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Denis15

[Formule 1] Rréactions

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Nouveau sujet destiné à l'actualité des écuries et des pilotes...

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Alonso en conflit interne

Les relations sont de plus en plus tendues entre Fernando Alonso et son écurie Renault. Si le champion du monde en titre s'était jusqu'à maintenant abstenu d'étaler ses états d'âme en public, à Imola, il n'a pas hésité à déclarer à la presse ce qu'il avait sur le coeur: «Depuis le début de saison, je ne peux en rien me plaindre de la façon dont Renault me traite. Mais en même temps, ils ne m'ont jamais particulièrement aidé ces quatre ou cinq années que j'ai passées avec eux».



La guerre intestine a débuté en décembre, lorsque le pilote espagnol a signé, à la surprise générale, avec le grand rival McLaren-Mercedes pour la saison 2007. Celle de 2006 s'annoncait donc délicate à gérer chez Renault, avec un pilote encore sous contrat jusqu'à la fin de l'année. Le constructeur français a donc rappelé que la star ibérique reste un grand professionnel et que l'objectif est de faire aussi bien cette saison que la précédente. Les résultats à l'issue des quatre premiers Grand Prix donnent raison à la marque au losange, puisque Fernando Alonso et son écurie occupent la tête du Championnat avec 2 victoires.

Mais l'ambiance au sein de l'équipe est loin d'être au beau fixe. Pour preuve, cette déclaration de Flavio Briatore, qui a souhaité rappeler qui était le patron : «C'est moi qui l'ai fait venir en F1 et, que je sache, l'an dernier, il a remporté son titre et sept victoires avec nous !»

Toujours traité sur un pied d'égalité avec ses coéquipiers successifs (Jarno Trulli puis Giancarlo Fisichella) chez Renault, Alonso laisse entendre qu'il aimerait un traitement de faveur en tant que pilote N.1, comme c'est le cas dans beaucoup d'autres écuries. Des réclamations que son encadrement reçoit comme des caprices de star. Renault ne semble en tout cas pas prêt à céder.


Il est c** quand il s'y met Alonso !

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Pourquoi ne prend-il pas exemple sur Sébastien Loeb ?
Lui question grosse tête faut pas lui en parler ! J'adore ce mec !

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Denis a écrit:
Pourquoi ne prend-il pas exemple sur Sébastien Loeb ?
Lui question grosse tête faut pas lui en parler ! J'adore ce mec !
chacun sa personnalité.........;certains changent avec la celebrité et d'autres restent tels quels mais c'est rare.......

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Malgré le doublé des Ferrari de Michael Schumacher et Felipe Massa à Indianapolis dimanche, l'écurie Renault reste très optimiste quant à l'issue de la saison. «Je ne pense pas que le vent soit en train de tourner», a affirmé Pat Symonds, le directeur de l'ingénierie du constructeur français, visiblement peu affolé par la troisième place de Giancarlo Fisichella et la cinquième de Fernando Alonso dimanche lors du Grand Prix des Etats-Unis.



«Nous n'avons aucun motif de nous satisfaire et nous allons étudier dans le moindre détail ce qui s'est passé ce week-end, a poursuivi Symonds. Alors que les Ferrari étaient bien plus lentes que nous la semaine précédente au Canada, elles se sont soudainement révélées exceptionnellement rapides ici (à Indianapolis) ce week-end avec la même voiture et le même moteur.» Le directeur de l'ingénierie de Renault a cependant tenu à souligner que son équipe avait «fait de son mieux, de même que Michelin, comme tout au long de la saison.»

«Prêts à nous battre»
Selon le Britannique, la victoire de Michael Schumacher ne remet pas en cause la nette avance prise par Fernando Alonso en tête du classement des pilotes ni la première place de Renault au classement des constructeurs. «Il me semble qu'il est important de remettre les choses en perspective, a dit Pat Symonds. Indianapolis est un circuit inhabituel, avec des caractéristiques uniques. En 2005, nous y avions vécu le pire moment du championnat. Cette année, nous avons été battus, et personne dans l'équipe n'aime perdre. Mais nous sommes prêts à nous battre.»

«Nous avons mis au point un programme de développement très agressif pour les prochaines courses, a prévenu Symonds, et nous comptons bien être beaucoup plus compétitifs en France, où nous courrons à la maison, comme Michelin d'ailleurs.» Le 11e Grand Prix de la saison se déroulera en effet à Magny-Cours le 16 juillet. «Je m'attends à un retour à la normale à Magny-Cours, a conclu le directeur de l'ingénierie de Renault, ce qui signifie: une lutte serrée et haletante entre nous, Ferrari et McLaren !»

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Michael Schumacher (ALL/Ferrari, vainqueur) : «Ce fut un week-end extrême. Nous étions compétitifs sur le sec vendredi, puis nous avons eu des difficultés samedi en qualifications sur la piste mouillée. En course, les pneus ont fini par fonctionner et nous avons trouvé le bon moment pour mettre les pneus sec et gagner. Si l'on regarde où nous étions il y a quelques temps, être là aujourd'hui relève du miracle. Il faudra vraisemblablement attendre la dernière course pour connaître l'issue du championnat. Au début, j'ai été un peu surpris d'être en mesure de suivre le rythme sur la piste mouillée. Après un moment, j'ai pu combler l'écart sur Fisichella et je savais que si je parvenais à le doubler, même si je ne gagnais pas, je pouvais ne perdre que deux points sur Fernando (Alonso). Vu d'où je partais, ce n'aurait pas été un si mauvais résultat. Il était très important de réduire l'écart avec les Renault quand la piste a commencé à sécher. Le moment crucial a été le passage aux pneus sec. Je savais que même si Fisichella parvenait à rester devant moi après son ravitaillement, j'aurais une chance de le passer dans la première courbe car il aurait des problèmes avec la température de ses pneus. Et c'est ce qui s'est passé. Maintenant, nous partons pour Suzuka (Japon), un tracé que j'adore. Mais il est difficile de faire des prévisions et comme d'habitude, le comportement des pneumatiques sera crucial.»



Fernando Alonso (ESP/Renault, deuxième) : «Nous avons perdu une excellente opportunité aujourd'hui. Je me suis construit une avance confortable dans les vingt premiers tours, mais mes pneumatiques avant étaient très usés et les conditions de piste devenaient délicates car la trajectoire commençait à sécher. Nous avons pris la décision de changer les pneus avant, et cela s'est avéré être une erreur. Nous l'avons vu avec Fisico (Fisichella) et Michael (Schumacher), qui ont conservé leurs enveloppes et étaient beaucoup plus rapides. Ensuite, la seule chose à faire était de chausser des pneus pour sol sec aussi tôt que possible, et espérer rattraper Michael. Malheureusement, il ne restait pas suffisamment de tours pour y parvenir. C'est donc une mauvaise journée pour nous mais c'est une bataille fantastique pour le championnat. Je pars optimiste au Japon. Nous avions la voiture la plus rapide aujourd'hui et nous avons deux autres possibilités de nous imposer. Je pense que nous pouvons y arriver.»

(AFP)

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