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[Vidéo] S 400 hybrid

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Leader sur le segment des grandes routières, Mercedes ne pouvait laisser la Lexus LS 600h comme unique représentant hybride du genre. La Classe S profite donc de son restylage pour proposer une version S400 Hybrid. Dotée d'un système plus simple que la nippone, elle s'avère néanmoins suffisamment efficace pour offrir un gain réel sur le plan de la consommation comme des émissions polluantes.
La Mercedes Classe S est une réussite à travers les âges : pas moins de 3,3 millions ont été vendues à travers le monde depuis ses grands débuts en 1951, et la neuvième génération (W221), sortie en septembre 2005, s'est écoulée à 270 000 exemplaires. Pas mal pour une auto facturée plus de 80.000 euros. Les raisons de son succès sont nombreuses : réputation de solidité inébranlable, image statutaire, technologie à la pointe du progrès ainsi qu'une offre pléthorique répondant à tous les besoins.

Rien ne manquait donc à la Classe S, si ce n'est une version hybride ! Une spécificité dont la Lexus LS 600h était jusqu'alors la seule à bénéficier. Inconcevable pour la marque à l'Etoile, qui se devait de répliquer, et ce pour au moins trois raisons :

Primo, la traque du moindre gramme de CO2 est devenu un sport national et le contexte environnemental actuel impose à ces lourdes berlines de réduire leur appétit de manière drastique.

Secundo, ce n'est pas parce que ce type de clientèle dispose d'un fort pouvoir d'achat qu'elle n'est pas sensible aux économies de carburant.

Tertio, c'est sur les gros moteurs que l'hybridation enregistre les résultats les plus spectaculaires.

La réponse ne s'est donc pas fait attendre : la Classe S profite de son restylage pour se décliner en S400 Hybrid. Cette version inédite propose ainsi des chiffres records pour un limousine essence : 7,9 l/100 km et des émissions de CO2 de 186 g/km, limitant le malus écologique à 750 € seulement.



Une solution simple
Mais contrairement à la LS 600h qui possède un système parallèle ultra-sophistiqué, Mercedes utilise un procédé plus simple et plus économique dans l'esprit de celui emprunté sur la Honda Insight.

Installé dans le carter de boîte, un moteur électrique de 20 ch assiste le V6 3.5 de 279 ch. Il est alimenté par une batterie lithium-ion particulièrement compacte située sous le capot qui se recharge lors des décélérations et des phases de freinage. En cas de forte accélération, les puissances des deux systèmes de propulsion s'additionnent (jusqu'à 299 ch) et la pincée de couple supplémentaire (valeur maximale de 385 Nm) apporte un surcroit de punch supplémentaire. Lors d'un arrêt, un système stop and start coupe le bloc thermique au feu rouge, dès que le conducteur met le pied sur le frein. Impossible cependant de rouler en "tout électrique" comme la nippone, le bloc de l'allemande ne pouvant fonctionner en totale autonomie.

La transmission automatique à sept rapports, est harmonisée pour l'intégration du module hybride, mais les sensations de conduite demeurent identiques à celle d'une Classe S normale, même si tout le système engendre un surpoids de 75 kg. Toujours aussi douce, silencieuse et suffisamment performante malgré une boîte manquant de réactivité, elle s'avère une infatigable voyageuse aux longs cours.

En adoptant une conduite apaisée, les consommations étonnent. Mais en haussant le rythme, les valeurs s'envolent rapidement. L'explication est simple : les décélérations et les freinages sont insuffisants pour recharger la batterie, laissant ainsi le V6 fonctionner seul. Pour les mêmes raisons, un Diesel s'avère logiquement plus frugal sur autoroute.

Alors pour économiser un peu de carburant, son bloc thermique reçoit quelques modifications par rapport à celui d'une S350 classique : culasse revue, nouveaux pistons et arbres à cames redessinés dont le pilotage est modifié.

Extérieurement, la S400 Hybrid se reconnaît par ses sorties d'échappement intégrées et son éclairage diurne à diodes grâce à son Pack ILS monté de série comme sur sa grande sœur S600. Le reste des modifications esthétiques sont intégrées sur l'ensemble de la gamme restylée : grille de calandre modifiée et boucliers redessinés. Pas de quoi démoder l'ancien modèle.



Le compte est bon

Affichée à 92.300 euros, la Mercedes S400 Hybrid demande un investissement supplémentaire de 4.800 euros par rapport à une S350 aux performances équivalentes, mais plus gourmande d'environ deux bons litres aux cent kilomètres. Mais à équipement équivalent et une fois l'écotaxe prise en compte (malus de 1.600 euros pour la S350), la différence revient à 1.740 euros seulement.

Autant dire que l'intérêt de cette version de base essence est pour le moins limité d'autant plus qu'elle ne dispose pas de l'image écolo tendance dont profite cette S400 Hybrid. En revanche, la version Diesel S350 CDI tient beaucoup mieux la comparaison, un peu plus frugale (7,6 l/100 km) et affichée 7.590 euros de moins à dotation égale. Compensant sa puissance moindre (235 ch) par un couple plus généreux (540 Nm), elle réserve un agrément différent, mais tout aussi intéressant.

Mais quoi qu'il arrive, la grande gagnante reste la Classe S. Avec cette première version hybride, la limousine à l'Etoile répond non seulement aux exigences du marché, mais surtout elle vient contre-carrer l'hégémonie de Lexus en la matière. Et si son système s'avère moins raffiné et sans doute moins efficace que celui de la LS 600h, il est aussi moins cher et offre à Mercedes un excellent argument marketing. D'autant que contrairement à la nippone dont les batteries empiètent dans le coffre, la S400 Hybrid conserve le même volume de chargement que celui d'un modèle classique.



Les +
- Consommations en progrès
- Douceur de conduite
- Confort exceptionnel
- Coffre préservé

Les -
- Boîte automatique parfois peu réactive
- Options nombreuses et chères
- Pas de fonctionnement en tout électrique

Notre avis : 14/20
Design : 13/20
Habitabilité / Modularité : 15/20
Confort : 16/20
Agrément de conduite : 13/20
Rapport qualité / prix : 13/20








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Nickostar a écrit:
Trestres tres tres tres tres tres belle auto


pareil +1

un S500 me suffirait

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Quatre ans après son début de carrière, Mercedes restyle son navire amiral. Pour l’occasion, le constructeur allemand dévoile une inédite version hybride qui constitue une grande première pour la marque germanique. Une bonne façon de prendre de l’avance sur l’ensemble de ses concurrents européens.
Apparue à l’automne 2005, la Classe S connaît aujourd’hui le traditionnel restyling de mi-carrière. Jusque-là rien d’exceptionnel mais la nouveauté provient du fait que Mercedes profite de cet évènement pour révéler une déclinaison hybride qui devient ainsi, le premier véhicule hybride de la marque mais aussi de tous les constructeurs européens. L’Etoile va donc pouvoir s’attaquer aux Lexus GS450h et LS 600h.


Quelques retouches esthétiques
Sans aucune surprise, la S400 Hybrid adopte les nouveaux canons esthétiques de la Classe S restylée. Elle est donc pourvue d’une face avant remaniée qui reçoit un éclairage à LED que ce soit au niveau des barrettes de feux de jour, des clignotants et de leurs rappels dans les rétroviseurs, des feux de gabarit, mais aussi pour les feux arrière qui en utilisent pas moins de 52. Les plus observateurs auront pour leur part noté la nouvelle calandre légèrement plus en V et le bouclier avant inédit. Même si les évolutions ne sont pas extraordinaires, elles ont le mérite d’apporter une petite touche de sportivité et de caractère supplémentaire. A l’arrière, c’est encore plus discret avec seulement des sorties d’échappement de forme trapézoïdale. Aucun changement dans l’habitacle si ce n’est 3 ambiances d’éclairage au choix : solaire (ambre), neutre (blanc) et polaire (bleu polaire).


Un contenu technologique et un équipement toujours plus impressionnant.
Chez Mercedes, hybride ne signifie pas chiche en équipement et la S400 Hybrid en est un bel exemple. Ainsi, comme toutes les Classe S, elle embarque des équipements innovants très haut de gamme dont certains ont fait leur apparition sur la dernière Classe E. Absents sur notre modèle d’essai lors de la présentation de cette dernière, nous avons pu tester les sièges dynamiques qui fournissent un meilleur maintien en gonflant le coté du siège opposé au virage – une option particulièrement efficace mais indisponible malheureusement en France. Encore plus inattendu, les sièges massant qui dispensent au conducteur un massage intégral de la colonne vertébrale pendant un trajet. Très agréable. Mais nous avons été surtout bluffés par une innovation dont la Classe S est la première voiture au monde à bénéficier. Son nom Spiltview.
Derrière cette dénomination barbare se cache un écran multimédia révolutionnaire qui se compose de deux matrices actives. Conséquence : quand le conducteur observe l’écran, il y voit la carte du GPS tandis que le passager avant peut pour sa part regarder un film sans gêner le voisin. Tout simplement génial. Disponible en option au prix de 2150 € dans un Pack Divertissement comprenant également le système de sonorisation Harman Kardon, le changeur 6 DVD, la télécommande et les écouteurs sans fil.


En matière d’équipement de série, la S400 Hybrid reprend celui des 350 mais la dotation est enrichie du contrôle de pression des pneumatiques, de l’éclairage d’ambiance, de l’interface media et du Pack ILS avec LED se composant des phares adaptatifs, des feux de jour à LED et de l’assistant de feux de route. Prenant soin du confort de ses occupants avec une multitude d’innovations, la Classe S les protège également très bien grâce à des équipements High Tech déjà vus sur la Classe E. On peut notamment citer comme exemple l’Adaptive Highbeam Assist qui gère la puissance et l’importance du faisceau lumineux suivant la circulation, la très efficace vision de nuit équipée d’une fonction de détection des piétons, l’avertisseur de franchissement de ligne se signalant par des vibrations dans le volant ou le système de détection de la somnolence selon plus de 70 paramètres qui alerte par l’intermédiaire d’un avertissement sonore et visuel avec une tasse de café sur le tableau de bord. La Classe S ne fait pas que reprendre les équipements déjà existants sur sa « petite sœur » mais innove avec une fonction de stabilisation face aux vents latéraux : l’Active Body Control (ABC) et le Torque Vectoring Brake qui apporte une plus grande agilité en freinant la roue arrière du côté intérieur du virage.
Impressionnante par son contenu technologique, on peut tout de même s’interroger sur le plaisir de conduite avec toutes ses aides car il faut bien reconnaître que le conducteur est de plus en plus passif dans ce type d’automobile.


Comme vous l’aurez bien compris, la principale nouveauté de cette Classe S se trouve sous son capot avec l’introduction d’une motorisation hybride alimentée par des batteries lithium-ion qui sont implantées sous le capot entre le moteur et la boîte de vitesses 7G-Tronic. Une double première. La 400 Hybrid est donc animée par un V6 essence de 3,5 l retravaillé qui gagne 7 ch pour développer un total de 279 ch et qui est accouplé pour l’occasion à un module hybride qui apporte 20 ch supplémentaires ainsi qu’un couple additionnel au démarrage de 160 Nm. Au final, la puissance totale est de 299 ch pour un couple de 385 Nm.
A l’usage, le moteur électrique assiste le thermique lors des phases d’accélération et des démarrages. Une bonne idée puisque cette S400 Hybrid ne brille pas par sa vivacité et le moteur thermique semble avoir du mal à la propulser. Au-delà de cette fonction, le moteur électrique joue aussi le rôle de générateur lors des phases de freinage puisqu’il récupère l'énergie cinétique. Ainsi, dès que vous appuyez sur la pédale de frein, ce ne sont pas les plaquettes qui entrent tout de suite en fonction mais ce module électrique qui joue le rôle d'un frein moteur. Quand la pression sur la pédale devient plus forte, le système de freinage traditionnel intervient normalement. On regrettera tout de même que la sensation à la pédale soit particulière et pas forcément très facile à doser. Toute l’énergie récupérée est stockée par une batterie lithium-ion très compacte qui prend place sous la capot et qui ne pénalise nullement l’habitabilité arrière et le volume de chargement. Dès que la vitesse est inférieure à 15 km/h, le moteur électrique fonctionne seul et se coupe automatiquement à l’arrêt puisqu’il est doté d’une fonction Stop & Start. Il faut noter que toutes ces opérations sont schématisées sur le tableau de bord. L’ensemble est globalement convaincant pour une utilisation traditionnelle puisque les changements sont totalement imperceptibles. A allure plus rapide, on est moyennement convaincu. Il faut dire que la Classe S n’est pas un exemple de dynamisme. Elle excelle en revanche en matière de confort puisque les occupants ont l’impression de voyager dans un véritable salon roulant. Même en activant tous les modes Sport, la Classe S est obligatoirement affectée par des mouvements de caisse qui sont heureusement compensés par les sièges dynamiques. Les petites routes tortueuses ne sont pas son terrain de prédilection qui est sans aucun doute l’autoroute où elle brille par son aisance.
Au final, la S400 Hybrid est bel et bien une berline haut de gamme. Si on devait comparer ce moteur à des blocs existants, on pourrait dire qu’il s’agit d’un mélange entre une S350 et un S350 CDI. On profite donc d’un couple supérieur aux données habituelles pour un moteur essence avec l’allonge de cette carburation. Les performances sont dans la bonne moyenne avec un 0 à 100 km abattu en 7,2 secondes (contre 7,3 pour la S350 et 7,5 pour la S350 CDI) Le tout pour une consommation annoncée très alléchante avec une moyenne de 8,0 l/100 km contre plus de 10 l/100 km pour la S350. Ajoutez à cela des rejets de C02 nettement inférieurs avec 187 g/CO2 contre 245 g/CO2 pour la 350, ce qui signifie un malus de 750 € contre 1600 €, de quoi séduire de nombreux particuliers mais aussi certaines entreprises en raison d’une TVS réduite.












Vendue 92 300 €, la S400 Hybrid représente un surcoût à équipement équivalent de 2% (+ 800 €) par rapport à une S350 mais il ne faut pas se fier au prix facial. Cet écart est en effet réduit à néant quand on tient compte du bonus/malus et la tendance s’inverse même si on comptabilise les économies engendrées en matière de carburant.
En conservant les valeurs qui font d’elle la berline luxueuse la plus vendue en France, la Classe S affiche désormais un volet écologique et économique qui devrait attirer de nombreux clients qui ne veulent pas dire adieu à leur berline statutaire tout en roulant "vert".

Caradisiac a aimé :

-Restyling plutôt réussi
-Véhicule toujours aussi statutaire
-Équipement élitiste
-Contenu technologique impressionnant ( sièges dynamiques, dispositifs sécurité passive et active)
-Confort et habitabilité impressionnants
-Économies engendrées par ce nouveau moteur (consommation, rejets de CO2)
-Confort d'agrément quasiment inchangé
-Premier véhicule hybride européen
-Efforts conséquents en matière d'écologie
-Performances et agrément de conduite préservés

Caradisiac n'a pas aimé :

-Manque de dynamisme
-Ressenti de la pédale de frein

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Depuis sa sortie en 2005, le vaisseau amiral de chez Mercedes n’avait pas connu de restylage. La classe S 2009 change la donne avec quelques évolutions esthétiques qui ne font pas office de révolution mais permettent de rafraîchir le salon roulant de la firme de Stuttgart.



La grande nouveauté vient de l’adjonction dans la gamme S d’un modèle hybride. A l’image de son concurrent Lexus, Mercedes embraye sur l’électrique et lance ainsi le premier modèle européen hybride sur le marché.
La berline de luxe la plus vendue en France se met au vert, reste à savoir si elle tient ses promesses.

Commençons par les nouveautés esthétiques. La calandre a été redessinée avec un V plus prononcé. Les feux ont aussi droit à un nouveau dessin avec plus d’angles et évidemment l’éclairage à LED de rigueur. Codes, clignotants et feux arrière en sont pourvus. Les jupes avant et arrière ont pris un peu de volume, on note la belle double sortie trapézoïdale, sportive et élégante. La nouvelle classe S allie d’ailleurs parfaitement ces deux adjectifs. Elle gagne en sportivité et en caractère sans jouer sur le tape à l’œil, la grande classe à l’Allemande.



A l’intérieur, c’est luxe et volupté avec un équipement et une finition qui ne souffrent d’aucunes critiques. Outre le grand espace et les différentes options que l’on peut trouver dans une voiture de luxe, Mercedes innove avec des sièges intelligents qui réagissent à la force centrifuge en se gonflant dans les virages ou encore un système dont la classe S est seule à bénéficier, appelé Splitview.
Sur le même écran, le conducteur consulte le GPS, alors que le passager regarde un DVD. Tout simplement génial et compris dans un pack multimédia, au prix de 2150 euros.

C’est au cœur de cette S400 Hybride que réside la grande nouveauté. Un moteur électrique de 20 chevaux avec ses batteries Lithium Ion est accouplé au 3,5l V6 essence, développant 279 chevaux. Pas loin de 300 chevaux donc au total pour une voiture censée gagner 2l aux 100 par rapport à la S 350, pour atteindre 8l de consommation moyenne.



Le moteur électrique assiste le moteur thermique lors des phases de démarrages et d’accélérations et il récupère son énergie sur le frein moteur et les freinages.

On trouve également le système start/stop qui coupe le moteur à l’arrêt et permet un gain de consommation et de rejets de CO2. On note que les changements de moteur et coupures sont totalement imperceptibles.



En dynamique, la S400 Hybride est un exemple de confort. Elle préfère l’autoroute aux petits tracés tortueux même si malgré son poids de 2,5 tonnes, elle s’en sort bien. Le sport n’est pas son terrain de prédilection, le moteur est efficace (0 à 100 en 7,2s) mais très linéaire et la boîte auto ou à palettes 7 vitesse demande un temps de réaction lors d’accélérations franches.

L’électronique tient une place prépondérante, les aides et éléments de sécurité sont à la pointe de la technologie, comme la vision nocturne, le détecteur de franchissement de ligne ou encore le détecteur de somnolence.



Pour les adeptes de grosses cylindrées, la gamme classe S compte plusieurs modèles, entre autres, la S500 développant 388 chevaux ou encore la 600 qui cache bien son jeu avec son V12 de 517 chevaux, une vraie catapulte avec le 0 à 100 avalé en 4,6s.

Pour ce qui est du tarif de l’éco citoyenne S400 Hybride, c’est moins cher que sa concurrente Lexus LS 600H, comptez tout de même 92300 euros.

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