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PJ-mercedes

Test ultime du GLK

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Y'a de quoi faire avec un GLK quand meme, il est pas mal en fin de compte Rolling Eyes

Le G 500

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Loulou a écrit:
Y'a de quoi faire avec un GLK quand meme, il est pas mal en fin de compte Rolling Eyes

Le G 500


Hum......ca vaut quand meme pas un bon vieux G à mon avis.
Ils ont fait une prise de vue depuis le haut de l'obstacle quand on le voit en franchissement, je suis sûr que sous un autre angle, la grosse falaise ressemble plus à un petit rocher...
Bon, il doit avoir l'avantage du poids par rapport à un ML, mais j'irai pas me risquer en TT avec quand même Suspect

Par contre, c'est clair que les gars font un boulot super sympa, ca doit etre génial de voir dans ton agenda "ah demain je teste la Lambo pendant une semaine, ensuite le GLK, etc.....". Bon, ils doivent bien s'emmerder avec une Logan (quoique, sur circuit, ca doit etre marrant)...
J'avais vu un jour une interview de pilote test à la TV, le mec disait que contrairement à ce qu'on peut penser, c'est pas avec les plus prestigieuses qu'il prenait le plus de plaisir, car ils sont parfois obligés de les pousser au max, et il avouait serrer les fesses en frôlant les 300km/h en Ferrari par exemple sunnysunny

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Ah non ça c'est clair que ça vaut pas un G ! Mais pour ce qu'il est c'est pas mal je trouve.

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Petite étoile, gros potentiel
Mercedes-Benz GLK 320 CDI

Dans la langue de Goethe, “kurz” signifie “court”. Comme les SLK et CLK sont les pendants “populaires” des majestueux SL et CL, Mercedes applique la même recette en proposant un GLK, réplique réduite du colossal GL. Un SUV compact chic qui devra faire face aux BMW X3 et Audi Q5. Rude tache mais l’Etoile a du répondant…
Un vrai look de 4x4…

Avec son GLK, Mercedes prend le parti de proposer un SUV qui tranche radicalement avec l’offre de la concurrence. Sa nomenclature en atteste : le petit tout-chemin à l’Etoile est né GLK et non MLK, comme le prophétisait la presse spécialisée il y a quelques mois. GLK comme G, et non comme M donc. Il faut dire qu’avec son profil carré, son pare-brise droit comme un “i” et sa face avant massive qui impose le respect, le dernier-né de Stuttgart joue davantage les baroudeurs que les urbains branchés. Et pourtant, on peut parier que ce SUV pullulera surtout en centre-ville, où sa ligne radicale risque de faire tourner bien des têtes. On aime ou on déteste mais ce GLK a au moins le mérite de faire souffler un vent nouveau sur une catégorie où le dessin s’oriente d’ordinaire plus vers le break que vers le pur 4x4.
... et les capacités qui vont avec !

Pour autant, quand on affiche une vraie tronche de 4x4, encore faut-il en avoir les capacités. Une fois n’est pas coutume pour un essai de SUV, Mercedes nous avait concocté un parcours off road afin de mettre en valeur le potentiel de leur GLK. Allant même jusqu'à l’annoncer carrément supérieur à celui d’un Land Rover Freelander, pourtant le plus doué de tous. Muni de pneus tout-terrain et du Pack Off Road disponible en option (750 €) comprenant une contrôle de vitesse en descente, une gestion plus douce de la boîte et du convertisseur de couple ainsi que quelques protections flanquées sous le châssis, notre GLK 320 CDI s’en est sorti avec les honneurs.

L’arrivée très douce du couple permet au convertisseur de patiner correctement et aux quatre roues de trouver la meilleure adhérence. Et le système 4-ETS (qui renvoie la puissance à la roue profitant de la meilleure motricité) permet même de se passer de réducteur. Du coup, même avec une roue en l’air due aux faibles débattements des suspensions, le GLK poursuit son ascension sans sourciller. Apportant au final la démonstration de son talent, sans pour autant aller défier les vrais spécialistes du genre.
A l'aise de partout

En descente, l’absence de rapports courts ne se fait pas non plus trop ressentir grâce au contrôle de vitesse en descente. Déjà vu sur de nombreux 4x4 et SUV, celui-ci a la particularité de laisser au conducteur (s’il le désire) la possibilité de régler sa vitesse jusqu’à 16 km/h, grâce au régulateur de vitesse. Décidément, si l’électronique n’existait pas, il faudrait l’inventer ! Mais en dépit de ces prestations de haut vol, le plus important pour le GLK demeure malgré tout de bien figurer sur la route. Et là aussi, il y parvient efficacement. Reposant sur la plate-forme de la récente Classe C, il profite de qualités routières premium qui le placent de facto en haut de l’affiche. Précis, doté d’une direction moins collante que les autres productions de la marque, le GLK étonne par son comportement plaisant mais aussi très rassurant, grâce à la transmission intégrale permanente. De même, à l’inverse de certains rivaux, il s’avère plutôt agile dans les lacets et peu sujet au roulis. Le tout en freinant assez court. Une sorte de berline, avec la position de conduite surélevée en prime !
Un confort appréciable

Mais ce qui étonne le plus chez ce SUV, c’est son confort de roulement. Malgré les énormes roues de 20” de notre modèle doté du Pack Sport, les occupants ne sentent que très rarement les irrégularités de la chaussée. Il est vrai que Mercedes est plutôt réputé pour le moelleux de ses suspensions. Sous le capot, le GLK hérite d’un Diesel à la pointe, le 3.0 Diesel de 224 ch. Très bien encapsulé, ce 6-cylindres n’est réellement audible que lors de fortes accélérations. Au point qu’à vitesse stabilisée, il est difficile de savoir qu’il s’agit d’un bloc sans bougie. Mais avec un couple camionesque de 540 Nm, il permet de faire oublier les 1.880 kg sur la balance. Il est ici exclusivement associé à l’excellente boîte automatique à 7 rapports aussi douce que rapide, grâce notamment aux commandes au volant comprises dans notre Pack Sport.
Des détails qui chagrinent

Alors, sans défaut ce GLK ? Pas tout à fait. Malgré un gabarit assez imposant (4,52 de long sur 1,84 m de large), l’habitabilité est juste dans la moyenne, surtout à l’arrière, et le coffre de 450 l. aura du mal à engloutir les bagages de toute la famille. En revanche, la finition ne souffre d’aucune critique… mais c’est heureusement la moindre des choses vu le positionnement tarifaire du bestiau. Si l’offre démarre à 45.900 € en essence (GLK 280), il faudra débourser 48.400 € pour rouler dans ce 320 CDI de base à l’équipement juste correct. Et comme d’habitude chez les constructeurs allemands, la liste d’options est longue comme un jour sans pain. Moins cher (39.900 €), le GLK 220 CDI muni d’un 4-cylindres de 170 ch n’arrivera quant à lui qu’en avril 2009. Certes, ce n’est toujours pas donné, mais la concurrence nationale (Audi Q5, BMW X3) ne fait pas forcément mieux…

Stanislas Larroumet

Rejets de C02 : 220 g/km / Eco-Pastille : 1.600 € de malus.


Source + photos : http://www.turbo.fr/automobile/actualites/essais-auto/mercedes-benz/article.jsp?id=t2_918756&IdTis=XTC-4PC-54H5K-DD-BMZ7S-G7WL

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