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L'alliance PSA-GM serait compromise

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General Motors (GM) a renoncé à la fusion de sa filiale Opel et des activités automobiles de PSA Peugeot Citroën en raison de la situation financière du groupe français, affirme mercredi 14 novembre La Tribune.fr.

"GM a renoncé début novembre au projet de fusion entre Opel et la division auto de PSA Peugeot Citroën", indique le site, citant "une source française bien informée". "Mais la présence de l'Etat français dans PSA à travers son soutien à la Banque PSA Finance n'y est pour rien", ajoute le site d'information économique. Selon la source du site, cette fusion est "suspendue à tout le moins et vraisemblablement enterrée".

COOPÉRATIONS
La Tribune.fr en conclut que ce qui devait être une grande alliance se réduit à des coopérations, en référence aux quatre projets de coopération sur des familles de véhicules annoncés le 24 octobre.

"C'est une rumeur sur une rumeur, on ne fera pas plus de commentaires. Le 24 octobre, on a annoncé quatre projets avec GM. Aujourd'hui, on est concentré sur la réalisation de ces projets", a déclaré un porte-parole de PSA Peugeot Citroën. GM n'était pas immédiatement joignable.

DIFFICULTÉS FINANCIÈRES
Les deux groupes avaient fait part fin février de leur rapprochement destiné à mutualiser leurs achats de biens et de services et à mettre en commun le développement d'éléments non visibles des voitures tels que le châssis. GM est en outre entré au capital de PSA à hauteur de 7 % dans le cadre de cette alliance.

Les deux constructeurs avaient ensuite annoncé le 24 octobre avoir retenu quatre axes de coopération devant aboutir au lancement de nouveaux véhicules d'ici la fin 2016. Ils devaient également créer une structure commune pour gérer leurs achats, avec pour objectif de dégager 2 milliards de dollars de synergies par an à se partager d'ici cinq ans.

PSA, en difficultés financières, projette de supprimer 8 000 postes en France, ce qui se traduira par la fermeture du site d'Aulnay-sous-Bois, en région parisienne, en 2014, et la perte de 1 400 postes à Rennes (Ille-et-Vilaine). Le groupe a réalisé un chiffre d'affaires en repli de 3,9 % à 12,9 milliards d'euros au troisième trimestre, marqué par un environnement concurrentiel plus difficile et par un affaiblissement du marché européen.

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