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JUlysse

Avant je roulais en LHD... Mais ça, c'était avant de croire aux ovnis !

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La démolition (ou déconstruction, ou démantèlement) est la destruction d'œuvres de génie civil telles que bâtiments, infrastructures de transport de biens, énergie, ou personnes, avions ou bateaux etc. Quand un objectif de recyclage ou réutilisation des éléments de l'ouvrage existe : on parle plutôt de démontage ou de déconstruction (cette dernière étant communément appelée "curage"), éventuellement HQE. Dans tous les cas, il peut y avoir une ou plusieurs étape(s) de déconstruction et recyclage de matériaux, avant, pendant et après la démolition, avec par exemple, la récupération des métaux ferreux ou non-ferreux, poutres, fenêtres, éléments de décor, etc.

Les chantiers de démolition navale sont des installations de démolition de bateau.
Des cahiers des charges et précautions particulières sont à l'essai pour les premiers démantèlement de centrales nucléaires.

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La démolition peut se faire par :

La force humaine, avec des outils comme la masse.
La boule de démolition, une masse pendue à une grue."interdit en france"
L'utilisation d'outils de démolition montés au bout de pelles hydrauliques, grues, et mini-pelles. Ces outils se décomposent en plusieurs familles adaptées aux différentes applications de démolition. La pince de démolition hydraulique (la plus grosse en version 2 vérins est d'une ouverture de 2500 mm et d'un poids de 13100 kg la MS130R de Mantovanibenne), le broyeur hydraulique fixe ou à rotation (généralement en version 1 vérin), la cisaille à métaux hydraulique fixe ou à rotation (1 vérin) jusqu'à 10800 kg par exemple en application de découpe de bateaux en condition sous-marine, la pince de tri hydraulique, le broyeur à poteaux jusqu'à 1800 mm de diamètre, le grappin de démolition, et d'engins de démolition tels que le bulldozer, la pelle hydraulique équipée de bras standard ou de bras grande hauteur pouvant atteindre 90 m.
Le grignotage. Cette technique, plus couramment utilisée que le dynamitage, elle consiste à démolir la structure à l’aide d’une pelleteuse équipée d’un outil. La dextérité du conducteur, alliée à la performance de l’engin, vient à bout des structures les plus rigides. Mais aujourd’hui les tours à démolir sont de plus en plus hautes, ce qui nécessite des machines toujours plus hautes (la kobelco SK3500D parmi les plus hautes pelles du monde avec 65 mètres de bras de démolition, et au printemps 2008 entrera en service aux Pays-Bas chez le client Eurodemoliton une CAT5110 modifiée avec un bras de démolition télescopique de 90 m portant une pince à béton de 5000 kg et à 70 m une pince à béton Mantovanibenne modèle CR100R de 11 t d'une ouverture de 2000 mm).
Lance thermique. Technique atypique permettant la découpe ou le perçage rapide de n’importe quel matériau (Béton armé, roches, inox, fonte, aluminium…) sans vibration. Technique utilisé comme dernier recours lorsque les techniques classiques ne s'avèrent pas efficaces.
Le dynamitage, c'est-à-dire l'utilisation d'explosifs, et notamment de dynamite pour des immeubles de plus de 7 étages.
Le vérinage, qui consiste à exercer une poussée oblique ou horizontale à l'aide de vérins hydraulique sur un ou deux étages préparés d'une tour ou d'une barre.

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Démolition HQE [modifier]
Une démolition peut faire l'objet d'un cahier des charges de type HQE (Haute qualité environnementale), qui visera à réduire les nuisances tout au long du chantier (bruit, poussière, odeurs, dérangement), à réduire l'empreinte écologique et énergétique du chantier, et à recycler au mieux les matériaux démontés ou issus de la déconstruction et démolition. Certaines constructions HQE sont d'ailleurs maintenant conçues (écoconception) en amont pour faciliter une future déconstruction et la réutilisation de matériaux ou éléments bâtis.

Chantiers [modifier]
Ils sont toujours dangereux et pour cette raison soigneusement matérialisés et entourés de grilles afin d'en restreindre l'accès public. L'évacuation provisoire des riverains peut être décidées en cas d'usage d'explosifs ou de danger particulier. Le brûlage de tout type de déchet à l'air libre est interdit en France et dans de nombreux pays. Certaines friches industrielles, sites militaires, hôpitaux, etc nécessitent des précautions particulières, et devraient être précédés d'une étude de risque et de dangers.

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Déchets [modifier]
La démolition est à l'origine d'un volume important de déchets (ex. : 310 millions de tonnes par an, rien que pour les chantiers de démolition et de travaux publics français). Ils sont, dans la plupart des pays dits développés, répartis en plusieurs catégories, selon leur dangerosité :

Les déchets inertes (DI) ou de classe 3 : Ce sont les déchets non toxiques et qui ne subissent aucune modification dans le temps (gravats, brique, parpaing, tuile, mortier, ciment, carrelage, enrobés sans goudron, terre…). Ils seront retraités en plate-forme de tri, centre de tri, centre d'enfouissement technique de type III. Le béton, lui, pourra être concassé pour être réutilisé en cailloux, gravier, pour faire des routes…

Les déchets industriels banals (DIB) ou de classe 2 : Ce sont les déchets réputés non dangereux, assimilables aux ordures ménagères (emballages, cartons, déchets issus du curage des bâtiments, PVC, lino, plâtre, végétaux, métaux (hors plomb, mercure, etc.), sacs à ciment, câbles et tuyauteries). Ils pourront être enfouis en centre d'enfouissement technique de type II, recyclés (carton, métaux et certains plastiques), incinérés ou revalorisés (transformation des végétaux en compost ou gaz).

Les déchets industriels spéciaux (DIS) ou de classe 1 : Ce sont les déchets comportant des matériaux et produits chimiques ou toxiques néfastes à la santé et à l'environnement (piles, produits ménagers, acides, peintures, dissolvants, hydrocarbures, huiles, pesticides, liquides de refroidissement, amiante, etc.) Ils seront retraités en centre spécialisé, inertés et enfouis selon la réglementation (en décharge de classe 1 en France).

Deux solutions existent pour le traitement de l'amiante :

La vitrification (par plasma),
l’enfouissement en centre spécialisé.
Les déchets dangereux ou les déchets toxiques sont à éliminer avec précaution et selon la réglementation spécifique à leur nature.

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Aspects légaux [modifier]
La démolition d'infrastructures et de bâtiments importants nécessite généralement un permis de démolir. Sauf pour les communes de moins de 10 000 habitants.
Le brûlage des déchets de démolition (et autres) est interdit dans de nombreux pays, en raison du fait qu'ils contiennent souvent des produits toxiques ou posant des problèmes sanitaires ou environnementaux (bois traités avec des pesticides, laines minérales, plomb, zinc, cuivre, PVC, peinture, vernis, etc. qui produisent des fumées et/ou cendres toxiques)

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Les conditions de démolition du patrimoine ou des immeubles situés dans des zones de protection [modifier]
Les conditions dans lesquelles les démolitions peuvent être autorisées sont fixées par le Code de l’urbanisme pour le régime commun et par la loi du 31 décembre 1913 modifiée pour les immeubles protégés au titre des monuments historiques. La loi du 21 juin 1898 (codifiée aux articles 303 et suivants de l’ancien Code de l’urbanisme et de l’habitation) modifiée par la loi n°2000-1208 du 13 décembre 2000 (JO du 14) relative à la solidarité et au renouvellement urbain (SRU) a institué une procédure spéciale destinée à remédier aux dangers créés par les immeubles menaçant ruine. Le maire peut prescrire aux propriétaires de ces immeubles toutes mesures de nature à faire cesser le péril. Lorsqu’il est saisi, le Tribunal administratif est lui-même investi de larges pouvoirs : il peut modifier la décision du maire et ordonner, dans la limite des conclusions des parties, toutes les mesures qui lui semblent s’imposer. La loi du 31 décembre 1913, relative aux monuments historiques, a prévu notamment qu’aucune démolition d’un immeuble situé dans le champ de visibilité d’un immeuble classé monument historique ou inscrit sur l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques ne peut être effectuée sans une autorisation préalable délivrée par le préfet et, en appel, par le ministre chargé de la Protection des monuments historiques.

Dans quelle mesure, lorsqu’un bâtiment menaçant ruine se trouve dans le champ de visibilité d’un immeuble classé ou inscrit, ces deux législations doivent-elles être combinées ? Plus précisément le juge administratif peut-il ou doit-il tenir compte de l’avis émis par l’administration des Affaires culturelles dans le choix des mesures propres à faire cesser le péril ? Telle était la question posée au Conseil d’État par le pourvoi de la société immobilière « La Clairvoyance ».

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Celle-ci était propriétaire d’un immeuble sis à Montmartre qui, en raison de son délabrement, fut frappé d’un arrêté de péril du Préfet de police enjoignant des réparations ou la démolition. Favorable à cette dernière solution, compte tenu de son moindre coût, la société entama les démarches en vue de l’obtention du permis de démolir requis à Paris. Elle demanda notamment, en application de l’article 13bis de la loi du 31 décembre 1913, l’autorisation des services culturels qui s’avérait nécessaire en raison de la situation de l’immeuble compris dans le champ de visibilité de l’église Saint-Jean-de-Montmartre, édifice inscrit à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques. L’Architecte des bâtiments de France refusa d’accorder l’autorisation de démolir car il estimait la conservation de l’immeuble nécessaire à la préservation du site du vieux Montmartre. Parallèlement, la procédure de péril suivait son cours et, les mois passant sans que la société ait entrepris des travaux pour remédier aux dangers créés par son immeuble, le Préfet de police saisit le Tribunal administratif de Paris. Le Tribunal, en se fondant sur l’avis émis par l’Architecte des bâtiments de France, ordonna à la société d’effectuer des réparations importantes, sans démolir l’immeuble. La société soutenait en appel, qu’en retenant ce motif, le Tribunal administratif avait commis une erreur de droit.

Une première solution, qui avait été adoptée en 1957 par la Cour de cassation, consistait à affirmer l’indépendance totale des législations relatives aux monuments historiques et aux édifices menaçant ruine. Dans le cadre de cette dernière procédure, les mesures prescrites par l’Administration et le juge devraient être exclusivement commandées par le souci de remédier le plus efficacement au péril indépendamment de toute considération tirée de l’esthétique ou de la conservation des bâtiments. Cette conception aurait abouti à consacrer la suprématie absolue de la procédure de péril sur toute autre règle d’urbanisme ou de protection, alors que la jurisprudence du Conseil d’État reconnaît depuis longtemps la nécessité de tenir compte, dans le choix des mesures propres à faire cesser le péril, des considérations tirées d’autres législations, par exemple des effets que comportent les plans d’urbanisme en matière d’alignement

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Une deuxième solution, à l’opposé de la précédente, consistait à consacrer la supériorité de la législation sur les monuments historiques. L’Administration et, dans la mesure où il estimerait fondée l’appréciation émise par les services culturels, le juge auraient été alors liés par l’avis de ces services, dans le choix des mesures propres à faire cesser le péril d’un immeuble classé ou inscrit ou situé dans le périmètre de protection d’un édifice classé ou inscrit. Cette solution aurait présenté l’inconvénient d’allonger les délais, compte tenu de la procédure relativement complexe d’octroi de l’autorisation prévue par l’article 13 ter de la loi du 31 décembre 1913, dans une matière où l’impératif de sécurité publique impose des mesures rapides pour mettre fin au péril.

Aussi est-ce à une troisième solution, intermédiaire entre les deux précédentes, que s’est rallié le Conseil d’État. Il a jugé que le choix des mesures propres à faire cesser le péril pouvait légalement tenir compte de l’avis émis par les autorités culturelles. Le juge administratif n’est toutefois pas lié par cet avis et peut ordonner la démolition même si l’administration des Affaires culturelles n’a pas donné son autorisation. Conformément aux principes dégagés par la jurisprudence, le juge doit ordonner les mesures les mieux adaptées et tenant compte de l’ensemble des circonstances de chaque affaire ; l’avis émis par les services culturels constitue, parmi d’autres, un des éléments de cet ensemble (extrait de Études et Documents du Conseil d’État, 1977-78).

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Mazophallation

La mazophallation est une pratique hétérosexuelle de masturbation à deux, populaire dans le cinéma pornographique.

Elle consiste à placer le pénis de l'homme dans l'entre-deux-seins de la femme et à pratiquer une caresse entre deux zones fortement érogènes de chacun des partenaires. Elle est portée par l'émotion que suscite la vue et le toucher du sein de la femme. Pour ne pas laisser échapper la verge, la femme replie un bras contre sa poitrine ou presse ses seins de ses mains. Les deux seins enserrent la verge, mettant le gland en contact avec la peau de la poitrine. Cette position permet l'éjaculation sur le corps de la femme, sans pénétration, mais elle peut justifier l'usage d'un préservatif.

Elle est appréciée par les amateurs de cinéma pornographique au point d'être retenue dans la classification des films par thème. Elle met en scène des actrices aux formes généreuses.

Dans le langage érotique, elle est plus connue sous les noms de « branlette espagnole », « branlette mexicaine » et de « cravate de notaire[réf. nécessaire] ». Certains distinguent les deux expressions qui sont le plus souvent données comme des synonymes. Pour ces derniers, la première pratique se différencie en effet de la seconde en ceci que le pénis y est orienté vers le haut de la poitrine, vers le visage. Au cours de la cravate de notaire, le pénis est a contrario orienté vers le ventre de la partenaire, les testicules reposent sur la gorge de celle-ci et forment ainsi le « nœud » de la cravate, tandis que la femme peut effectuer de manière assez pratique un anulingus à son partenaire.

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Bondage et discipline, domination et soumission et sado-masochisme

Les termes sadomasochisme, domination/soumission sexuelle et BDSM (pour « Bondage et Discipline, Domination et Soumission et Sado-Masochisme ») représentent un ensemble de pratiques utilisant la douleur et l'humiliation dans un but érogène, permettant à ceux qui y sont sensibles de vivre plus intensément leur sexualité. Ces relations sont contractuelles et n'ont donc rien à voir avec le sadisme qui n'est jamais consensuel. « Jamais un vrai sadique ne supportera une victime masochiste »[1]. « Ils veulent être certains que leurs crimes coûtent des pleurs, ils renverraient une fille qui se rendrait à eux volontairement » précise une des victimes des moines dans Justine ou les Malheurs de la vertu[2] [3].

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Sémiologie et polémiques

Diverses polémiques émergèrent tendant à marginaliser le sadomasochisme par rapport au bondage et à la discipline (par exemple la fessée). Il semble que les termes originaux de sadisme et surtout masochisme aient été stigmatisés. La communauté sadomasochiste de San Francisco créa vers les années 1990 les termes top and bottom ou encore sub. Finalement le sigle BDSM fut adopté pour une seule et unique sexualité plurielle fusionnant ainsi bondage, discipline, D&S (domination et soumission), et SM (pour sado-masochisme), conciliant ainsi ces différentes pratiques en une seule.

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Sadisme et masochisme

Gilles Deleuze démontre que l'association par Freud des deux termes, sadique et masochiste, est un « un monstre sémiologique » dans le sens où le sadique, celui qui fait souffrir dans l’œuvre de Sade, n'est pas une personne qui pourrait faire partie de l'univers mental du masochiste chez Sacher-Masoch. En effet, le sadique (chez Sade) se complaît dans la souffrance de l'autre à condition qu'elle ne soit pas consensuelle. « Et en jouit d'autant plus que la victime n'est pas consentante »[5], alors que le masochiste (de Sacher-Masoch) aime à régler, dans des contrats, les modalités diverses de sa « soumission ». Donc l'expression « sadomasochisme » lie le masochisme au sadisme, que Gilles Deleuze nie dans sa présentation de Sacher Masoch. Il écrit : « Sado-masochisme est un de ces noms mal fabriqués, monstre sémiologique »[6], et il considère que le sadisme et le masochisme ne sont ni d'absolus contraires, ni d'une absolue complémentarité. Sade, démontrant un univers criminel, donc non contractuel tandis que Sacher Masoch, lui, est dans le contrat. La douleur psychologique (humiliations) ou physique peut devenir souffrance. Mais la douleur devient plaisir lorsque la charge d'endorphine couvre le choc de la douleur. Ceux qui le découvrent seront toujours en quête, car dans ce cas le désir est exacerbé. Selon Gilles Deleuze « Tout est permis à condition que ça ne mène pas à l’orgasme. Pourquoi ils ne veulent pas de l’orgasme ? Pas parce que c’est fautif. Parce que ce serait l’interruption du désir, et qu’ils parient en droit - j’insiste sur "en droit" - la continuation du désir à l’infini »[7].

Sacher-Masoch, écrivain autrichien propose des contrats dans le but d'être humilié, et, ou de subir des sévices plus durs. Il met en scène son programme masochiste dans son roman La Vénus à la fourrure (masochisme de Leopold von Sacher-Masoch). Par la suite il ne cessera de manipuler ses compagnes et plus précisément Wanda son épouse pour qu'elles incarnent le rôle de la Vénus. Gilles Deleuze.

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Bondage

Les menottes, l'un des accessoires les plus utilisés dans le domaine du BDSM

Le bondage est une pratique qui consiste à rendre un corps captif[8] par tout accessoire de contrainte et quel qu'en soit le procédé.

Un des chercheurs du CNRS donne sur le Dictionnaire du CNRS dix sept mots pour la représentation sémantique du mot bondage et propose de choisir le synonyme qui convient. Sont inclus dans cette représentation les mots : esclavage, servage, emprisonnement, captivité, chaînes, servitude, dépendance etc.[9] Howard Becker et son traducteur J.P.Briand ont choisi, eux, captivité.

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Domination et soumission

Hier sur Minitel les écrits populaires en forum ou sur divers Curriculum vitae tendaient à persuader qu'il existait à travers les relations sadomasochistes des relations dites hard ou soft. Lesquelles seraient des relations masochistes dans le premier cas, c’est-à-dire relations où la douleur physique intervient. Et dans le second cas des relations de soumission qui seraient seulement des relations de service et d'humiliation sans douleur physique. A la lecture des sources sérieuses déjà évoquées sur les articles dominatrice et masochisme rien n'atteste cette thèse. Aujourd'hui on cherche à différencier le sadomasochisme de la soumis/domination pour arriver à prouver une fois de plus qu'il s'agit d'établir que le masochisme physique (de douleurs) serait du masochisme. Et que la soumission serait le fait de ne vivre sa relation qu'à travers une relation psychologique d'humiliations ou de services. Ce qui contredit les sources déjà évoquées, le masochisme est avant tout une relation de contrat.

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Du mot soumission origine

La soumission sociale n'est pas une relation douce. Lorsque l'on remonte l'histoire de notre civilisation la soumission dans divers domaines se rapproche du crime, de l'autorité sociale particulièrement sévère accompagnée de violence physiques : soumis à la question inquisition, la prostituée appelée soumise, (soumise au proxénète). Le peuple était soumis au roi et mourrait de faim. etc. Alors que le, la masochiste sont libres. Et qu'il ou elle éduque le bourreau, ou la bourelle pour une mise en scène que lui ou elle seul(e) décide.Daniel Leuwers a préfacé une Vénus à la Fourrure en livre de poche : « Le masochiste cherche à conditionner l'attitude de la femme en vue de la faire participer à un jeu dont il entend assumer seul la direction. Il s'agit de donner à la femme l'illusion du pouvoir alors qu'elle est sous le joug insidieux de l'homme qui la force à le battre[10]. » Celui qui se ferait battre ou humilier sans accord explicite ponctué par le contrat, serait la victime du sadisme. Les psychanalystes, Sacha Natch confirme la maîtrise du masochiste. A moins de parler de « soumission volontaire », on peut très vite faire l'amalgame entre la soumission sociale et la soumission ludique. Alors, que le mot masochiste est, lui, beaucoup plus clair. La douleur, nous dit Sacha Nacht, « dans la plupart des cas, elle vient compléter et achever une mise en scène plus ou moins compliquée, imaginée, puis exigée par le masochiste »[11].

Aujourd’hui on trouve quelques romans de gare qui enseignent des méthodes destinées aux femmes, pour l’éducation de leur mari. Mais ces thèses ne se retrouvent pas chez des auteurs reconnus et sérieux. Ces textes sont souvent écrits par des personnages inconnus de tout public. Qui, à l'image d'un gourou, tentent de former des disciples. Leopold von Sacher-Masoch, lui, écrivait son programme et harcelait ses compagnes pour qu'elles incarnent la Venus à la fourrure.[1]. Mais il avait l'honnêteté de dire « Si une telle femme était dans ma vie, elle ne serait pas dans mes livres ». Masochisme de Leopold von Sacher-Masoch

Ce que l’Homme cherche à travers cet enseignement, c’est de posséder sa dominatrice à domicile. On citerait volontiers l’article wikipedia sur Simone de Beauvoir « Quant au mariage, elle le considère comme une institution bourgeoise aussi répugnante que la prostitution lorsque la femme est sous la domination de son mari et ne peut en échapper. » Dans la domination/soumission à domicile, c’est encore la femme qui est sous la domination patriarcale. L’homme emploie l’influence et aussi surprenant que cela puisse paraître, le contraire, c'est-à-dire femme enseignant son bourreau, ne semble pas publier son programme, ce qui ne signifie pas que ces femmes n’existent pas.

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Professionnels [modifier]

En dehors des professionnels on note divers pratiquants

* Les couples : ils sont très rarement professionnels et exercent seuls ou établissent des relations avec d'autres couples et se rencontrent dans des soirées organisées.
* Les hommes seuls, en recherche d'un ou plusieurs partenaires.
* Le sadomasochisme est énormément pratiqué dans le milieu gay, quelques professionnels gay
* Dominatrices amatrices.

Dominatrices professionnelles

Elles sont fréquentées par des hommes qui ne veulent pas partager leurs fantaisies avec leur femme ou leur petite amie. Ils prétendent que leur compagne ne supporterait pas de rentrer dans leur fantasme et les quitterait sûrement. Où, pour la paix de leur famille, ils craignent de ternir l’image du Père. Ils vont voir une professionnelle aussi parce que c'est plus pratique que d'attendre sur un chat qu'une non professionnelle les convoque. Ils veulent en finir avec la pulsion et retourner à la vie civile. Où, généralement, le maître c'est eux.

Elles se divisent elles-mêmes en différentes catégories :

* Celle qui renonce à son propre masochisme en devenant « masochisante »[1]. Elle n’est pas sadique et l’erreur serait de croire qu’elle l’est[12]. Cette dominatrice joint l’utile à l’agréable. Souvent d’excellentes techniciennes, lorsqu’elles sont appliquées. Lorsqu’elles ont assimilé leur rôle et sont attentives au moindre signe du sujet pour comprendre ce qu’elles doivent ordonner.
* D'autres ne s'intéressent qu'à l'argent qu'elles vont gagner et dépenser.

Il existe également de par le monde des « Maisons de domination » : autorisées en Allemagne, aux Pays-Bas, aux États-Unis, etc., elles sont interdites en France et sont passibles de condamnations pour proxénétisme. Certains donjons internationaux sont organisés par des dominatrices expérimentées qui savent choisir leur personnel. D’autres ne sont que de vulgaires maisons de passe appartenant à la mafia. Avec des dominatrices plus ou moins bien formées, dont certaines ne sont ni bien psychologues, ni bien attentionnées. Le film de fiction Maîtresse, avec Gérard Depardieu et Bulle Ogier met en scène cette situation.

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Principales pratiques [modifier]

Le BDSM se pratique généralement à deux ou plus, dans un rapport théâtralisé entre dominant et dominé, généralement désignés respectivement par les termes « maître » ou « maîtresse » et « soumis » ou « soumise ».

On peut rencontrer, dans les pratiques BDSM :

* Les membres attachés (menottes, cordes, collier, bâillon, chaînes) ;
* La privation des sens (yeux bandés, bâillon, asphyxie) ;
* Le fantasme de l'attente (attendre sans savoir ce qui se passera, ni quand) ;
* Le vocabulaire de type « Maître(sse)-esclave » (le tutoiement et vouvoiement, parfois considéré comme trop franco-français).
* Des humiliations (verbales, physiques, de situation...)
* De la diffusion des séances en vidéo sur Internet ;
* (Flagellation, fessée), de la brûlure à la cire de bougie, etc.

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Citation [modifier]

Dans Pop model, les mémoires de Lio écrites avec Gilles Verlant on peut lire :

« Il existe des femmes qui aiment les rapports masos, ça les excite ; elles font très bien la différence entre l’acte sexuel, où elles apprécient certaines choses qui sont de l’ordre du lien, de la coercition, même accompagnée de fessée, de coups de cravache, dans le cadre d'un jeu librement consenti, et la violence conjugale qu’elles ne supportent absolument pas par ailleurs ».

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Santé et sécurité

Certaines de ces pratiques peuvent, lorsqu'elles se font sans la connaissance des limites des participants, être hasardeuses. C'est là que le contrat intervient. Si les partenaires ne se connaissent pas encore, il est indispensable de définir les limites avant le début du jeu. L'écoute, la progression et une attention particulière restant indispensables pendant le jeu.

Afin de limiter tout risque de contamination, il est recommandé de ne jouer aux jeux d'aiguilles qu'avec son partenaire régulier, de façon à ne pas être piqué avec une aiguille avec laquelle le dominant se serait accidentellement piqué lui-même. De même, les objets de pénétration doivent être nettoyés après usage et protégés par un préservatif pendant l'usage.

La cire chaude doit être versée d'une distance suffisante pour ne pas provoquer de vraies brûlures (une plus grande distance refroidit la cire).

Les professionnel(le)s - et tout dominant pratiquant avec un sujet soumis qu'il ne connaît que peu ou pas - devront vérifier, avant toute pratique un peu dure suggérée par leur sujet, que celui-ci ne présente pas de contre-indication médicale : problème cardiaque, insuffisance respiratoire de type asthme ou sinusite, etc. Le dominant devra dans ces cas précis refuser certaines pratiques telles que suspensions par les pieds, contrôle de la respiration, bâillon dur, masques, cagoules de contrainte, etc.

Concernant le ligotage, il est indispensable de vérifier qu'a aucun endroit du corps la corde fait un effet garrot. Il convient de proposer un signe des que le sujet ressent un quelconque malaise et, dans ce cas, de le libérer immédiatement. Il ne faut jamais laisser un sujet immobilisé sans surveillance.

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Safeword, ou code de sécurité [modifier]

Le safeword, en français mot de passe ou mot d'alerte est un signal d’urgence, le « pouce ! On arrête ! » du jeu BDSM qui, utilisé par la personne qui se soumet, indique au partenaire qu’il doit immédiatement et sans discussion interrompre l’action en cours, et la délivrer de toutes contraintes éventuelles aussi rapidement et prudemment que possible. Quant aux safewords non verbaux, rendus nécessaires par l’usage des bâillons, un signe de la tête peut indiquer l'état d'urgence.

Cérébralité et safeword

Des dominants expérimentés estiment que le safeword fait perdre une partie de la cérébralité du jeu. En effet ce qui provoque, souvent, l'excitation et le désir dans une relation dominant/dominé, c'est justement l'abandon du dominé qui s'en remet entièrement au dominant ou à la dominatrice. Le dominant doit alors communiquer par une clef invisible et doit comprendre, sans que le dominé ne l'énonce clairement, à quel moment il doit ralentir, voire s'arrêter. Il s'agit de savoir communiquer comme un medium talentueux pourrait le faire. Il s'agit de comprendre les non dits. Pour cela le dominant doit connaître son sujet et la dominatrice ou le dominateur doit être plus que jamais à l'écoute. Ce qui, évidemment, exclut les joueurs débutants qui doivent s'en tenir au safeword.

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Respect [modifier]

Il est important, pour les deux partenaires (dominant et dominé) de toujours conserver à l'esprit le confort du partenaire dominé afin d'établir clairement les limites à ne pas dépasser.

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Législations

Les législations des principaux pays occidentaux n'interdisent plus les pratiques sexuelles BDSM. Toutefois, le Royaume-Uni définit un seuil de pratiques au-delà desquelles le BDSM tombe sous le coup de la loi. L'affaire Spanner (année 1991) qui a consisté en la criminalisation d'hommes consentants, alors qu'aucune plainte de quiconque n'avait été déposée, a jugé coupables des « dominants » sur la seule base des marques laissées sur les « soumis ». Une fessée un peu appuyée, un bondage serré sont donc illégaux (ce jugement a été validé par la Cour européenne en Juin 1997[13]).

Il faut s'en tenir au jugement. Les participants à ce que l'on a nommé l'affaire Spanner furent condamnés sur la possession d'images hard entre majeurs consentants. Ce qui est à noter c'est qu'à l'époque, la loi anglaise punissait ceux qui se faisaient violence à eux-mêmes, d'où l'interdiction de se suicider. Un rescapé du suicide en Angleterre était passible de prison pour tentative de meurtre envers lui-même. C'est ce qui amena la chambre des Lords à infliger des peines de prison aux « dominés ». Des peines inférieures d'environ 50% par rapport aux dominants.

La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a aussi statué dans l'affaire K.A. et A.D. c/Belgique (jeux sexuels entre plusieurs hommes et une femme) le 17 février 2005 contre une pratique du sadomasochisme si la personne « esclave » demandait de façon expresse mais aussi tacite l'arrêt de ces pratiques. En l'occurrence, la justice juge le manquement au consentement, mais pas la pratique en elle-même, ce qui était le cas dans l'affaire Spanner.

Depuis 2002, la Suisse possède l'une des législations les plus répressive concernant la pornographie dite dure[14].

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Associations

Il existe dans chaque pays (ou région selon le besoin) des associations qui ont pour but (non lucratif) d'accueillir les curieux, les débutants, et les adeptes du BDSM. Ces associations offrent un milieu sain et stable pour découvrir ce monde en toute sécurité.

* France : PariS-M
* Site de l'A.S.M.F., Association Sportive et Motocycliste de France, association gay SM parisienne, ayant plus de trente ans d'existence.
* Site de l'association MECS EN CAOUTCHOUC (M.E.C.), l'une des plus importantes associations européennes, qui rassemble des Gays fétichistes du latex et adeptes des pratiques hard et SM. Elle existe depuis près de 20 ans.
* Association qui milite pour l'annulation du jugement de l'affaire Spanner : ce groupe souhaite «défendre les droits de sadomasochistes de toutes orientations sexuelles et en particulier annuler le jugement [...] qui rend certaines activités SM illégales même en cas de consentement de toutes les parties».
* http://www.vvsm.be/ Site de l'association VVSM-Village (autrement dit "le VVSM") étant une association sans but lucratif qui tente à unir les adeptes du BDSM. L'association est ouverte à chaque personne ayant une préférence pour le sadomasochisme sur base d'un consentement mutuel de chaque participant.

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JUlysse a écrit:
C'EST BON CA... J'AI TROUVE MA NOUVELLE SIGNATURE ! flower


Mais PTDR quel forum de bras cassé LaughingLaughingLaughing

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Aymeric a écrit:
JUlysse a écrit:
C'EST BON CA... J'AI TROUVE MA NOUVELLE SIGNATURE ! flower


Mais PTDR quel forum de bras cassé LaughingLaughingLaughing


Hé, hé... Bravo

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L'anulingus, ou anilinctus voire anilingus, est une pratique sexuelle consistant en l'excitation buccale de l'anus ou du périnée[1]. Cette pratique est aussi désignée par l'expression « feuille de rose »[2].

La région anale est une des zones érogènes du corps[3]. Mais l'anus n'est pas aussi spontanément érogène que les organes génitaux, et il faut parfois répéter régulièrement les stimulations pour éveiller la sensibilité érogène de la région anale. Chez un tiers des personnes qui pratiquent régulièrement les stimulations anales, surtout internes (stimulations digitales, sodomie), ces stimulations peuvent déclencher l'orgasme[4].

L'anulingus est indépendant du sexe ou de l'orientation sexuelle de ses pratiquants. Il peut être qualifié d'actif pour la personne utilisant sa bouche, et de passif pour la personne sur laquelle il est pratiqué.

L'anulingus peut aussi être pratiqué comme une préparation à la sodomie. En effet la salive possède des propriétés lubrifiantes. Cependant, cette pratique ne constitue pas une lubrification cohérente avec l'usage du préservatif, l'anulingus présentant en lui-même des risques de transmission pour certaines MST.

Risques [modifier]
Cette pratique sexuelle comporte des risques de transmission de maladies sexuellement transmissibles : virus (dont surtout hépatite, herpès), parasites intestinaux, bactéries.

Le risque de transmission des hépatites est particulièrement élevé pour l'Hépatite A, fort heureusement beaucoup moins dangereuse que les autres car réversible et peu grave pour un adulte sans fragilité particulière. Le risque de transmission des hépatites B et C (et potentiellement d'autres) est inférieur car celles-ci se transmettent par le sang; la contamination nécessite donc une fragilité particulière des muqueuses et une mise en continuité des compartiments sanguins de chaque personne. Ce risque n'est cependant pas exclu. Hors blessure et saignement, cette pratique comporte peu de risques de transmission du VIH.

Prévention [modifier]
Outre une toilette minutieuse à l'eau et au savon, seule la digue dentaire permet de prévenir les risques de transmissions des MST.

Digue dentaire
l'utilisation d'une barrière en latex offre la même protection qu'un préservatif. Cet accessoire est le même que celui recommandé pour la pratique du cunnilingus. Il est malheureusement difficile à se procurer en dehors des fournisseurs spécialisés en articles médicaux ou des Sex shops.
Lavement
les inconvénients dus aux reliquats de matières fécales peuvent être réduits par la pratique du lavement avant l'acte, dans le cas d'un anulingus perforant qui s'apparente à une sodomie, mais également pour un anulingus plus classique où la proximité du contenu de l'ampoule rectale se fait sentir. Cependant, le lavement ne constitue pas une réduction du risque de maladies infectieuses, les germes ou les œufs les induisant ne sont pour la plupart pas situés dans les fèces. Les virus et bactéries les plus virulents sont situés dans la paroi intestinale ou dans le sang, et les œufs de parasites sont souvent déposés sur la marge de l'anus, dans les replis de celui-ci, attendant d'être transmis par voie manuportée.
Le lavement, par la contrainte importante qu'elle fait subir à la partie inférieure du tube digestif, ou de la mauvaise utilisation de la canule, ainsi que de ses bords potentiellement coupants, pourrait même induire des microlésions et augmenter les risques infectieux.

Le lavement peut être aussi pratiqué par plaisir : il s'agit alors de clystérophilie.

Cas des parasites intestinaux [modifier]
Le cycle de transmission oro-fécal de certains parasites intestinaux est habituellement engendré par une mauvaise hygiène des mains après défécation ou par grattage de l'anus à cause du prurit induit par les parasites, ce qui est source d'autocontamination et de réinfestation.

Dans le cas de l'anulingus, cette contamination est extrêmement probable, voire systématique. Il peut s'ensuivre un cycle de réinfestations perpétuelles pour un couple dont les deux membres ont recours à cette pratique. Cette pratique n'est pas toujours prise en compte dans les risques potentiels de contamination oro-fécale.

Cas du ténia [modifier]
Ce ver nécessite habituellement un hôte intermédiaire qui est le plus souvent un bovin ou un porc, chez qui la larve se développe et qui est consommé ensuite par l'être humain. Dans le cas de contamination par ingestion d'œufs de ténia, l'homme peut alors servir d'hôte intermédiaire de substitution. Il se développe alors une maladie correspondant au développement de l'œuf appelé cysticercose, autrement plus dangereuse que l'infection au ténia normal. Cette maladie provoque des atteintes très grave des muscles voire du cerveau.

Il est donc recommandé de ne pas pratiquer l'anulingus sur une personne souffrant de ténia sans une protection par digue buccale. Toutefois la contamination est moins probable en raison de la taille des œufs, visibles à l'œil nu.

Orthographe et désignations [modifier]
Le mot semble avoir été créé de toutes pièces à l'époque moderne. De nombreuses orthographes ont été utilisées de manière plus ou moins abusive, sans que l'une d'entre elles se soit aujourd'hui imposée. On recense ainsi les variantes : anulingus (la plus commune en français, sa relation avec le mot anus étant évocatrice, et la racine lingus se retrouvant dans cunnilingus), anilinctus, analingus (ces deux versions seraient inspirées de l'anglais), anilingus, anulinctus, analinctus. De manière générale, toutes les combinaisons des préfixes ana-, ani-, anu- et des suffixes -lingus, -linctus ont été utilisées. Les préfixes anna- ou annu- sont toutefois impropres.

Un certain nombre de mots anglais sont utilisés, souvent dans le cadre de la pornographie; le plus connu est "rimming".

L'expression rapport bucco-anal s'écrit elle aussi selon plusieurs variantes : rapport buccoanal, rapport oroanal, rapport oro-anal. Le terme retenu dans la

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