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V50RS

Rock Story

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Après quelques recherches et un appel a ma mémoire,voici ma version de l'histoire du rock....Avec un petit QCM a la fin pour voir si tout le monde a suivi!!!!!Wink

Par contre désolé pour les photos ,mais comme j'ai créer ce dossier en word,c'est une vraie galère de les inclures ici,pour ceux interessés par le dossier complet je pourrais leur envoyer par mail.

Partie 1


Bon comme chacun le sait le blues est né aux Etats Unis à la fin du XIXeme siècle dans les plantations de coton et est donc issu des chants de travail des esclaves noirs. Il fut également à l'origine du jazz.
Le blues est un chant de plainte qui évoque les affres de l'existence et de
l'amour. Le mot "blues" signifie d'ailleurs en anglais
"cafard", "tristesse".
En général, les chanteurs de blues s'accompagnent eux-mêmes à la guitare ou à
l'harmonica comme Sonny Terry.


Le blues passa du Mississipi et du Texas aux ghettos des grandes villes telles que Atlanta, Memphis, Saint-Louis, Chicago et se durcit considérablement.
Il devint le blues "urbain" et trouva son aboutissement au cours des
années 20 et 30. A l'époque, la forme des paroles et de la musique se normalisa et les chanteurs travaillaient souvent avec un ensemble de jazz ou piano.
L'interprétation au piano solo donna naissance au Boogie Woogie.
Le blues et le jazz sont tellement liés qu'il devient parfois impossible de les
distinguer.
Dans les années 50, BB. King et Ray Charles utilisèrent des guitares
électriques aménagées de façon à permettre la manipulation de sons soutenus.




BB King











Ray Charles
Les éditeurs de disques appliquèrent les termes de "Rythme and Blues"

et de "Soul Music" au blues ainsi qu'à la musique qui n'était pas du
blues mais qui s'inspirait de ce blues "urbain".





Le jazz lui est né au début du XXeme siècle et issu du blues, se développe au sein de la communauténoire des Etats Unis.
L'origine du mot "jazz" demeure mystérieuse. Parmi de nombreuses
hypothèses, certains le font dériver d'un terme créole français de La Nouvelle Orléans formé sur le verbe "jaser" ; d'autres le font remonter à
l'expression "Jazz-Belles", déformation satirique par les Noirs de
"Jezebel", utilisé par les colons cajuns pour désigner les
prostituées de La Nouvelle Orléans.
Toujours est-il que l'expression semble faire référence à la fois à la parole,
à la dance et au sexe.
Dans le jazz instrumental, la musique écrite constitue en général un simple
canevas sur lequel les musiciens improvisent.
Parmi les composantes de la musique populaire noire ayant contribué à la
naissance du jazz se trouvent les morceaux de banjo, la musique des pianos-bars ainsi que les marches et hymnes souvent joués par des fanfares.
Le premier enregistrement d'un orchestre de jazz date de 1917. C'est un groupe de musiciens blancs de La Nouvelle Orléans, "The Original Dixieland Jazz Band" et qui fit sensation aussi bien à l'étranger qu'aux Etats Unis.

En 1923, le premier grand orchestre noir, le "Créole Jazz Band",
dirigé par le cornettiste King Oliver, influença largement ce style de musique.
Les enregistrements de celui-ci sont les plus emblématiques du jazz New Orléans.

Parmi les principaux autres musiciens, figurent Bunk Johnson et Freddie
Keppard, tous deux trompettistes, le saxophoniste soprano Sydney Bechet, etc...

Le musicien de style New Orléans le plus influent demeure cependant Louis
Armstrong qui fut un temps le second trompettiste du groupe de King Oliver.
Louis Armstrong fut le premier véritable improvisateur du jazz, il modifia le
style en plaçant le soliste au premier plan.




















La contribution des pionniers, en particulier Armstrong, Ellington et

Henderson, fit du jazz une composante influente de la musique américaine au cours des années 1920 et 1930. Des musiciens très populaires tels que les chefs d'orchestre Glenn Miller et Paul Whiteman utilisèrent certains des moyens rythmiques et mélodiques les plus marquants du jazz, bien qu'avec moins de liberté d'improvisation et de talent que ne l'avaient fait les plus grands de leurs prédécesseurs.
La fin des années 1940 apporta une profusion de nouvelles expériences pour le jazz. Des orchestres «!modernes!» conduits par Gillespie et Stan Kenton se développèrent parallèlement aux petits groupes, comportant des musiciens novateurs tels que le pianiste Lennie Tristano. Certains de ces groupes s'inspirèrent d'œuvres du XXe siècle de maîtres tels que Bartók et Stravinski, tandis que la formation de Gillespie puisait ses sources dans la musique afro-cubaine pour créer le latin-jazz, annonçant la salsa.

En 1955, Miles Davis forma un quintet avec le saxophoniste ténor John Coltrane, dont l'approche contrastait de façon frappante avec les lignes mélodiques lentes et expressives, presque extatiques, du célèbre trompettiste. Coltrane déversait des flots de notes passionnées et rapides, explorant les tonalités et les modes mélodiques, aussi exotiques fussent-ils. Il joua également de façon posée des ballades lentes pleines de sérénité. Dans ses solos, il fit preuve d'un sens exceptionnel de la forme.

Le jazz traversa une crise à la fin des années 1960. Les publics plus jeunes
accordèrent leur préférence au rock et aux nouvelles formes de musique
populaire noire comme la soul, le rythme and blues et le funk, tandis que les
amateurs plus âgés se détournaient de l'abstraction et de la froideur
intellectuelle d'une grande partie du jazz moderne.
Certains musiciens de jazz empruntèrent des idées à ces musiques populaires, en particulier du rock, mais la plupart de ces innovations furent tirées des rythmes de danse et des progressions harmoniques de musiciens noirs tels que James Brown. D'autres groupes introduisirent également des éléments musicaux provenant d'autres cultures. Les premiers exemples de ce nouveau jazz «!fusion!» rencontrèrent un succès inégal mais, en 1969, Miles Davis enregistra Bitches Brew, un album qui associait des rythmes de soul et des instruments électroniquement amplifiés pour produire un jazz sauvage, psychédélique et envoûtant.

En fait, le terme «!jazz!» ne suffit plus à embrasser la richesse des musiques d'improvisation qui se sont développées grâce à lui!; Miles Davis lui-même, dès les années 1970, reniait le terme pour déclarer qu'il ne faisait que de «!la musique!». L'espoir demeure, cependant, de voir se développer dans la diversité des cultures mondiales, l'inventivité et l'énergie de l'improvisation, ce subtil syncrétisme d'expression individuelle et de symbiose collective que le jazz afro-américain a apporté au XXe siècle musical.
Bien que le jazz conserve des origines essentiellement nord-américaines, son
public international se développa à un tel point que de nombreux musiciens non américains s'imposèrent et créèrent une forme de jazz indépendante comme l'avaient fait quelques décennies plus tôt le guitariste belge Django Reinhardt, qui associa le swing à la musique tsigane, et le violoniste français Stéphane Grappelli. En Europe, une multitude de musiciens se consacrèrent au jazz et aux musiques d'improvisation, travaillant avec des Américains. Ils développèrent des formes originales de musiques improvisées, utilisant certaines formes du jazz tout en élaborant des systèmes d'improvisation, des contenus harmonique et rythmique propres à leurs traditions ou inspirés de la musique contemporaine.
Ainsi, des musiciens comme les Français Jean-Luc Ponty, Michel Portal, Louis Sclavis, Martial Solal ou Marc Ducret, le Norvégien Jan Garbarek, les
Britanniques Courtney Pine et Django Bates, le Sud-Africain Hugh Masekela ou le Bosniaque Bojan Zulfikarpasic ont su faire vivre l'esprit du jazz en le
nourrissant de leur propre culture.



Je terminerais en rendant un hommage à Michel Petrucciani, décédé le 6 janvier 1999 à New York à l'age de 36 ans, pianiste et compositeur français de jazz. En 1977, il joua avec le légendaire batteur de jazz Kenny Clarke, ainsi qu'avec le trompettiste Clark Terry et le multi instrumentiste français Bernard Lubat. Il enregistra son premier disque, Flash, en 1980, puis partit s'installer en Californie en 1982, où il travailla avec Charles Lloyd! ils partirent ensemble en tournée mondiale avec son quartette. Son premier enregistrement américain, 100 Hearts, parut en 1984. Malgré son jeune âge, on ne compte plus les stars du jazz avec lesquelles Michel Petrucciani a collaboré : Wayne Shorter, Roy Haynes, Freddie Hubbard, Joe Henderson, Lee Konitz, pour n'en citer que quelques-unes. Il n'en a pas moins continué de publier régulièrement des disques de ses compositions avec son propre groupe. Son style de piano, à la fois énergique et intimiste, et ses dons de mélodiste ont fait merveille dans des enregistrements comme Power of Three (avec Wayne Shorter et Jim Hall( 1986), Michel plays Petrucciani (1987) ou encore son disque de piano solo consacré à Duke Ellington, Promenade with Duke (1993).

QCM


1ere
proposition

En
France nous avons un grand violoniste de Jazz reconnu même par les américains,
il s’agit de :


André Rieu

Frank Mikael

Jean-Luc Ponty

Bernard Ducreux


2 eme
propostion


Michel Petrucciani immense pianiste de jazz
avait une particularité, il etait :


barbu
cul de jatte
manchot
nain

3 eme
proposition

Ray Charles à écrit une chanson qui a fait le tour du monde et à été reprise par pleins d'artistes,il s’agit de :

it’s a wonderful word

georgia a my mind
the worm dance
Dolly

4 eme proposition
Un quintet de jazz est composé de :

les frères Quint
5 musiciens
plusieurs trompettiste
2 batteurs

5 eme
proposition

De quelle ville des état unis sont originaires les « bigband » :

new York
chicago
St louis
New Orleans

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