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Tout ce qui a été posté par Béat1
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Dans l'histoire de ses Dakars, Carlos Sainz va se souvenir longtemps de son étape péruvienne entre Nazca et Arequipa. Le Matador est passé d'un extrême à l'autre. Du très bon à la vraie galère. Retour sur une journée éprouvante. Son Dakar n'était pas fichu mais se retrouver dixième à 42'42" du leader après seulement trois étapes, c'était assez loin de ses espérances. Comme Robby Gordon, Carlos Sainz avait une très bonne raison de cravacher pour reprendre du temps aux autres ténors. Ce n’est pas sa témérité qui l’a trahi mais la mécanique. Déjà malchanceux hier avec un stupide problème électrique à cause d’un bouton coupe-circuit cassé, l’Espagnol a trouvé une autre faiblesse sur le buggy de Qatar Red Bull. En attaquant fort dans les dunes, il a cassé une durite d’essence. Premier au pointage du premier CP, Sainz a vite constaté les dégâts et s’est retrouvé au ralenti en quête d’un peu de carburant pour aller plus loin. Siphonage Soudain, l’équipage du buggy a aperçu le motard Frédéric Belloc, victime d’une sévère chute et touché à une jambe. Touché par le sort du N.85, Sainz lui a demandé avec beaucoup de délicatesse s’il pouvait siphonner son réservoir. Après la bénédiction du motard, le copilote Timo Gottschalke a récupéré les quelques litres qui restaient dans la KTM. Un coup d’épée dans l’eau ou presque car le gourmant 8 litres Corvette avalait ces maigres réserves en quelques kilomètres. Remorquage Stoppé à 15 kilomètres de la fin de la spéciale avec un retard supérieur à l’heure, Sainz avait perdu le Dakar. Seul dans cet océan de sable, le vainqueur de l’édition 2010 n’avait plus qu’à espérer un dernier coup de main pour se sortir de cet enfer. Largué au général, Eric Vigouroux lui proposait alors de le remorquer sur les derniers kilomètres. Le Français remplissait sa mission à bord de son Trophy Truck et les deux hommes se tombaient dans les bras après la ligne d’arrivée du secteur chronométré. Classé 40e du scratch, Sainz avait perdu 2 heures 36 minutes et 44 secondes. Quand On lui a demandé s’il allait continuer le Dakar, le Matador a répondu laconiquement : « On verra… » Sainz devait encore réparer et rouler près de 500 km en liaison pour rejoindre Arequipa. Ça a de quoi décourager.
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ROUTE BLOQUÉE! A l'heure de ce communiqué, Éric Vigouroux et Jean Brucy n'ont toujours pas rallié le bivouac d'Arequipa situé dans une cuvette. La seule route d'accès est complètement bloquée depuis des heures par des milliers de spectateurs et les concurrents, qui se sont offert plus de 400 km de liaison après la difficile spéciale du jour, arrivent au compte-goutte à Arequipa où ils sont accueillis par une pluie battante.
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Merci à tous pour vos messages d'encouragement pour retrouver une position normale, au moins sur une prochaine étape. Le problème est que nous souffrons d'un cruel manque de puissance en raison du nouveau boîtier électronique qui gère le moteur. En théorie ça devait marcher mais la réalité est qu'ill aurait fallu faire des séances de mise au point ce que nous n'avons pas eu le temps de faire. Du coup le franchissement des dunes excessivement molles dans des conditions de chaleur extrême devient très difficile. Nous allons essayer de nous maintenir et voir si nous pouvons améliorer un peu les choses... En tout cas notre volonté est intacte et le restera en dépit des évènements. C'est la course!
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UNE JOURNÉE EN ENFER POUR ÉRIC VIGOUROUX Ce matin, Éric Vigouroux et Jean Brucy ont quitté le bivouac de Pisco avec une grande envie de faire une belle spéciale. Mais cette troisième étape était annoncée costaude et elle l'était ! Grand erg, sable très mou, températures extrêmes... Ce fut une autre spéciale de folie pour les Français ! Arrivé à Nazca, la voiture couverte de fesh fesh, Éric s'est effondré sur un banc pour raconter sa journée. « J'ai été très surpris par la nature du sable, commente-t'il. C'était en fait un mélange de sable et de fesh fesh, jamais vu ça... très, très mou. Et je peux en témoigner car nous nous sommes plantés et je l'ai bien eut en main ! En fait, nous avions trop d'air dans les pneus et si nous avons bien parcouru les dix premiers kilomètres, nous sommes tombés dans une cuvette et nous avons perdu 50 minutes. Pour sortir, nous avons dégonflé à 800 grs ! Pendant ce temps-là, de nombreux concurrents auto et camion sont passés. Quand nous sommes sortis, ce fut ensuite un gymkana entre les autos et les camions ensablés et nous nous sommes encore « tankés »une paire de fois. Plus loin, enfin une partie roulante... Mais l'huile avait chauffé et la boîte patinait, nous avons donc dû rouler doucement, contourner les derniers cordons de dunes et manquer un waypoint à 1 heure. Depuis le début, nous ne sommes pas dans le bon train et le Dakar a cela de particulier que les problèmes attirent les problèmes. Mais restons positif, nous nous en sommes sortis et nous avons tout pour remettre l'auto en état et repartir demain ! »
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Le 06 janvier, 2012 Etape 2: Pisco - Pisco DÉBUT DÉCEVANT POUR ÉRIC VIGOUROUX La deuxième étape du Dakar, une boucle de 242 km, devait être une mise en jambe un brin relevée, non forte comme le breuvage du même nom... cocktail emblématique du Pérou, le Pisco Sour ! Et pourtant... certains se réveilleront avec la gueule de bois demain car la spéciale était corsée ! Chaleur, navigation délicate, sable, pièges... dur, dur Pisco-Pisco. « C'est clairement décevant comme début de course, commente Éric Vigouroux, profitant d'un intermède pour se restaurer au bivouac. Je n'ai pas du tout les sensations de l'auto que j'avais au Maroc. Nous avons changé le boitier électronique qui est censé nous donner plus de puissance en altitude, à 4000 mètres, et force est de constater que je n'ai pas de puissance... Je suis préoccupé car ainsi, nous allons perdre du temps tous les jours. Ceci dit, aujourd'hui, c'est à la recherche d'un waypoint que nous avons perdu 30' puis, les roues arrière ont perdu de l'air et nous nous sommes arrêtés pour les changer : 10' de plus ! C'était, en plus, une spéciale dure et de nombreux débutants ne sont pas prêts d'arriver au bivouac ! Ce n'est pas le départ dont j'avais rêvé mais j'espère que jour après jour, nous allons améliorer les performances du boitier. » Demain, troisième étape : Pisco-Nazca, 343 km dont 243 de spéciale.
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pour vivre le Dakar , je vais suivre Eric Vigouroux , j'espère que vous apprécierez Le 05 janvier, 2012 Etape 1: Lima - Pisco PETIT SOUCI D'ACCÉLÉRATEUR POUR ERIC VIGOUROUX La journée avait bien commencé avec un accueil extraordinaire du public péruvien et un passage sur la podium. Ensuite, Éric Vigouroux et Jean Brucy ont emprunté la Pan Américaine sud pour rallier Pisco, à quelques 250 km de Lima. La première spéciale du Dakar 2013 ressemblait plus à un prologue avec ses 13 km de sable, un tracé rapide, cerné par des milliers de spectateurs venus admirer les chevaliers du désert péruvien ! « La liaison s'est déroulée sans aucun problème commente le Français, si ce n'est de nombreux bouchons et deux villes au trafic super dense à traverser, le tout sous une chaleur écrasante ! Malgré tout, nous sommes arrivés en temps et en heure pour nous lancer dans la spéciale. Malheureusement, cela ne s'est pas très bien passé pour nous : le câble d'accélérateur s'est bloqué... Je pense que c'est à cause des embruns sur le bateau que le câble s'est grippé... En ralentissant, j'ai réussi à le débloquer à la main mais je n'ai pu rouler qu'à 50 % car pour décélérer, je devais libérer l'accélérateur avec le pied. C'est dommage mais demain sera un autre jour ! »
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