fac

Et toi aussi ça a été fin pour qu'il te batte ? Sinon dimanche prochain toujours ok ? Ho oui

Moi aussi j'ai fait des rallyes en même temps notamment Vins de Macon 94 et 95

je ne postait pas mes récits sur ce forum jusqu'à présent car je ne roule pas en M3 ... Depuis que j'ai cette voiture je l'ai faite évoluer pour rapprocher les sensations de celles de la M3 gr A que j'ai eu l'occasion de conduire qq km. La M3 m'avait époustouflé par sa facilité de conduite. Certe le poids et l'architecture ne sont pas les mêmes et la boite à l'arrière induit un effet sac à dos inéluctable. Mais j'ai réussi à m'en rapprocher au niveau du comportement routier.

nous à 6:00 nous à 10:00

la course vue de l'intérieur : Résumé rallye montbrisonnais 2012 Les derniers rallyes ont montré que ma 968 use et chauffe assez peu ses pneus. La semaine précédent le rallye, et au vu de la météo assez froide j'hésite à acheter des pneus tendres qui serait la monte idéale dans ces conditions. Finalement je prends la décision de ne pas acheter de pneus tendres pour limiter le budget. Depuis le rallye du Suran : J'ai fait faire un ultime retarage des amortisseurs pour augmenter la détente et un peu la compression. Dans la spéciale de Chavannes nous avons sauté 4 fois la bosse, à chaque fois l'atterrissage m'a paru plus dur qu'il ne devrait. Au démontage des amortisseurs j'ai pu constater que les pièces supportant les ressorts ont été tordues :les ressorts AR arrivaient en spires jointives avant la fin de la butée. Donc nous avons également procédé à un changement de ressorts de même force mais avec une longueur de 30 mm de plus. De plus le passage au ban de réglage des trains a révélé que les réglages adoptés en début de rallye du Suran n'avaient pas tenus, nous procédons donc à un re réglage et un serrage plus important de ceux-ci. Les forces en présences : Eric Perrache Perrache étant donné son matériel et son palmarès est or concours pour nous. Par contre G Clement pilote une très belles 997 GT3 dernière génération. Il est de plus en pneus tendres retaillés. Etant sorti 3 fois lors des 3 rallyes qu'il a disputés, il nous avoue vouloir avant tout être à l'arrivée. Suivent C Trichard et sa 135i que nous avons l'habitude de rencontrer et l'autre 135i de F Couchet dont nous ne connaissons pas le niveau de performance. Il est en SA20 comme nous mais la 135i grâce à son poids plus important et sa puissance doit les faire chauffer plus facilement. Samedi 1° boucle de 2 spéciales ES N°1 Mont Sémiol : 11,15 km Une spéciale très technique, toute en montée avec une grande partie très serrée en sous-bois. Comme prévu les pneus ont du mal à chauffer, ils mettent 2 à 3 km pour atteindre une température qui n'est de toutes façons pas la température optimale. De plus les liaison sont particulièrement courtes il est d'autant plus difficile d'arriver en température. D'autre part je suis toujours un peu long à me mettre dans le rithme. Bien qu'ayant l'impression d'avoir pas mal roulé nous faisons un temps de 7minutes 51. C'est 2 secondes plus vite qu'en 2010 ce qui est peu car la voiture a progressée, l'effet pneu se fait sentir. Clément est 6 secondes moins rapide que nous, Trichard et sa nouvelles copilote se sont perdus dans les notes et sont très loin (+ 27 secondes) Cyrille Trichard ES N°2 Cl de la pelletière : 6,3 km Une spéciale favorable aux voitures puissantes avec beaucoup de relances. Le départ est sur une route rapide et large puis on enchaine plusieurs changements de direction pour finir sur une route assez roulante en descente. Nous faisons le 57° temps en 3 minutes 55, Clément et sa GT3 4 secondes plus rapide que nous. Nous faisons les comptes, 6 - 4s nous devrions être 2° de groupe, reste F Couchet dont nous n'avons pas les temps. Et effectivement surprise, il se défend bien et nous a mis 5 secondes dans la 1° spéciale et 7 secondes dans la 2° spéciales. Sur un plateau très fourni de 172 concurrents au départ il y a déjà 12 abandons. Dimanche 2° étape (3 boucles de 3 spéciales) Nous repartons donc 52° scratch 3° de groupe derrière Perrache et Couchet à 11 secondes avec la ferme intention de lui reprendre les 11 secondes d'écart. 1° boucle du matin 3° spéciale : Mont Sémiol 11,15 km J'attaque plus fort et réalise le 37° temps le commissaire marque 7:42 sur le panneau d'affichage ce qui nous met 6 secondes plus vite que F Couchet. 4° spéciale Sauvain 5,35 km Je continue d'attaquer 38° temps en 3 minutes 32, 2° temps de groupe nous reprenons 4 secondes. En spéciale je me fait de plus en plus plaisir et arrive à enrouler bon nombre de virages lents mais je ne suis pas content de moi dans certains virages assez rapides. 5° spéciale Saint Georges de Couzan 10,9 km 34° temps en 7:56, nous reprenons 4 secondes de plus. A la moitié de cette spéciale le moteur émet un bruit anormal, je surveille le tableau de bord mais pas d'alertes, j'essaye de ne pas trop tirer sur le moteur mais cela a plutôt l'effet inverse car déconcentré je vais plusieurs fois au rupteur. A l'arrivée c'est visiblement le pot d'echappement qui a un problème. Au parc fermé nous faisons les comptes : 6+5+4 - 11 nous sommes théoriquement 2° de groupe pour 4 secondes. Après vérification nous nous apercevons que le temps indiqué dans l'ES 3 est faux, nous avons fait en réalité 7:48 1 seconde derrière F Couchet, ce qui nous place 36° scratch, 3° de groupe à 4 secondes seulement de la 135i la bagarre va être serrée. François Couchet Nous repartons à 12 h pour la 2° boucle Assistance : Kevin, membre de mon assistance, effectue une réparation de fortune sur le pot en plus de la maintenance habituelle. 6° spéciale : Mont Sémiol 11,15 km Je continue d'attaquer mais la réparation du pot d'échappement ne tiens pas. Nous réalisons le 34° temps en 7:45. Couchet a mis 4 dixièmes de plus ! Pour la première fois nous sommes plus rapide que lui dans Mont Sémiol. Un spectateur vient nous voir, c'est un ami de F Couchet celui-ci lui a dit que "cela allait bien mais qu'il avait un gars avec une Porsche verte juste derrière qui n'avait pas l'air de plaisanter" 7° spéciale : Sauvain 5,35 km La radio intercom fait des siennes, Jérôme est obligé de tenir le cordon sur son casque avec la main droite sinon je ne l'entends pas. C'est aussi avec cette main qu'il doit tourner les pages de son cahier de notes ... De mon coté je me désunis et ne trouve pas le bon rythme 3:32 c'est le même temps que le matin mais il est sur que j'aurais pu faire mieux. F Couchet a bien amélioré lui et nous reprend 3 secondes sur seulement 5,35 km. 8° spéciale : Saint Georges de Couzan Je roule bien mais nous signons un décevant 8:00 à seulement 2 dixièmes de F Couchet. Mais surtout nous sommes 4 secondes plus lent qu'au premier tour alors que les pneus chauffent mieux. Je m'interroge de ce manque de performances et ne peux arriver qu'à la conclusion que la fuite de pot d'échappement en est responsable. Nous perdons de la puissance. Jérôme tiens toujours son câble d'intercom dans la spéciale ce qui lui vaudra une crampe. Il s'en est bien sorti et m'a malgré tout annoncé les 2 spéciales parfaitement. A l'arrivée nous discutons avec G Clément qui partait 2 voitures derrière nous. Ses pneus tendres retaillés ont chauffé sur le sec mais pas tant que cela ils sont encore en bon état. Il pense passer aux pneus médium, choix logique pour une GT3. Parc fermé : Nous passons sur le podium ou on nous annonce être 2° de groupe, Perrache a cassé un cardan. Cette fois la bagarre avec Couchet va être pour la 1° place de groupe, nous avons 7 secondes à reprendre. Dernière boucle Assistance : Kevin effectue une deuxième réparation de fortune sur le pot d'échappement renforcée avec 2 colliers. dés le départ de l'assistance la montagne est toute grise, et nous commençons à recevoir des gouttes. Nos pneus slicks qui ne chauffaient pas sur le sec vont vraiment nous pénaliser. Jérôme est catastrophé, mais au bout d'un moment il s'aperçoit que je trouve cela plutôt amusant. " Cela n'a pas l'air de trop de gêner ?" Je lui répond "Non c'est ça le rallye, passer sur le sec ou sur le mouillé ne me dérange pas, j'espère juste que F Couchet qui part quelques minutes avant a eu les mêmes conditions." 9° spéciale : Mont Sémiol 11,15 km C'est l'horreur dans la spéciale, je fais un tête à queue dans l'épingle juste après le départ et perd 7 secondes. J'attaque mais les conditions sont épouvantables. A l'arrivée nous sommes en 9:02 Jérôme demande le temps de notre concurrent 9:06, nous reprenons 4 secondes malgré le tête à queue !! G Clément arrive, finalement il a eu le nez fin et a gardé ses pneus. Du coup il a désormais les pneus idéaux pour la pluie et nous reprend d'un coup 19 secondes. Retournement de situation, notre concurrent le plus sérieux n'est plus F Couchet mais G Clément!!! Gérard Clément Entre les deux spéciales il pleut tellement que nous ne sortons pas de la voiture, dehors c'est le déluge. 10° spéciale : Sauvain 5,35 km J'attaque de plus belle pour garder l'avantage sur Clément et passer F Couchet. La descente est très piégeuse, je ne prends pas de risque par contre le montée me permet de prendre plus d'appuis. Aux passages précédents, nous avons noté tous les virages ou, en allant dans les cordes, les concurrents ont sali la route. Cette information devient précieuse car elle me permet de savoir exactement ou je peux prendre des appuis et ou, au contraire, je dois aller doucement en slick sur la boue. Nous faisons 4:04 soit 16 secondes plus rapide que F Couchet, G Clément n'a été que 4 secondes plus rapide. Nous sommes 1° de groupe provisoire, cela commence à sentir bon. 11° spéciale : St Georges de Couzan : 10,90 km Moins mouillée que les précédente, cette spéciale commence par une descente très forte, étroite avec 7 ou 8 épingles. Je retarde tous mes freinages au maximum, j'ai réglé le limiteur de freinage 2 crans sur l'arrière et pourtant j'ai des blocages des roues avant sur tous mes freinages. Avec le patinage des roues les pneus arrières chauffent un peu, les pneus avant nettement moins. 9:12, 14 secondes de perdues sur G Clément et 15 de gagnées sur F Couchet. Nous contrôlons notre écart avec G Clément : il avait 50 secondes de retard avant la pluie. 50 - 15 - 4 -19, nous avons encore 12 secondes d'avances. Nous sommes vainqueur du groupe ! :enaccord6: Très heureux car cela n'a jamais été facile et qu'il a fallut se battre du début à la fin, et brusquer la voiture au maximum dans les spéciales pour tenter de faire chauffer nos pneus. Un grand merci à Kevin, Pamela et Antomne pour l'assistance parfaite. et à nos sponsors.

cool

Nous sommes revenus avec une victoire de groupe disputée, une M3 g A bien emmenée finit 8°. et j'ai croisé Iceman et une autre grise avec des jantes gr A anthracites.

merci

Je veux bien les liens

c'est ma première hypothèse, mais je ne savais pas que la traverse pouvait se fendre

Je ne pense pas que ce soit le flector car les vibrations se produisent aussi à l'arrèt et sont fonction du régime moteur, pas de la vitesse.

Ok merci je regarde. En fait j'ai des vibration aussi plus bas dans le compte tours dans ce cas je les sens dans la pédale d'embrayage. Et plus je tire sur la voiture plus cela s'amplifie

Bonjour sur ma M3 grise 200 cv, 154000 km j'ai des vibrations à 4000 tours et pas après. cela ne le fait pas tout le temps non plus surtout à chaud au bout d'un moment. je ressent bien les vibrations dans le levier de vitesse. Mon hypothèse : les silent blocs moteurs sont à refaire. Cela peut-il venir d'autre chose sachant que l'auto est dans son jus à part la vidange. A coté de cela, elle marche super bien de 4000 jusqu'au rupteur et mieux que ma 215 cv qui ne marche qu'en haut. J'ai prévu pour la rajeunir : - nettoyage injecteurs - changement des bougies - réglages soupapes autre chose à prévoir ? entre la 215 cv et la 200 cv j'ai vu que la 200 cv n'a pas la patte qui tient le pot d'échappement sur la boite est-ce normal ?

Ouai, tout ça juste pour un pick-up, un jet ski, une barque et 4 chaises, c'est quand même abusé +1

effectivement je crois qu'il y en a qu'une...