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Daniel Christian

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Tout ce qui a été posté par Daniel Christian

  1. Salut Yuna, eh non vois tu je sais aussi parfois m'intéresser à autre chose...que les voitures dites "MYSTERIEUSES"... Allez bon après midi et à+
  2. BONJOUR C'EST LE MC HISTO 2008... POURQUOI NE PAS PLACER ICI QUELQUES PHOTOS... EN VOICI UNE : LORS DU CONTROLE TECHNIQUE DE REIMS...
  3. Bonjour FABSAAB... désolé il ne s'agit pas d'une Buick... Bonne chance...
  4. Bonjour Samourai, ce n'est pas une Tatra... MAIS IL S'AGIT BIEN d'UNE AMERICAINE...
  5. Bonsoir ou plutôt bonjour les AMIS SAABISTES qui souhaitent découvrir des "collectors"... Cette fois voici un véhicule un peu plus ancien et assez spécial...jugez-en donc : BONNE CHANCE A TOUS A l'attention de NUT'S : peux-tu être assez gentil pour attendre que les Amis puissent s'exprimer...D'avance merci...J'espère un jour pouvoir te coller mais tu me parais un champion de la recherche...
  6. Bonsoir, voici plus de détails : PEERLESS Gran Turismo 1. De l'idée aux premiers prototypes L'histoire débute en 1956. Jim Byrnes, hôtelier et passionné de belles automo- biles sportives, commandait à Bernie Rodger, réputé pour ses compétences en la matière, la réalisation d'une voiture de sport pour son usage personnel. Face à l'intérêt que suscita le projet, les deux hommes décidèrent d'investir dans la fabrication en petite série de cette GT. Les relations privilégiés qu'entretenait Jim Byrnes avec des cadres de chez Triumph (des clients de son nouveau restaurant à Warwick) lui permirent d'obtenir de cette firme la fourniture des composants mécaniques. Le pro- totype fut ainsi finalisé à partir d'éléments de TR3. Les premiers essais s'avérèrent concluant. Jim Byrnes s'empressa de montrer cette nouvelle voiture à son ami John Gordon, vendeur d'automobiles de luxe. Son avis éclairé était primordial pour Jim Byrnes. John Gordon, qui intégra rapidement la petite équipe, avait une approche très positive du projet, mais suggéra à Jim Byrnes quelques modifications, dont l'accroissement de l'habitabilité, pour en faire une vraie 2 + 2, qui répondrait mieux aux attentes du marché. Un second prototype à quatre places assises était construit, et exposé au salon de Paris 1957. La direction de Triumph fut impressionné par le travail réalisé, et donna son accord pour la fourniture des moteurs pour une fabrication en série. 2. Les débuts de la production La production débutait dans une ancienne concession Jaguar à Slough. Le choix du nom Peerless faisait référence au constructeur américain de voitures de prestige Peerless, dont l'une des branches fabriquait des poids lourds. Après la première guerre mondiale, ces camions laissés sur place par les américains furent remis en état à Slough, pour être revendu sur le sol britannique. Le choix d'une carrosserie en matière synthétique s'imposa rapidement, en raison des économies évidentes de coût que supposait l'utilisation de ce nouveau matériau. L'intérêt qu'avait suscité l'exposition de la voiture à Paris pouvait laisser espérer une production de 1500 voitures par an. Un distributeur américain se proposait d'en écouler 80 par mois dans un premier temps. Les trois premiers exemplaires de série sortaient de chaîne en mai 1958. Les communiqués de presse présentait la Peerless comme " La voiture de sport pour le père de famille ", ou comme " La voiture pour l'homme jeune qui désire une femme, une famille et une voiture de sport ". 3. L'engagement au Mans Afin d'accroître la réputation de la marque, il fut décidé d'inscrire la voiture à la déjà mythique course d'endurance des 24 heures du Mans en 1958. Il ne pouvait pas y avoir meilleure publicité pour démontrer la fiabilité de l'engin. Le résultat de la course fut tout à fait honorable, puisque après 24 heures de pluie continue, la Peerless terminait en 16ème position. Cet accès à la notoriété eu des conséquences rapides sur le niveau des ventes. Afin de répondre à la demande, la jeune société s'installait dans des locaux plus spacieux, Farnham Road à Slough. 4. Un succès immédiat La société réserva un stand au London Motor Show de 1959. L'accueil de la presse spécialisée y fut enthousiaste, qui saluait les performances et le bon de niveau de finition de la voiture. Cependant, Peerless peinait à atteindre des chiffres de production suffisants pour répondre à la demande. L'usine parve- nait tout juste à assembler cinq véhicules par semaine. Le service commercial avait peu d'effort à fournir. Toute personne intéressée était invitée à essayer rapidement la voiture, à payer une avance et ... à rejoin- dre la liste d'attente qui ne cessait de s'allonger. La Peerless n'était pourtant pas particulièrement bon marché. Son prix hors taxe atteignait 998 £ (+ 500 £ de taxe), alors que celui d'une Triumph TR3 était inférieur à 1000 £ avec les taxes. Des investissements furent consenti pour doubler le volume de production. Cela eu pour effet une réduction rapide des délais de livraison. 5. De la phase 1 à la phase 2 A la vue de l'expérience acquise dans la production des 239 modèles de la phase 1, plus de vingt améliorations furent incorporées dans la conception de la nouvelle Peerless phase 2, présentée en juillet 1959. De nouveaux moules de carrosserie permirent d'obtenir une Peerless P2 plus légère et plus rigide. Esthétiquement, les phares avant étaient plus enfoncés dans les ailes, et une grille de calandre plus conventionnelle remplaçait l'emblème " P " de la premiè- re série. La double bosse sur le capot moteur était supprimée. Le châssis et les éléments mécaniques ne bénéficiaient d'aucune modification notable. 6. Les premiers nuages Avec les nouveaux moyens mis en oeuvre, il était visé une production hebdoma- daire de 25 voitures. Les difficultés économiques que ne tarda pas à connaître l'entreprise entraîna des remous au sein de la direction de Peerless. John Gordon démissionnait en septembre 1959. Les fournisseurs commencèrent à perdre confiance dans le projet, ce qui ne fit que accroître les difficultés. Avant que l'affaire ne soit déclarée en faillite en février 1960, environ 50 voitures de la phase 2 étaient sorties d'usine. 7. John Gordon à l'origine de la Gordon Keeble John Gordon se lança dans un nouveau projet, la Gordon GT, qu'il exposa au salon de Genève 1960. Le dessin de cette Gordon GT était l'oeuvre du jeune Giorgetto Giugiaro, alors chez Bertone. La GT était équipée d'un moteur V8 sur une idée de James Keeble, auteur d'une Peerless à moteur américain. La Gordon GT sera commercialisée sous la marque Gordon Keeble à partir de 1964, mais ceci est une autre histoire ... 8. Peerless devient Warwick Une nouvelle société fut crée, et la production reprit sous la marque Warwick (lieu de naissance du projet initial) animée par Bernie Rodger. L'ambition était de poursuivre la fabrication de l'auto, mais à plus petite échelle. De nouvelles améliorations furent apportées à la voiture. Les installations déménagèrent à Horton près de Slough. La Warwick GT était commercialisée à partir de l'été 1960. Elle était toujours dotée d'une carrosserie en matière synthétique, mais ren- forcée grâce aux progrès réalisés dans l'usage de la fibre de verre. Le capot moteur basculait d'un seul bloc, à la manière des Triumph Herald. La mécanique était toujours d'origine Triumph TR3. Un projet d'installation de moteur Buick tourna court. L'aventure Warwick ne tarda pas à faire faillite à son tour. La dernière des 40 Warwick GT fut produite en janvier 1962. Article réalisé grâce à l'aimable collaboration de Jon Nolan. Pour plus d'informations, consultez son site très complet : www.peerless-gt.co.uk
  7. MAIS DIS DONC NUT'S...COMMENT FAIS TU ???????? BRAVO....BRAVISSIMO.... JE CROIS QUE TU APPRECIES BEAUCOUP CE GENRE DE RECHERCHES...
  8. Salut Grammoux... c'est vrai que ma phrase est drôlement formée, il FAUT LIRE : MARQUE ARRETEE POUR CAUSE DE DIFFICULTES FINANCIERES... je peux encore vous donner un super indice... le créateur a ensuite redémarré mais pour peu de temps et sous une autre appelation... ALLEZ BONNE RECHERCHE...
  9. Désolé Joe, ce n'est pas une Bonde.... Allez un INDICE : CETTE MARQUE N'A EXISTE QUE QUELQUES ANNEES...PUIS S'EST ARRETEE FAUTE DE DIFFICULTES FINANCIERES... BONNE CHANCE... Tiens où est passé NUT'S ????
  10. Bonjour les Amis : dans l'ordre : bonjour Joe : non ce n'est pas une Ginetta... NOUS SAVONS QUE C'EST UN VEHICULE ANGLAIS UTILISANT UNE MECANIQUE DE TRIUMPH TR3... Bonjour Yuna : désolé mais ce n'est ni une Sunbeam ni une AC Greyhound... Désolé et BONNE CHANCE...
  11. Désolé Karabos99... ni une Morgan, ni une Austin Healey bonne recherche...
  12. jentre les deux propositions de Karabos99 j'opterais plûtot pour Karmann-Ghia... car Auto-Union est venu poursuivre les acticvités de DKW que j'avais proposé plus avant...
  13. désolé Cecams ce n'est pas une Midget... bonne recherche...
  14. Daniel Christian

    CALENDRIER 2008

    allez les amis pour février...je vais faire très sage... bonne journée à tous...
  15. Bonjour Samouraï... ne s'agirait-il pas d'un Cabriolet Porsche América...??????????? sorti comme proto en 1952 ??????????????????
  16. Réponse à Samouraï tu fais bien avancer le schilbilick... CAR ce véhicule utilise des éléments mécaniques Triumph...de TR3 pour être précis... il ne te reste plus qu'à trouver la marque....BONNE CHANCE... Peut être cette photo couleur vous inspirera... BONNE CHANCE A TOUS...
  17. Salut Joe, il ne s'agit malheureusement pas d'un proto Austin... Bonne chance
  18. s'agirait-il d'un cabrio Borgward ???? bonne journée à toi Samouraï...
  19. Bonjour Samourai.... voilà un indice intéressant : oui c'est une anglaise... A nous les petites anglaises...bonne chance...
  20. Bonsoir Samourai, bonsoir à tous... ne s'agirait-il pas d'un cabrio du début des années 60 sur base d'une DKW ???
  21. Bonsoir, désolé SAMOURAI et CECAMS il ne s'agit pas d'une belle italienne... désolé aussi FRAGDOKTOR...ce ne sont pas des feux AR de volvo... Bonne recherche et bonne soirée à tous
  22. Daniel Christian

    CALENDRIER 2008

    BOF pourquoi pas celà ne me ferait que 102 ans ...LOL...
  23. salut Grammoux, désolé mais il s'agit d'une photo... Bon courage...
  24. bonjour les Amis, pour GRAMMOUX et GOLFHUNTER...désolé ce n'est pas une Aston Martin...celà aurait été vraiment trop facile... Bonne recherche...
  25. Bonjour les amis... Voici notre voiture MYSTERE N° 10.... A vos recherches... BONNE CHANCE A TOUS...
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