JcLaurent 0 Posté(e) le 3 juin 2009 Ne pas se fier aux apparences, la classe E coupé est plus qu’une version 3 portes de la berline. Elle possède une personnalité complètement différente, dans la veine des grand coupé luxueux. Exit la CLK, le grand coupé Mercedes laisse sa place à la Classe E coupé. La transformation la lus notable par rapport à la berline concerne bien entendu la partie postérieure avec des ailes élargies qui lui apportent une touche d’agressivité. Le résultat est harmonieux et élégant, mais cette ligne cache surtout le meilleur aérodynamisme du marché avec un cœfficient de pénétration dans l’air de 0,24. Son essai complet est à découvrir dans cette vidéo réalisée sur les routes champenoises. Essai vidéo : Mercedes Classe E coupé Essai vidéo : Mercedes Classe E coupé Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Loulou47 0 Posté(e) le 3 juin 2009 La classe Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Usman1 0 Posté(e) le 3 juin 2009 Vraiment très belle !! Bon alors Phil, tu te décides ?? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Lomossonov 0 Posté(e) le 4 juin 2009 Merci Spy..... Trés reussi ce coupé...... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
MICKEY6/9 0 Posté(e) le 4 juin 2009 Trois mois seulement après la présentation de la berline Classe E, Mercedes lance la version Coupé. D'un design plutôt élégant, il affiche en plus un Cx record pour la catégorie de 0,24, assez rassurant pour la consommation bien que sous son capot, il abrite des motorisations allant de 204 à 388 ch. Il est vrai qu'avec un prix de base à 44.800 €, il y a des chiffres qui ont moins d'importance. Reims – Avec son profil typique d'un coupé, sans montant médian, et ses glaces latérales entièrement escamotables, la nouvelle Classe E Coupé annonce son caractère résolument sportif par un design dynamique dont le Cx affiche le coefficient incroyable de 0,24. C'est dire le soin apporté à sa réalisation pour une recherche absolue de performances, notamment en terme de consommation et donc de faible émission de gaz polluants et de confort par une acoustique soignée. Evidemment, le coupé montre une étroite parenté avec la nouvelle Classe E berline, en particulier dans sa face avant par ses optiques doubles dont les projecteurs en forme de losanges, sauf que la petite étoile à trois branches ne se tient pas fièrement sur le capot, mais ostensiblement en grand au centre de la calandre. On retrouve aussi le galbe puissant de ses ailes arrière, rappel nostalgique du fameux coupé S 220 Ponton de 1955. Bien campée sur ses roues, la Classe E Coupé reçoit des jantes en alliage de 17 pouces à 9 branches doubles. Un choix d'ambiance bienvenue A l'intérieur de l'habitacle, le poste de conduite du Coupé demeure semblable à celui de la berline, autrement dit très complet, fonctionnel mais plutôt austère et d'un dessin sans grande fantaisie. En revanche, les sièges ont été particulièrement soignés. Assises larges, dossiers bien galbés, ceux à l'avant sont réglables électriquement, avec mémoire, dans toutes les positions dont celui du soutien lombaire. Une fonction « easy-entry » facilite la montée et la descente des passagers à l'arrière qui bénéficient de deux sièges individuels dont les dossiers peuvent être rabattus séparément ou ensemble afin d’accroître le volume de chargement du coffre de 450 litres. Mais dans ce dernier, seulement une roue de secours pliable et gonflable pour gagner de la place et du poids. Le climatiseur automatique deux zones et le système d’infodivertissement, commandé par un sélecteur sur le tunnel de transmission avec visuel couleur sur la planche de bord, contribuent au confort général des passagers. Sellerie cuir et ventilation des sièges sont en option. Deux ambiances sont toujours proposées, l'une dite Elégance avec montants et ciel de pavillon clairs et combiné d'instruments sur fond noir, l'autre appelée Avantgarde avec montants et ciel de pavillon noirs et combiné d'instruments sur fond argent. Diesel ou essence de 204 à 388 ch Si Mercedes est synonyme de puissance et d'opulence, le constructeur allemand s'est toutefois penché avec beaucoup d'attention sur le rendement énergétique de ses motorisations pour les rendre plus convenables sur le plan écologique. Ainsi, le diesel 2,1 litres de 204 ch devient le fleuron de la nouvelle génération de 4 cylindres Mercedes. Il se distingue par un turbocompresseur à deux étages, des injecteurs piézoélectriques et la technologie Common Rail. Bilan : une consommation moyenne de 5,3 litres au 100 km et des émissions de CO2 de 139 g/km. Et donc pas de malus. Le moteur V6 diesel de 231 ch à injection directe Common Rail et turbocompresseur figure néanmoins toujours au programme. Pour ses moteurs essence, Mercedes a adopté la technologie de l’injection directe que l'on retrouve sur le nouveau 4 cylindres 1,8 litre de 204 ch et le V6 de 3,5 litres délivrant 292 ch, d'où des consommations raisonnables respectivement de 7,2 litres et 8,5 litres au 100 km. La version E 500 Coupé, fleuron de la gamme, est pour sa part animée par le V8 de 5,4 litres affichant 388 ch. A ce niveau, la consommation est anecdotique comme sa vitesse maxi bridée électroniquement à 250 km/h. Le must pour rester en vie Et c'est justement par cette motorisation que la prise en main de ce nouveau Coupé Mercedes s'est faite, pour goûter au bonheur total. Et le plaisir est incontestable, même si on s'y attend forcément, dès la fermeture de la porte, avec le groom qui tend la boucle de la ceinture de sécurité, puis quand on appuie sur le bouton start, sans résultat audible avec juste les aiguilles des cadrans qui s'animent. Silence à bord, et grondement feutré quand on demande au V8 toute son énergie tandis que les 7 rapports automatiques passent en douceur et sans rupture de charge. Une sensation magique qui ne dure qu'une poignée de secondes car la vitesse est péché mortel et si le tachymètre affiche 260, son aiguille ne devra jamais dépasser la moitié de ce nombre. On est en France et il faut se résoudre à ignorer le progrès et les nouvelles technologies qui rendent les voitures plus sûres et les accidents plus rares et moins graves. Comme par exemple les systèmes de détection de somnolence et d’aide à la conduite par capteurs, radars et caméras équipant la Classe E Coupé pour éviter les télescopages. Ainsi, le freinage d’urgence assisté s'active lorsque la distance avec le véhicule précédent diminue soudainement et très rapidement et peut aller jusqu'à l'arrêt total en présence d’un choc immédiat ou tout au moins réduire la force de l'impact. Un excellent comportement routier Comme on le voit, Mercedes tient à ses clients tant il est vrai qu'un bon client est un client vivant. Le nombre des airbags en tout genre est là aussi pour le démontrer et dans le pire des cas les occupants auront l'impression de mourir dans leur lit au milieu de leurs oreillers. Mais à quoi bon au bout du compte, la débauche de puissance qui restera à jamais muette. Cela ne laisse que des regrets d'autant qu'un Pack de conduite dynamique permet de procéder à différents réglages du véhicule sur simple pression d'un bouton. Dire que le V6 essence de 3,5 litres est un ton au dessous du V8 est un peu mentir, car à 90 km/h maxi sur les routes champenoises, il est difficile d'établir une comparaison et de toute façon il y a encore largement de quoi partir labourer les vignobles en cas de grand optimisme. Alors, on en vient presque à penser que le nouveau diesel de 204 ch est suffisant. En fait, il l'est par ses performances, son confort d'autant que sa mécanique sait se faire presque oublier et surtout par sa sobriété. Mais un coupé est en général animé d'un esprit sportif, et franchement dans cette définition il en manque un peu, bien que le client traditionnel du Classe E Coupé n'est pas non plus spécialement excité. Il a en général passé l'âge... Il préfère certainement admirer la parfaite courbure de son Coupé, savourer le toit en verre, se féliciter du détecteur de panneaux de signalisation et apprécier l'assistant de feux de route qui s'adapte automatiquement aux conditions de la circulation et des voitures qu'il croise. J'ai aimé -La ligne du Coupé -Un habitacle soigné -Une insonorisation parfaite -Le souffle du V8 -La sobriété du 4 cylindres diesel Je n'ai pas aimé -La roue de secours gonflable -Un poste de conduite austère -Les tarifs Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Usman1 0 Posté(e) le 4 juin 2009 Je n'ai pas aimé -Les tarifs Le luxe, il se paye, TROU DE BALLE !!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Deathblade 0 Posté(e) le 5 juin 2009 usman a écrit: Je n'ai pas aimé -Les tarifs Le luxe, il se paye, TROU DE BALLE !!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
iRoONiiiK 0 Posté(e) le 8 juin 2009 Adieu la CLK… … Et bienvenue à la Classe E Coupé. Une nouvelle appellation qui traduit une montée en gamme du coupé. Présentée 3 mois après la berline, cette voiture a accaparé les designers de la marque allemande. Objectif : affirmer plus nettement l’appartenance à la famille Classe E tout en conservant le patrimoine du CLK à savoir une ligne athlétique, un châssis typé sport pour une conduite dynamique le tout dans un confort dans un confort digne d’une berline. Comme sur tous les Coupés Mercedes, il a été décidé très tôt que la grande étoile ne paraderait pas sur le capot mais au centre de la grille de calandre. Un choix délibéré pour offrir une moindre résistance à l’air. Le résultat est édifiant avec un Cx de 0,24 qui fait de la Classe E Coupé le modèle de série le plus aérodynamique au monde. Les doubles optiques avant et les projecteurs en forme de losange rappellent la berline tandis que le capot nervuré et le pare choc donnent un tempérament plus sportif. De profil, on ne note aucune rupture de ligne grâce à l’absence de montant médian. L’habitacle a pour sa part reçu un traitement particulier avec un volant à 3 branches et des sièges spécifiques pour renforcer le tempérament sportif tandis que le tableau de bord est identique à celui de la Classe E Si d’un point de vue esthétique, le Coupé Classe E est réussi, l’aspect dynamique suscite en revanche des interrogations. L’amélioration des équipements de série liés au confort et la multiplication des systèmes de sécurité provoquent immanquablement un embonpoint qui, en général, nuit au plaisir de conduite. Animée du V8 de 5 461 cm3 de cylindrée, la Classe E coupé pèse la bagatelle d’1,7 tonnes, disposer dans ces conditions des 388 chevaux délivrés aux seules roues arrière sans aucune aide à la conduite pourrait vite s’avérer délicat aussi l’électronique est omniprésente. Le mode sport apporte un plus mais il ne transfigure pas la voiture qui au final se révèle très proche de la berline en terme de comportement c’était dire rigoureux mais sans fantaisie. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Usman1 0 Posté(e) le 8 juin 2009 La dernière photo est Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
MICKEY6/9 0 Posté(e) le 8 juin 2009 usman a écrit:Vraiment très belle !! Bon alors Phil, tu te décides ?? Bin quoi ? J' suis décidé, moi, c' est l' autre con qui ne veut pas, là, derriére son comptoir... ... à la banque !!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Usman1 0 Posté(e) le 8 juin 2009 Dr Phil Good a écrit:usman a écrit:Vraiment très belle !! Bon alors Phil, tu te décides ?? Bin quoi ?J' suis décidé, moi, c' est l' autre con qui ne veut pas, là, derriére son comptoir...... à la banque !!!Il te dit quoi ??? Laisse béton ??? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites