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Clousot

Ferrari (2)

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Et oui, les espions sont partout !
Ferrari a bien veillé à cacher son volant mais lorsque Vettel est sorti de sa voiture après les essais, il a bien fallu qu'il enlève son volant et le pose quelques secondes sur son cockpit, avant de s'empresser de le remettre dès qu'il était sorti. Mais, trop tard, une photo avait déjà été prise où l'on pouvait distinguer cette troisième palette qui a éveillé les soupçons !

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Tombazis ? A quitté Ferrari en 2014 selon une restructuration, et est allé chez Manor.

Là il a été appointé par la FIA de la direction technique des monoplaces F1, F2, F3 & F4.

Il est capable, mais je voudrais bien savoir pourquoi et comment, tout à coup, n'ayant plus dans le collimateur le mode "fête" de Mercedes, tous les regards se tournent sur la SF71H ?

Il y a anguille sous roche...

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C'est le milieu qui veut ça.
En même temps ils n'ont que ça à faire et c'est leur métier.

Il ne faut pas oublier qu'entre les écuries il y a des gens payés pour être à l'affût de tout ce qui bouge et qui pourrait "intéresser" du monde.
L'espionnage industriel ce n'est pas un leurre surtout si c'est c'est pour faire plier la concurrence.

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Clousot a écrit:

L'espionnage industriel ce n'est pas un leurre surtout si c'est c'est pour faire plier la concurrence.


TTAFait  Surtout en F1, et puis, ce sont les premiers à jouer aux Saintes-Nitouches...


De toutes manières, et ça depuis bien longtemps déjà, la F1 ne fera jamais l'unanimité, c'est justement ce qui la différencie de bcp. d'autres disciplines, là on parle le haute-technologie et compétition. Il y aura toujours des coups bas, des médisances et des "et si ils...>

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Symonds pense que Ferrari a d’ores et déjà sacrifié Räikkönen

Et voit deux grandes failles chez Mercedes





25 avril 2018 - 17h11, par Alexandre Combralier


Désormais responsable technique de la F1, Pat Symonds continue de scruter de près des paddocks qu’il connait très bien, après une longue expérience dans le milieu. Pour l’ancien directeur technique de Williams, le Grand Prix de Chine a permis d’ôter tous les doutes dans les esprits : Ferrari a décidé de sacrifier la saison de Kimi Räikkönen pour augmenter les chances de Sebastian Vettel au championnat du monde. A Shanghai, le Finlandais avait été laissé longtemps en piste pour ralentir les Mercedes, au risque de sacrifier ses Pirelli. Or, cette stratégie pourrait ne pas être optimale au bout du compte, à en croire l’ingénieur britannique…« Ils ont besoin de décider dans quelles conditions ils feront la course. La manière avec laquelle ils ont utilisé Kimi Räikkönen à Shanghai… c’était malheureux – ils l’ont laissé en piste pendant très longtemps pour essayer de ralentir d’autres voitures. Et pour être honnête, ça n’a pas vraiment marché. Quand ses rivaux sont revenus sur Kimi Räikkönen, ses pneus étaient totalement usés, et par conséquent il a pu être facilement dépassé, donc ce n’était pas une décision stratégique formidable. Ce n’est pas ainsi que l’on gagne un championnat des constructeurs selon moi. Bien sur Ferrari sent que le championnat des pilotes est plus important, et ils ont pris leur décision pour trouver comment le gagner. »

Toujours au sujet de la Scuderia, Pat Symonds reconnaît que les Rouges ont une fois de plus impressionné les observateurs en haussant leur niveau de jeu général. « Durant la pré-saison je pense que nous espérions tous que Ferrari serait plus proche de Mercedes, mais nous avions le sentiment que Mercedes avait du potentiel en réserve. Eh bien, les quelques premières courses n’ont pas vraiment validé ce pressentiment. Les performances de Ferrari ont été constantes. Ils ont un rythme en qualifications raisonnable et un très bon rythme de course. Cela fait de nombreuses années qu’ils n’ont pas eu l’air aussi forts et je pense qu’ils ont toutes les chances de connaître une vraie bonne saison. »

Le niveau de Ferrari met en parallèle en lumière un défaut récurrent de Mercedes, qui date d’avant 2014 : une mauvaise gestion des Pirelli.« Si vous regardez l’histoire récente, chez Mercedes, ils n’ont jamais vraiment très bien surmonté leur problème de gestion des pneus. Même durant l’ère V8, nous pouvions voir ce problème, alors qu’ils n’avaient pas encore l’avantage moteur dont ils profitent aujourd’hui. Ensuite, s’ils ne font pas bien fonctionner leurs pneus, ils n’ont pas des courses formidables. Ce genre de choses a été masqué à partir de 2014 jusqu’en 2016, simplement en raison de leur avantage de puissance moteur. Ensuite l’an dernier, ils ont commencé à appeler leur voiture ‘diva’ . Qu’est-ce à dire ? Selon moi, la différence de performance d’un week-end à l’autre n’est pas vraiment explicable par l’aérodynamique ou quelque chose comme ça. Du point de vue du package, entre les réglages aérodynamiques et les réglages du châssis, vous pouvez peut-être simplement espérer gagner un ou deux dixièmes en faisant bien les choses, du vendredi au samedi. Mais quand vous perdez soudain beaucoup de temps d’un week-end à l’autre, quand tout d’un coup vous n’êtes plus compétitif, ce doit être lié aux pneus. Et c’est le cas si vous ne les utilisez pas bien ou si vous ne les mettez pas à la bonne température. »

Une dernière faille de Mercedes, qui est beaucoup plus visible aujourd’hui, selon Symonds, concerne la stratégie en course. « Stratégiquement ils ont aussi des problèmes. Quand vous avez une voiture rapide et que vous contrôlez une course, la stratégie est évidente. Mais récemment nous avons vu des stratégies, chez Mercedes, je ne dirais pas mauvaises, mais imparfaites. Par le passé ils ne s’arrêtaient peut-être pas au bon moment, mais avec un tel avantage de performance, vous ne pouviez pas vraiment voir ces défauts. »

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Yoh a écrit:
belles analyses je trouve


Pas mal, à part, pour ce qui me concerne, que le sort de Kimi n'est pas encore sûr, d'ailleurs pas mal de sites font rapport qu'il est, ou a mieux commencé la saison que Vettel.

Faiblesses en technique et en stratégie de Mercedes ? Tant mieux !

Edit : (bien plus tard...) -) je crois en fait qu'il est bien trop tôt dans la saison, si Ferrari faisait ce choix; de se concentrer sur Sebastian en priorité, ce serait, je le pense, et de nouveau, à en lire plus d'un que cette année pourrait être, au contraire, l'année Kimi Raikkonen, un grand tort.
Là, Kimi n'est pas à être sans charmes, Vettel a plus de publique médiatique que lui, là est la différence.

Je ne crois pas qu'une équipe comme Ferrari sous-estime la capacité intrant-sèque de Raikkonen, c'est trop tôt je le redis.

D'un autre côté, très germanique, Vettel est très professionnel, comme aujourd'hui à Bakou, scrutant déjà le circuit avec ses ingénieurs :





Si Kimi continue comme ça (il n'est qu'à une victoire de Vettel), et passe bien Monaco, tout est possible, après il restera encore quelques courses de légende, Monza, Ricard, Silvestone, Spa...La route est encore longue, alors ne faisons pas encore de plan que quelque planète qu'il soit, pas encore.

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La suspicion ! Ou tout simplement la jalousie...

La F1-2018 de Ferrari, continue à susciter des suspicions.

La Gazzetta dello Sport rapporte que, sans nommer spécifiquement une équipe, la FIA a maintenant interdit aux équipes de faire le plein de pétrole pendant les qualifications.

Il s'ensuit des rumeurs selon lesquelles le moteur Ferrari 2018, qui fume excessivement au démarrage, a peut-être fait un grand pas en avant grâce à une supercherie intelligente dans le domaine de la consommation de l'huile.

"La FIA a examiné le moteur Ferrari en Chine et a regardé les dessins de l'ensemble du système de lubrification", rapporte le magazine allemand Auto Motor und Sport.

Il a été jugé légal.



Mais ce n'est pas tout.
En premier : Auto Motor und Sport affirme que Red Bull allègue que la forme des rétroviseurs Ferrari 2018 n'est pas conforme avec la réglementation. étonné

En deuxième : Après Bakou, il est apparu que Mercedes a des doutes sur la conception intelligente des cellules des batteries de la SF-70H de Ferrari, qui "pourraient" produire plus que les 4 mégajoules autorisés.

"Le sujet pourrait occuper la première page dans les prochaines semaines", a déclaré le correspondant Michael Schmidt.

Enfin,troisième :  il y a des polémiques (on ne sait de qui ?) qui disent que Ferrari utilise le turbocompresseur pour produire du gaz qui sont ensuite "soufflé" vers l'aileron arrière.

"Une possibilité est que l'ancien patron du moteur Ferrari, Lorenzo Sassi, qui travaille pour Mercedes depuis avril, ait parlé", a ajouté Schmidt.


Ah, elle est belle l'éthique professionnelle !

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Bref les écuries pinaillent sur des miettes tellement tout est verrouillé.

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Difficile de savoir quoi que ce soit, qu'en penser.
Par contre, c'est vrai que dès le début de saison, cette énorme fumée des Ferrari au démarrage m'a tout de même beaucoup intrigué !

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Si un moteur dégage un panache de fumée au démarrage c'est que de l'huile se trouvait au niveau de l'échappement voir de l'admission.
Ce n'est jamais voulu pour nous mais en F1 c'est le signe d'un réglage bien particulier.
Pourquoi et comment ce qui est sûr c'est que la FIA n'a rien vu sinon...

Un fait est certain, ce panache de fumée prouve que Ferrari a intérêt à ce que ça se produise sinon ce serait l'alerte générale.
C'est sous contrôle et sciemment provoqué donc suspect pour les autres, ben tiens!

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Clousot a écrit:
Bref les écuries pinaillent sur des miettes tellement tout est verrouillé.


Des miettes ? L'injection d'huile ? T'es fou, c'est énorme !

dom465 a écrit:
Difficile de savoir quoi que ce soit, qu'en penser.
Par contre, c'est vrai que dès le début de saison, cette énorme fumée des Ferrari au démarrage m'a tout de même beaucoup intrigué !


Clousot a écrit:
Si un moteur dégage un panache de fumée au démarrage c'est que de l'huile se trouvait au niveau de l'échappement voir de l'admission.
Ce n'est jamais voulu pour nous mais en F1 c'est le signe d'un réglage bien particulier.
Pourquoi et comment ce qui est sûr c'est que la FIA n'a rien vu sinon...

Un fait est certain, ce panache de fumée prouve que Ferrari a intérêt à ce que ça se produise sinon ce serait l'alerte générale.
C'est sous contrôle et sciemment provoqué donc suspect pour les autres, ben tiens!



Au début de la saison, j'ai lu que cette important dégagement de fumée était en fait du à un rejet de l'huile "superficielle***"(*** celle "de trop" par rapport à ce qui est autorisé par les cahiers de la FIA), via un reniflard situé à l'arrière, huile qui serait brûlée par les échappements, ou un truc du genre. Il voulaient trouver une système pour "éviter" cet épanchement et donc la fumée...et donc peut-être resquiller ? dinguesourire



(Voyez bien les guillemets)

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si je ne dis pas de bétise ?
l'injection d'huiles sert a augmenter le taux de compression du moteur
un taux de compression variable c'est le reve de chaque motoriste

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Yes Padre je sais pas trop pour l'augmentation de compression mais ce qui est "dans l'air" c'est l'idée que l'huile du carter moteur pourrait servir de carburant (si jamais interdit) d'où le panache au démarrage. Je dis ça...

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petit spoiler,rétroviseur,projection de données le halo se charge de semaine en semaine ?

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Raikkonen, sous mesure de précautions aura son moteur changé, mais pas de pénalités, c'est sont premier.


Il est possible qu'après vérification ce moteur soit réutilisé ultérieurement...

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dom465 a écrit:
Assez géniale, la photo, effectivement !



Yep, avec les rétros. sur le Halo, et avec un déflecteur...on va en reparler, je vous le dis...

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Vettel hausse le ton face aux problèmes de Ferrari

L’Allemand ne plaisante plus





14 mai 2018 - 12h33, par Emmanuel Touzot 


Sebastian Vettel a appelé Ferrari à régler les problèmes rencontrés à Barcelone. Très léger dans ses déclarations après son erreur de Bakou, l’Allemand semble commencer à s’inquiéter des points perdus face à Lewis Hamilton, lui qui pointe à 17 points de son rival en ayant pourtant dominé le début de saison. "Nous devons régler les problèmes que nous rencontrons" explique Vettel. "Ce n’était pas une bonne journée et il faut comprendre pourquoi. Nous n’avions pas un rythme pour gagner, c’est aussi simple que ça. Nous avons eu des améliorations et peut-être que les autres en ont apporté plus que nous. Les pneus ont changé et peut-être qu’ils convenaient mieux aux autres. Nous devons comprendre pourquoi nous étions plus en difficulté que les autres. Pourquoi trouver des excuses ? Je pense que nous aurons les mêmes pneus en France et à Silverstone, et il est important de trouver une réponse. Au final, nous n’étions pas assez rapides et il faut régler cela."

Vettel élève clairement la voix après une course où il n’a pu lutter pour le podium, étant obligé de s’arrêter de nouveau en fin de course : "Premièrement, nous ne sommes pas assez rapides. Si nous ne pouvons pas voir cela, nous sommes plus qu’aveugles. Nous n’avions pas un bon rythme dans le premier relais. Deuxièmement, nous avons eu des soucis tout le week-end avec les pneus. Les changements nous ont fait plus de mal qu’à nos rivaux. Heureusement, on revient aux pneus normaux à Monaco. Mais comme je l’ai dit, ils ont changé pour tout le monde. Enfin, c’était un mauvais week-end en termes de fiabilité. Kimi [Räikkönen] a eu un souci sur le moteur samedi et en a changé, pour abandonner en course. Nous devons voir cela, nous n’avons aucune excuse."

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Blutch a écrit:
dom465 a écrit:
Assez géniale, la photo, effectivement !



Yep, avec les rétros. sur le Halo, et avec un déflecteur...on va en reparler, je vous le dis...

a la poubelle les rétros  la fia a dit stop
le travail pour 1 course  dingue

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Clousot a écrit:
14 mai 2018 - 12h33, par Emmanuel Touzot 


Sebastian Vettel a appelé Ferrari à régler les problèmes rencontrés à Barcelone. Très léger dans ses déclarations après son erreur de Bakou, l’Allemand semble commencer à s’inquiéter des points perdus face à Lewis Hamilton, lui qui pointe à 17 points de son rival en ayant pourtant dominé le début de saison. "Nous devons régler les problèmes que nous rencontrons" explique Vettel. "Ce n’était pas une bonne journée et il faut comprendre pourquoi. Nous n’avions pas un rythme pour gagner, c’est aussi simple que ça. Nous avons eu des améliorations et peut-être que les autres en ont apporté plus que nous. Les pneus ont changé et peut-être qu’ils convenaient mieux aux autres. Nous devons comprendre pourquoi nous étions plus en difficulté que les autres. Pourquoi trouver des excuses ? Je pense que nous aurons les mêmes pneus en France et à Silverstone, et il est important de trouver une réponse. Au final, nous n’étions pas assez rapides et il faut régler cela."

Vettel élève clairement la voix après une course où il n’a pu lutter pour le podium, étant obligé de s’arrêter de nouveau en fin de course : "Premièrement, nous ne sommes pas assez rapides. Si nous ne pouvons pas voir cela, nous sommes plus qu’aveugles. Nous n’avions pas un bon rythme dans le premier relais. Deuxièmement, nous avons eu des soucis tout le week-end avec les pneus. Les changements nous ont fait plus de mal qu’à nos rivaux. Heureusement, on revient aux pneus normaux à Monaco. Mais comme je l’ai dit, ils ont changé pour tout le monde. Enfin, c’était un mauvais week-end en termes de fiabilité. Kimi [Räikkönen] a eu un souci sur le moteur samedi et en a changé, pour abandonner en course. Nous devons voir cela, nous n’avons aucune excuse."



Il a raison, avec les italiens, c'est ce qu'il faut faire, et puis, comme cela, il va réveiller l'horrible Marchionne, qui va sortir son fouet...

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Et d'ailleurs, voici la chronique du bon vieux "Charles" Clou !

Oh, on voudrait être une mouche sur le mur à Maranello lundi matin, alors que Ferrari a ramassé les miettes lors de sa défaite au GP d'Espagne.

Que Sebastian Vettel ne puisse même pas finir sur le podium, après avoir semble-t-il eu un bon tir à la pole samedi, est une grande inquiétude pour la Scuderia.

La sublime voiture douce que Vettel a apprécié à travers les qualifs., surtout Q1 et Q2 l'a totalement abandonné dimanche, au point qu'un seul arrêt n'était même plus une possibilité lointaine.

Tous les sourires sont à Brackley, bien sûr, alors que Lewis Hamilton a étendu son avance au championnat du monde. Les théoriciens du complot pourraient pointer vers le changement de la profondeur de la bande de roulement du pneu Pirelli, pour éviter les cloques rencontrées dans les essais, mais sûrement c'était la même chose pour tout le monde ?

Ferrari doit trouver une solution avant les Grands Prix français et britannique, car les mêmes pneus seront de nouveau utilisés là-bas ...

 
    Charles Bradley, rédacteur en chef mondial
    motorsport.com

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Blutch a écrit:
Les théoriciens du complot pourraient pointer vers le changement de la profondeur de la bande de roulement du pneu Pirelli, pour éviter les cloques rencontrées dans les essais, mais sûrement c'était la même chose pour tout le monde ?




J'en fait partie. Chaque voiture sait réagir différemment. Et ce n'est pas un hasard si on est passé de ceux bons pour les rouges à ceux bons pour les gris.

La vraie question est : quel intérêt peut avoir la F1 à faire encore gagner la bande à Toto.

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dom465 a écrit:
Sais pas pourquoi, y a des fois, je fatigue !


Yes Dom et en même temps tout en se grattant le dos je ne crois pas que "la F1" soit conduite par des gens qui voudraient voir gagner toujours les mêmes.
C'est juste le contraire et j'en veux pour preuve la valeur du pilote Lewis qui aura mené sa voiture jusqu'à 20 secondes devant celle de son équipier de Bottas.

Merco possède la meilleure voiture du plateau mais l'écart se réduit tout le temps au fil des ans heureusemnt.
Liberty Média fera donc le reste pour qu'au final un podium ne soit plus toujours le même, ça c'est dit.
Mais avec un Lewis comme maintenant et dans cette voiture là, on est pas sorti de l'auberge.
Les rouges ont intérêt à ne rien lâcher mais alors là comme ce n'est pas possible de l'imaginer.

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dom465 a écrit:
Sais pas pourquoi, y a des fois, je fatigue !



+ 1 Dom, +1 !

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Pas de complot Mercedes après vérification...

Après avoir effectué 136 tours du tracé catalan ce mardi lors des essais qui ont suivi la course, lui permettant de tester à la fois les gommes normales et les gommes modifiées, l'Allemand a reconnu que la SF71H aurait été encore plus en difficulté sans ce changement.

"Je pense que c'est assez clair. Évidemment, en temps normal, vous n'avez pas la chance de revisiter ce genre de décisions, mais je pense que nous l'avons fait avec la journée d'aujourd'hui, et je pense que le résultat est que si nous avions eu les pneus normaux samedi, ça aurait probablement été pire. Donc je pense que c'était la bonne décision, et le fait de ne pas avoir eu la même usure ou la même durée de vie que les autres est de notre faute."

Mario Isola, le responsable F1 de Pirelli, n'a pas caché une certaine joie, après plusieurs jours de suspicions et d'accusations infondées : [i]"Absolument, je suis très heureux. Je ne peux pas cacher que je suis très heureux ! Après un week-end comme le dernier, oui..."[/i]

[i][i]"Le comportement du pneu pendant le week-end de course a été en ligne avec nos attentes. Dans les hautes températures, il évitait le cloquage, c'est l'information que nous retirons du week-end. Maintenant, il est important d'avoir des retours sur les sensations, le comportement, ce genre de choses, et je suis heureux de savoir que Sebastian ait dit cela."[/i][/i]


Si tel était bien le cas, alors Ferrari est mal.

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C'est ce que je pensais aussi. Ferrari ne doit plus rien lâcher. Pas une miette.

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Ben, je fatigue moins tout à coup !
La preuve est faite qu'il ne faut pas toujours chercher des complots partout !
Et pour Ferrari, bon, cela risque d'être encore un problème en Angleterre et en France où ces pneus seront utilisés.
Mais heureusement, je pense que sur les autres circuiits, il peuvent retrouver le léger avantage qu'ils avaient.
A condition du moins de ne plus s'emmêler les pinceaux dans les stratégies !
Ce qui ne tient qu'à eux.

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Ferrari a beaucoup travaillé depuis la dernière course à Barcelone pour essayer de comprendre pourquoi Sebastian Vettel était incapable de suivre le rythme de la Mercedes.

Une préoccupation particulière était que l'équipe a subi des niveaux beaucoup plus élevés de dégradation des pneus en Espagne que lors des essais d'avant-saison.

Une suggestion qui a émergé était que les changements à la suspension arrière de Ferrari pour le GP d'Espagne ont fini par nuire à la gestion des pneus.

Le nouveau montant de suspension a eu une transition beaucoup plus agressive - donnant une surface plus large et plus plate du pneu - ça a été conçu pour aider à améliorer l'aérodynamique de la voiture dans cette région.







Mais tout en ayant un meilleur appui, cela a pu aussi avoir contribué à la surchauffe des pneus et par conséquent aux problèmes de dégradation en Espagne.

Vettel a déclaré que les efforts lors des tests de Barcelone la semaine dernière ont permis de mieux comprendre ce qui s'était passé.

Le résultat semble être qu'il y a des doutes sur la nouvelle suspension arrière, c'est pourquoi la voiture de Vettel a été équipée de l'ancienne version avant les essais d'ouverture à Monaco.

Vettel: "C'était bien d'avoir eu l'occasion mardi / mercredi de se replonger dans une configuration course pour mieux comprendre le temps et les tours".

"Il y a quelques idées que nous avons et des choses que nous croyons ont pu causer une mauvaise course et un rythme faible pendant celle-ci ".



C'est de bonne augure, surtout à Monaco et vu les pneus hyper-tendres...

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