J’ai le bonheur de vous présenter ma régulière : 19 ans d’amour fou ! C’était précisément le 31.12.1990 que j’ai pris la bonne décision de réaliser mon rêve d’une cox speedster signée Ostermann. Pendant plusieurs mois, le catalogue n’avait pas quitté mon chevet de nuit, c’était le moment ou jamais de passer à l’acte ! Ensuite, pendant six ans, des modifications en continu : quelques mois après les transformations de la carrosserie, je l’ai fait rabaisser (à l’époque encore une action bien plus couteuse qu’aujourd’hui, car les trains avant Puma, c’était bien plus tard ! Il a fallu donc transformer une pièce d’origine…), puis j’ai changé l’intérieur avec un nouveau tableau de bord fait maison, des sièges Recaro de 1955 issus d’une BMW (qui ont été entièrement refaits en 1998 par un apprenti de Recaro pour un prix cadeau, car il lui fallait des modèles anciens pour terminer son apprentissage), puis des freins Kerscher avant, des tambours type 3 arrière, des Konis rouges réglables partout (même pour la direction). En 1995, j’ai décidé de virer le moteur type 1 pour y mettre un type 4 de 2,0 litres préparé par un des gourous de la scène, Gerd Kummetat à Gelsenkirchen, qui aussi est le fournisseur de la boîte à vitesses adapté (renforcé, avec les trois premières d’origine et la 4ème à 1 : 0,88). C’est également lui qui a installé un réservoir exprès importé du Brésil qui prend 58 litres (pour avoir un peu plus de poids devant). Le tout – bien sur ! – homologué, donc dans les papiers et approuvé par le TÜV allemand. D’autres détails : T-Shifter Gene Berg, marchepieds en aluminium massif, montres Smiths issus d’une coupé Rover 1300 sport, volant du moteur allégé (4,3 au lieu de 8,0 kg), chauffage essence, double renfort du train avant… Elle ne sort qu’en été, sur la route du vin alsacienne, et aux alentours de Sélestat ou j’habite depuis un moment. C’est vraiment un grand bonheur de la rouler, le moteur tourne toujours aussi bien, la première jusqu’à 50 km/h, la deuxième jusqu’à 90, la troisième à 130 et elle dépasse facilement les 200 km/h dans la quatrième (capot fermé). Avec déjà 99 décibels à 800 tours, de fortes émotions sont assurées !
J’ai le bonheur de vous présenter ma régulière : 19 ans d’amour fou ! C’était précisément le 31.12.1990 que j’ai pris la bonne décision de réaliser mon rêve d’une cox speedster signée Ostermann. Pendant plusieurs mois, le catalogue n’avait pas quitté mon chevet de nuit, c’était le moment ou jamais de passer à l’acte ! Ensuite, pendant six ans, des modifications en continu : quelques mois après les transformations de la carrosserie, je l’ai fait rabaisser (à l’époque encore une action bien plus couteuse qu’aujourd’hui, car les trains avant Puma, c’était bien plus tard ! Il a fallu donc transformer une pièce d’origine…), puis j’ai changé l’intérieur avec un nouveau tableau de bord fait maison, des sièges Recaro de 1955 issus d’une BMW (qui ont été entièrement refaits en 1998 par un apprenti de Recaro pour un prix cadeau, car il lui fallait des modèles anciens pour terminer son apprentissage), puis des freins Kerscher avant, des tambours type 3 arrière, des Konis rouges réglables partout (même pour la direction). En 1995, j’ai décidé de virer le moteur type 1 pour y mettre un type 4 de 2,0 litres préparé par un des gourous de la scène, Gerd Kummetat à Gelsenkirchen, qui aussi est le fournisseur de la boîte à vitesses adapté (renforcé, avec les trois premières d’origine et la 4ème à 1 : 0,88). C’est également lui qui a installé un réservoir exprès importé du Brésil qui prend 58 litres (pour avoir un peu plus de poids devant). Le tout – bien sur ! – homologué, donc dans les papiers et approuvé par le TÜV allemand. D’autres détails : T-Shifter Gene Berg, marchepieds en aluminium massif, montres Smiths issus d’une coupé Rover 1300 sport, volant du moteur allégé (4,3 au lieu de 8,0 kg), chauffage essence, double renfort du train avant… Elle ne sort qu’en été, sur la route du vin alsacienne, et aux alentours de Sélestat ou j’habite depuis un moment. C’est vraiment un grand bonheur de la rouler, le moteur tourne toujours aussi bien, la première jusqu’à 50 km/h, la deuxième jusqu’à 90, la troisième à 130 et elle dépasse facilement les 200 km/h dans la quatrième (capot fermé). Avec déjà 99 décibels à 800 tours, de fortes émotions sont assurées !