisfaire à toutes les normes de sécurité et d'homologation. Côté technique, ce modèle unique repose sur un châssis renforcé par de la fibre de carbone et s'anime grâce à un V12 6.0 L de 620 ch et 608 Nm de couple accouplé à la boîte F1. Aucun prix ni aucun chiffre concernant les performances de cette auto n'ont été donnés mais l'heureux propriétaire aurait déclaré lors de la livraison sur le circuit de Fiorano que c'était le plus beau cadeau de Noël de sa vie.
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quand tu voit le prix des épaves de dauphines ou 4 ch même le modèle que j'ai une coque nue sans moteur sans trains roulant ni intérieur complètement vide 1000€ celle que j'ai complète roulante avec CT ok pneus neuf et tout le tintouin 1500€ chercher l'erreur je pense que les gars qui on ce genre de modèles aujourd'hui préfèrent les laisser pourrir dans le fond d'un terrain plutôt que de les laisser partir a un prix raisonnable a des passionner afin de leur donner une 2eme jeunesse c'est la que l'on se rend compte que nous vivons uniquement dans un monde de profit et que l'on se fou royalement du matériel pas loin de chez moi il y a 2 panhard pl17 dans une friche le gars ne veut même pas les vendre
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