Souvenirs, souvenirs.

[Uscars 0]

Qui reconnait ce fringant officier?

[Uscars 0]

C'est Jean Marie Ballestre.

A chacun son passé, honorable ou pas.

[dom465 0]

Ha oui, ce charmant Jean-Marie !!!
Les briefings étaient pleins de bonne humeur avec lui !
Surtout au temps de la "guerre" Prost-Senna !

[Clousot 0]

Je ne l'aurais pas reconnu mais de l'avoir entendu être traité de "bouffon" par les français au Mans ça je m'en souviens.

[Uscars 0]

GP de Monaco, en 1960.

[Blutch1 0]

Uscars a écrit:

GP de Monaco, en 1960.

Oui, Henry Allison, 16 jours de coma !

[Clousot 0]

Vin dju on vient de loin avec nos F1 2017.

[Uscars 0]

Image très rare où on voit les frères Villeneuve, Gilles et Jacques Sr l'un devant l'autre.

[Clousot 0]

Et bien j'ignorais que Gilles avait un frère Jacques senior comme quoi thanks Us...

[Blutch1 0]

Clousot a écrit:

Et bien j'ignorais que Gilles avait un frère Jacques senior comme quoi thanks Us...

Idem...

Jacques-Joseph est le frère de Gilles Villeneuve, l'oncle de Jacques. Mais en terme de performances en F1, on a du mal à faire le lien entre eux.

Jacques sera engagé à deux reprises par l'écurie Arrows. La première aura lieu à domicile, au Canada. Sur les 30 engagés, seuls 24 seront qualifiés. Jacques terminera à 7"509 de la pole-position, à 2"872 de la qualification. Lors de l'épreuve suivante, à Las Vegas, Jacques restera 28ème en qualifications, mais 5"001 de la pole-position, et à 1"193 de la qualification. Jacques préfère poursuivre la saison 1982 en Can-Am. En 1983, il réussit à remporter 3 courses et enlève le titre de Can-Am. Cette même année, Jacques tente une dernière fois de se qualifier au Canada avec une RAM March portant le numéro 17, le même numéro que celui de Mass, impliqué dans l'accident qui coûté la vie à son frère. Un grand dégoût pour Villeneuve, qui rate de seulement 0"378 la qualification.

En 1984, il commence sa carrière en IndyCar Series. IL ne réussira jamais à prendre le départ de l'indy500, à cause de plusieurs accidents durant les essais. En 1985, il devient le premier québécois à remporter une course d'indyCar, sur le circuit d'Elhart Lake. En 1987, il tente de se qualifier en F3000, lors du GP de Belgique, encore une fois sans succès. Jacques courra encore en IndyCar jusqu'en 1992, puis retourne en Formule Atlantique jusqu'en 1994.

Ces derniers temps, Jacques-Joseph Villeneuve s'est essayé aux courses sur glace et aux courses de bateaux.
(StatsF1)

[Clousot 0]

Pas vraiment de liens avec son auguste frère le Jacques-Joseph.

[dom465 0]

Mais un gars extrêmement sympathique "Mon Oncle". Et adoré aujourd'hui encore au Québec, bien plus que son neveu !
J'avais aussi vu, il y a quelques temps, qu'il luttait contre un cancer.

[Blutch1 0]

Quand les pilotes devaient vraiment "donner" !


Phil Hill (1961) :

[Uscars 0]

Ça fait moins "prout-prout diva" qu’aujourd’hui.

[Clousot 0]

Il ne sauterait pas comme un cabri sur le podium lui.

[Blutch1 0]

Uscars a écrit:

Ça fait moins "prout-prout diva" qu’aujourd’hui.

Me demande à qui tu penses ?

[Uscars 0]

Barracuda c'est pas un "prout-prout", juste un mec qui ne fait pas confiance aux banquiers.
Et il a bien raison, je connais le milieu..............

[Blutch1 0]

Uscars a écrit:

Barracuda c'est pas un "prout-prout", juste un mec qui ne fait pas confiance aux banquiers.
Et il a bien raison, je connais le milieu..............

[Uscars 0]

Du beau monde!

[Clousot 0]

J'ai su mettre un prénom à chacun directement...;-)
C'est Denis Hulme et Dan Garney non ?

[Uscars 0]

Exact.

[Blutch1 0]

Clousot a écrit:

J'ai su mettre un prénom à chacun directement...;-)
C'est Denis Hulme et Dan Garney non ?

Denny Hulme et "Gurney" Clou my friend.

Une belle photo du regretté Ronnie Peterson, à Monza en 1971, vé l'avant en suppositoire de la voiture (March), irréel, non ?

[Uscars 0]

Des voitures nées d'un coup de crayon, pas d'une soufflerie.
L'imagination était créative, on ne laissait pas les ordinateurs tout vérifier avant de mettre en pratique.
La prédominance de l'humain avec les incertitudes qui l’accompagnent.

[Clousot 0]

Les produits STP je m'en souviens aussi.
Un gros sponsors à l'époque.

[Uscars 0]

Ils sont toujours sponsor d'une voiture en Nascar, et de la course de Martinsville qui porte donc le nom de "STP 500".

[Clousot 0]

Ces voitures ne laissent rien passer, de vraies ramassent miettes..!?

[Blutch1 0]

Uscars a écrit:

Ils sont toujours sponsor d'une voiture en Nascar, et de la course de Martinsville qui porte donc le nom de "STP 500".

Oui !

[size=13]Emerson Fittipaldi Lotus 56 - GP de Monza de 1971 :

[/size]

Aussi moche que la McLaren actuelle !

[Brail0171 0]

sur la lotus 56 ou sont les appuis aero?

[Uscars 0]

En tous cas elle est belle!

[dom465 0]

Pour la Lotus, en 71, les appuis aéro étaient bien moins développés et la forme elle-même de la voiture était sensé donner de l'appui.
Mais surtout, elle est ici en configuration Monza où bien souvent alors, on enlevait carrément les ailerons ou du moins on en mettait au minimum.
Pas encore toutes ces chicanes à Monza, la vitesse de pointe était donc primordiale et l'effet d'aspiration terriblement important. 
C'est d'ailleurs cette année-là que Gethin gagna avec 0,61 seconde d'avance sur le.....cinquième !
Il ne fallait surtout pas être en tête à la parabolique sinon on se faisait passer par plusieurs voitures avant la ligne d'arrivée.

[Clousot 0]

EncyclopédixDom a parlé di dju!

[Uscars 0]

dom465 a écrit:

Il ne fallait surtout pas être en tête à la parabolique sinon on se faisait passer par plusieurs voitures avant la ligne d'arrivée.

Situation habituelle des superspeedways aux States.

[Blutch1 0]

Clousot a écrit:

EncyclopédixDom a parlé di dju!

Oui d'autant que je crois que Dom est un spécialiste de Lotus.

Ici, [size=16][size=13]John Surtees et sa très imprésionante Cooper Maserati (GP d'Italie 1966) - j'entends déjà Us :"Ça au moins c'était du moteur...gna, gna, gna..."

[/size][/size]

Encore un mystère de mise en page du Forum ! ^

[Clousot 0]

Un V12 à injection directe de carburant dans les pipes d'admission.
Le moteur pouvait donc monter dans les tours comme pas possible. 18-20.000t/m ?

[Blutch1 0]

Clousot a écrit:

Un V12 à injection directe de carburant dans les pipes d'admission.
Le moteur pouvait donc monter dans les tours comme pas possible. 18-20.000t/m ?

Ben non, le Maserati V12 - Maserati Tipo 9/F1 tournait aux alentours de 9.800 tours et délivrait +/- 360 CV.

[Clousot 0]

Ah bon. Comprends pas !
Un V12 est sensé monter dans les tours et délivrer 500CV au minimum mais ce n'est que mon ressenti...;-)

[dom465 0]

N'oublie pas qu'on était en 1966, Clou.

[Clousot 0]

Yes Dom voici même sa fiche technique de 1957

Maserati 250 F1 V12
(1957)

 

-Type: 12 cylindres en V

-Cylindrée: 2 500 cm3

-Puissance: 315 ch à 10 000 tr/min

 

-Constructeur: Maserati

[Blutch1 0]

Clousot a écrit:

Yes Dom voici même sa fiche technique de 1957

Maserati 250 F1 V12
(1957)

 

-Type: 12 cylindres en V

-Cylindrée: 2 500 cm3

-Puissance: 315 ch à 10 000 tr/min

 

-Constructeur: Maserati

Tu sais pas lire ver d'juu ?

C'est pas le 250 F1.

[Clousot 0]

Si je sais lire c'est pour ça que j'indique bien Maserati F250 F1 et non Tipo.
Il sait pas lire non plus.

[Blutch1 0]

Clousot a écrit:

Si je sais lire c'est pour ça que j'indique bien Maserati F250 F1 et non Tipo.
Il sait pas lire non plus.

Mais cré vin d'jeu, en 66, c'est le Tipo ! Hallo ?

[Clousot 0]

Allez une vue en action de la F250 et vive nous!
Une petite voiture en soi ...;-)

[Uscars 0]

Il fut un temps les écuries françaises étaient en première ligne.

[Blutch1 0]

Uscars a écrit:

Il fut un temps les écuries françaises étaient en première ligne.

M'en souviens et ai vu ces voitures là à Zolder.

Une de mes préférées, deuxième CDM je crois ?

J'adore cette photo du professeur :

[Clousot 0]

Et cette MP4 légendaire qui le regarde...;-)

[Blutch1 0]

Clousot a écrit:

Et cette MP4 légendaire qui le regarde...;-)

Sublime F1, la perfection...y'avait Ron...Il manque à McLaren moi je dis...

[Uscars 0]

[Blutch1 0]

Oui Us, "Flying Hakkinen" super photo.

Avant l'époque des unités d'hospitalité privées et somptueuses, les pilotes se réunissaient pour déjeuner autour d'une table commune improvisée.

Les coéquipiers ou les rivaux, la famille ou les amis, le déjeuner dans le paddock n'étaient que l'occasion d'une bonne camaraderie et de plaisanteries.

Ici à Pau, lors d'un week-end de course F2 dans les années 70, Henri Pescarolo, François Cevert, la famille Fittipaldi et Jean-Pierre Jabouille savourent le déjeuner.



(aujourd'hui, ce sont les hôtels 10 étoiles, avec portillon de détection de métal à l'entrée...)


Sympa photo : Il y avait même du vin !

[Uscars 0]

Ça c'est une façon de vivre qui me plait.

Passe moi le sauciflard. Tu veux un coup de rouge?

[Uscars 0]

Blutch a écrit:

Avant l'époque des unités d'hospitalité privées et somptueuses, 

C'est quoi ce b*rdel avec les "unités"?

De puissance, d'hospitalité?

On peut plus parler normalement sans mots savant et comme disait Clinton "inappropriés"?

Et les "unités" de c*nnerie?