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dom465

Williams (2)

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L'indépendance ne s'envisage qu'avec l'indépendance financière.

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c'est triste de voir WILLIAMS sombrer comme ça ! pas vive le $port pognon

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dom465 a écrit:
Le père Stroll est intéressé par le rachat, au moins partiel, de l'écurie. Mais la famille Williams tient trop à son indépendance.
Tant qu'elle pourra se le permettre !


..."Tant qu'elle pourra se le permettre" !...T'as mis le doigt dessus Dom...

Je vois un mauvais avenir pour Williams pour le moment, mais je suis négatif à cause de toutes leurs balourdises mal orchestrées...Faudrait un nouveau Directeur d'écurie d'après moi, non ?

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Williams licencie son chef de l’aéro, Dirk de Beer

Ca va mal à Grove





31 mai 2018 - 08h13, par Olivier Ferret 


Cela va mal chez Williams et, dans ces cas-là, il y a toujours des têtes qui tombent. C’est le cas de celle du directeur de l’aérodynamique, le pourtant réputé Dirk de Beer. De Beer venait tout juste de rejoindre l’équipe de Grove, l’an passé, après être passé chez Ferrari. Son licenciement est à effet immédiat. "Williams peut confirmer que Dirk De Beer a quitté son poste et cela prend effet immédiatement," commente l’équipe dans un communiqué. "L’équipe veut remercier Dirk pour son travail durant l’année écoulée et lui souhaite le meilleur pour l’avenir." Williams a déjà réorganisé sa structure. "Doug McKiernan, notre ingénieur en chef arrivé plus tôt cette saison, prendra maintenant toutes les responsabilités de l’aérodynamique et du design. Dave Wheater prendra la place de directeur de l’aérodynamique." Il y a quelques jours, c’est le designer en chef, Ed Woods, qui a payé le prix des mauvaises performances de la FW41. Paddy Lowe, directeur technique, reste toujours en place. Il faut dire qu’il est aussi actionnaire de Williams...

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Williams laisse entendre que Stroll poursuivra en 2019

Le Canadien n’a pas une voiture à la hauteur de son talent





6 juin 2018 - 10h46, par Emmanuel Touzot 


Lance Stroll a marqué ses premiers points en Formule 1 devant son public l’année dernière, grâce à une neuvième place, mais le Canadien n’envisage pas forcément de réitérer une telle performance cette saison, sauf course mouvementée. "La voiture n’est tout simplement pas compétitive" explique-t-il au journal La Presse. "Il faut travailler sur toutes les composantes de la voiture afin d’améliorer le package et d’être en mesure de nous battre à nouveau pour les points, mais ça prend du temps. C’est sûr que nous ne sommes pas où nous voudrions être, mais je fais tout ce qui est en mes moyens pour améliorer la voiture et j’ai bien l’intention de continuer à travailler ainsi tout au long de la saison." Il revient ensuite sur son arrivée dans les points l’année dernière, sa première en carrière, qui avait d’ailleurs précédé un podium à Bakou. Une journée très spéciale pour le pilote canadien, héros de son public. "J’ai tellement de beaux souvenirs de cette journée. Je me souviens particulièrement du tour d’honneur, après la course, alors que j’entendais clairement à travers mon casque les cris et les applaudissements des spectateurs debout dans les gradins. J’avais sauté dans la foule pour partager cette joie et cela avait vraiment été magique. Je me souviens aussi du retour à la maison. Tous mes proches avaient déjà quitté le circuit, j’étais seul dans ma voiture, c’était une merveilleuse journée et je roulais dans les rues que je connaissais bien, près de l’école que j’avais fréquentée."

Malgré les difficultés, Claire Williams tient à souligner l’excellent travail de son pilote et laisse entendre que Stroll rempilera pour une troisième saison en 2019 avec l’équipe. Bien qu’il soit quelque peu malmené par Sergey Sirotkin, le jeune pilote est soutenu par son père, le milliardaire Lawrence Stroll. "Il a travaillé avec beaucoup de rigueur afin d’améliorer les points qu’il devait corriger" explique Claire Williams. Il subit beaucoup de pression, reçoit des critiques qui ne sont pas méritées et je crois qu’il démontre une maturité extraordinaire en composant avec tout cela. Je suis très fière du travail qu’il a effectué pour nous et j’espère que nous pourrons bientôt lui confier une voiture qui lui permettra de montrer tout son potentiel. Je crois sincèrement qu’il a une belle carrière devant lui en F1. Nous ne parlons pas encore de contrat, mais nous estimons que Lance a été à la hauteur des attentes pour nous jusqu’ici et les équipes n’aiment pas se séparer sans raison des pilotes qui le font."

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De fait Stroll est le "propriétaire" de l'écurie.

Il ne va pas se virer lui même.

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