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Julien431

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À propos de Julien431

  • Date de naissance 15/03/1985
  1. Côté administration, j'ai été moi-même surpris qu'au contrôle technique ils ne me disent rien quant à la largeur, et pas plus tard qu'hier je suis passé devant deux gendarmes qui n'ont pas bronché. Côté assurance, c'est vrai que je ne sais pas trop ce qu'il se passerait en cas d'accrochage ou d'accident. (C'est aussi un peu pour ça que j'aime bien rouler de nuit, je suis peinard sur la route ! ;-)) Je ne connais pas encore le "bescato"... Pour les nuits parfois très fraîches, j'ai un bon duvet et ne suis pas très frileux par ailleurs. Quand je sors du duvet et que ça caille un peu, soit je m'active, soit je vais me poser dans un petit bar avec mon ordinateur, devant un café, en attendant que ça se réchauffe un peu. J'ai remarqué cet hiver que même s'il ne fait que 5°C dehors mais que le soleil brille et tape sur mes fenêtres, ça se réchauffe bien à l'intérieur même sans chauffage (jusqu'à 15°C ou 20°C).
  2. Salut Le Zeus ! Merci pour ton attention et tes compliments. Pour répondre à tes questions : - niveau côtes extérieures, j'ai effectivement élargi le véhicule mais il est encore (tout juste) sous la limite des 2,50 mètres, qui est à ma connaissance la limite que les poids lourds ne doivent pas dépasser. Un flic qui voudrait absolument m'embêter trouverait peut-être matière à le faire, mais c'est un risque assumé. Moi aussi "j'ai entendu dire" différentes choses, parfois contradictoires (également au sujet du passage aux Mines, certains affirmant que je devais repasser par cette case et d'autres soutenant que ce n'était pas nécessaire), j'ai finalement décidé de ne pas trop me poser de questions. - J'ai acheté le Framéto à Leroy-Merlin, en bidons d'1L. N'ayant jamais restauré de véhicule auparavant, je n'avais guère le compas dans l'oeil quant à la quantité que j'allais devoir utiliser. Sans doute aurais-je été gagnant en achetant dès le début un bidon de 5L (si ça existe ?). - Je n'ai effectivement pas encore finalisé l'aspect ventilation. Cela reste à faire. Néanmoins, je suis agréablement surpris par le faible taux d'humidité lorsque je séjourne un certain temps dans le CC. Sans doute est-ce lié au fait que, tout autour du véhicule et au sommet de chaque "cloison", il y a un léger écart (1-2 cm) entre le haut de la dernière planche et la tôle galvanisée du toit. En réalité, ce "maigre jour" est colmaté par de fines bandes de polystyrène, lesquelles permettent quand même à l'air de circuler. Quand je roule à une certaine vitesse, je vois d'ailleurs les "rideaux-chapiteaux" de mon plafond qui dansent un peu au vent, preuve que l'air passe, ce qui finalement assure une certaine ventilation, en attendant mieux. J'ai aussi mis un absorbeur d'humidité, qui joue pas mal son rôle... N'hésite pas si tu as d'autres questions. Amitiés bedfordistes, Julien.
  3. Et une petite autre pour la route (prise par une amie) : le CC au sommet du Mont Ventoux, le 11 août à 7 heures du matin, pour assister au lever du soleil... ;-)
  4. Ces derniers jours également, j’ai rechargé la batterie, re-pompé le gazole pour le faire revenir au moteur, et après le traditionnel préchauffage des bougies cette bonne vieille mécanique de 32 ans restée parfaitement muette pendant plus d’un an a rugi de plaisir ! Les rapports de la boîte de vitesse était « collés » entre eux, je les ai chatouillés un peu (…) pour les débloquer. J’ai aussi bien sûr purgé les freins, et dans la nuit du 26 au 27 juin j’ai enfin été en mesure de lever l’ancre. Le camping-car a donc quitté le terrain d’Isabelle et Patrick, à Plaisance-du-Touch, sur lequel il se trouvait depuis un an et demi. Par conséquent, je ne le répéterai jamais assez : sans l’hospitalité infiniment généreuse d’Isabelle et Patrick, il m’aurait été strictement impossible d’aller au bout de mon projet, de réaliser ce rêve ! J’ai amené le camping-car près de Lisle-sur-Tarn, dans le Tarn voisin (99 km extrêmement concluants et même tout simplement jouissifs dans ces conditions !), où je l’ai laissé chez d’autres amis, juste le temps de trois semaines durant lesquelles je me suis offert un fort sympathique voyage en Roumanie avec une amie. Pas mieux pour se changer les idées ! Voici donc mon petit chalet ambulant près de Lisle-sur-Tarn, le 27 juin au matin : Les traces jaunes que l’on aperçoit au niveau des frites de piscine, à l’arrière, sont simplement liées au fait que la peinture y a sauté en différents endroits suite à un impressionnant orage de grêle survenu à Plaisance-du-Touch une semaine plus tôt. Miraculeusement, je n’ai eu aucun autre dégât, ni au niveau de la toiture, ni au niveau des parois de bois, ni même au niveau des fenêtres. J’ai refait cette peinture des frites de piscine quelques jours plus tard Nouvel aperçu de l’intérieur, mon « chapiteau doré » ! La cabine, propre et chaleureuse après avoir bien sûr réinstallé les tapis de caoutchouc sur le sol et le cache-moteur Sur le terrain des amis qui ont gentiment accueilli le véhicule pendant mon voyage en Roumanie Le 23 juillet, je suis revenu chercher le camping-car, et alors a commencé une merveilleuse itinérance tout au long de l’été : visite à d’autres amis dans la banlieue d’Albi, à ma tante et mes cousins près de Montpellier, à ma tante près de Brignoles dans le Var, à ma grand-mère entre Toulon et Marseille, puis j’ai rejoint Vaison-la-Romaine où, pendant deux semaines, j’ai participé bénévolement à l’organisation du festival des Choralies (musique et chant choral). Une super expérience. A l’issue de ce festival, le 11 août, en guise de cerise sur le gâteau, je suis monté en camping-car au sommet du Mont Ventoux avec une copine (1900 mètres d’altitude !). Nuit sur place et lever du soleil au petit matin depuis là-haut : extraordinaire ! Après cela, l’itinérance a repris : passage à Nîmes, visite à une amie à Narbonne-Plage, à mon oncle dans les Corbières, à d’autres amis dans les Pyrénées-Orientales, dans le petit village haut perché de Jujols, juste en face du Canigou (4 jours sur place). Puis, descente à Argelès, et remontée chez mon oncle dans les Corbières, où j’ai laissé le camping-car puisque je repars marcher tout bientôt (a priori du 5 septembre au 19 décembre) avec un jeune, dans le cadre de mon association de réinsertion. En tout, j’ai donc eu l’immense joie de parcourir quelque 1638 km dans le sud de la France avec mon chalet ambulant au cours de cet été. Inutile de préciser qu’il a très souvent attiré l’attention : les gens, interloqués, avaient un temps d’arrêt et semblaient se demander : « Qu’est-ce que c’est que ce drôle d’engin, cet OVNI de la route ? » Certains m’ont gentiment demandé l’autorisation de le prendre en photo, notamment un chauffeur routier dont le frère avait eu un Bedford il y a quelques années ! Et voilà la jolie histoire d’un long chantier qui s’achève… … et la jolie histoire d’un vagabondage qui débute… A suivre ! Merci Patrick, merci Isa ! Grâce à vous je touche à un sentiment de satisfaction particulièrement intense !
  5. Deuxième couche de peinture anti-rouille (noir mat) Démontage de tout le côté gauche (les planches, avec leur sous-couche molle, étaient collées et agrafées aux tasseaux sous-jacents) Et voilà le travail, ou presque… Car la colle à bois entre les sous-couches et les tasseaux a fait que de nombreux petits résidus de sous-couche restent accrochés Ainsi soit-il : je vais jouer du cutter pendant une journée entière J’essaye, autant que faire se peut, de refaire apparaître du bois brut sur lequel la colle accrochera bien à nouveau C’est presque terminé Peinture du recto du cache-moteur en noir mat Troisième couche de peinture anti-rouille à l’intérieur de la cabine et réinstallation des garnitures / poignées / ouvre-portière / lève-vitre / pare-soleils / lampe plafonnier Nettoyage/dégraissage des tapis de caoutchouc (d’origine) Le plan de travail « côté gauche » est bien prêt maintenant, et le ciel est bleu, alors au boulot et sans traîner ! J’ai trié les 45 planches dont je dispose entre, d’un côté, celles qui sont en parfait état et, d’un autre, celles qui (à cause du transport d’un bout à l’autre de la France) sont écornées, soit très légèrement soit de façon plus conséquente et contrariante. Puisque, à certains endroits du côté gauche, je n’ai pas besoin de planches entières, dans ces cas-là je prends en priorité celles qui sont écornées et dont je peux supprimer la partie abîmée pour ne garder que la bonne. Et voilà le plus gros du travail, réalisé en une journée Le lendemain, je termine et peaufine : dernière ligne de planche tout en haut, en réinstallant les feux de gabarit avec leurs branchements, et dernière ligne de planche tout en bas, ainsi que les baguettes d’angle et les joints étanches marron Les joints des fenêtres aussi bien sûr Je m’apprête à nettoyer/dégraisser la seconde moitié du tapis de caoutchouc À partir de cet état peu glorieux, je vais à nouveau lui offrir une nouvelle jeunesse. Après cela, pour différentes raisons, j’ai cessé de prendre tous les jours des photos du chantier. Je n’ai recommencé qu’une semaine plus tard, à la (quasi) toute fin, lorsque, après un nouveau ponçage plus fin (grain 500) de l’extérieur de la cabine, et après avoir bien camouflé toutes les parties non-concernées, j’ai enfin pu procéder à son apprêtage et à sa peinture, avec des bombes de chez Norauto Vous remarquerez au passage que, entre temps, le côté gauche a été abondamment verni…
  6. Une fois poncé et lissé, le mastic joue merveilleusement son rôle de boucheur de trou ! Pour un néophyte comme moi, ça force l’admiration ! (Pour commencer, essai au niveau du passage de roue de droite, où il n’y avait qu’un petit trou à boucher) Un coup de Framéto par-dessus pour la route. Passage de roue de gauche : ici c’était criblé de trous. C’était ! Idem à l’intérieur, même si je peux me permettre de faire quelque chose d’un peu plus grossier puisque ce sera masqué ensuite Pour les gros trous situés dans l’angle des portières, qu’à cela ne tienne ! Mastic mastic, mon amour ! Et le résultat est à nouveau épatant ! Quant aux petits trous de la bordure supérieure de la calandre, là encore il n’y paraît plus rien ! Remontage de la calandre et des contours de phares Remontage du capot Le régler de telle sorte qu’il tombe bien pile-poil sur son attache requiert un peu de temps, mais on y arrive ! Comme certains ont pu le remarquer, tout le côté extérieur gauche du camping-car a hélas pris l’eau pendant mon absence hivernale (novembre-mars) puisque je ne l’avais pas assez bien verni avant de partir (deux couches seulement, et je n’avais pas assez insisté sur les bordures des planches). Pas de problème, c’est comme ça qu’on apprend : je me fais livrer sept bottes de supplémentaires pour refaire ce côté gauche (heureusement, les trois autres côtés, eux, n’ont pas souffert). Pour la petite anecdote, ce parquet – sol stratifié plus exactement – n’était plus commercialisé depuis trois semaines. Seul le Leroy-Merlin de Nancy semblait disposer, en stock, de tout juste sept bottes non vendues. C’était mon unique et ultime chance ! Je les ai donc fait venir de là-bas. En attendant la bonne fenêtre météo pour refaire le côté gauche, je continue à m’occuper de la cabine : pour pouvoir adapter des sièges dont l’écartement des rails est supérieur à la largeur de mes embases de siège, je m’aide d’épaisses planches d’aggloméré Sièges en place ! (Ce sont des sièges de Peugeot 107 récupérés dans une casse.) Réinstallation des ceintures de sécurité Amélioration de la fixation du réservoir au moyen de tiges filetées Préparation du plan de travail avant de peindre l’intérieur de la cabine Je râpe tous les coins des planches supportant les sièges pour les arrondir Ponçage/grattage des parties internes de la cabine, notamment dans les encadrements des portières Au niveau du passage de roue avant-gauche, la portière en s’ouvrant vient frotter et buter (depuis des années), avec un désagréable bruit de tôle, contre la partie fixe de la carrosserie. Je fais ce que je peux pour améliorer le réglage de la porte mais ce n’est pas suffisant, donc ensuite je lime jusqu’à ce que ce soit impeccable. Nettoyage/dégraissage général du tableau de bord Peinture de l’intérieur du cache-moteur Encore un peu de mastic par-ci par-là pour finir de boucher des trous Première couche de peinture anti-rouille (noir mat) Je commence à démonter le côté gauche du camping-car
  7. Remontage des étriers de support du capot Mise à exécution d’une petite idée personnelle : j’achète dix frites de piscine et je les entaille sur toute leur longueur et de la profondeur d’un rayon de leur section (à suivre…) Malgré des pluies encore très importantes… … tout est parfaitement sec dans mon antre chéri, et ça fait diablement plaisir ! :-) « Framétotage » des embases de siège (faces externes) Remontage des phares Remontage du réservoir (le système d’attache par mousquetons a été remplacé ultérieurement par un autre système plus convainquant) Remontage de la partie terminale du pot d’échappement Après un « framétotage » des faces internes des embases de siège, peinture générale ! Étant donné que j’ai légèrement élargi le véhicule, j’adapte les rétroviseurs : torsion des bras et mise à l’horizontale des miroirs « Framétotage » de la face interne du capot Pour que le Framéto aille bien se répandre jusque dans les parties inaccessibles, je l’ai versé assez abondamment puis j’ai fait tourner le capot dans tous les sens, technique enseignée par Patrick ! Positionnement (et collage) de mes frites de piscine pour rendre moins dangereux les angles vifs des tôles galvanisées du toit Je rivette deux plaques d’aluminium pour boucher les deux principaux trous du plancher de la cabine… … en prévoyant les trous aux bons endroits pour la fixation des embases de siège Fixation des embases de siège Remontage des amortisseurs arrière (et ce n’était pas évident) Jubilation ! Remontage des rétroviseurs Repositionnement des conduits d’aération après les avoir méticuleusement dépoussiérés et dégraissés Réinstallation de la batterie, dans l’embase de siège passager (autrefois, elle était sous la banquette arrière ! donc j’ai pu bien raccourcir les câbles), achat de belles cosses neuves Il y a du courant ! :-) J’ai aussi chargé le réservoir dans ma voiture et suis allé le remplir à moitié à la station du coin avant de le remonter. La jauge fonctionne toujours bien ! Après d’autres morceaux de plaques d’aluminium, je bouche le plus gros des autres trous du plancher de la cabine Je repeins en brun-chocolat mes frites de piscine (parce que le jaune poussin, ça va un moment…) Je referme le circuit de frein en revissant les durites entre elles (haut de la photo) et je remets en place le répartiteur de freinage (bas de la photo) Remise en place de la précieuse petite plaque métallique venant à la base du levier de vitesse (si Manu s’en souvient, c’est lui qui me l’a « fabriquée » en récupérant juste la lèvre circulaire permettant l’attache du soufflet et en la soudant à une plaque trouvée dans son garage – le reste de l’ancienne plaque était pourri de chez pourri – donc merci encore Manu !) Dégraissage/ponçage/framétotage de cette plaque Je me lance dans la manipulation du mastic (Sintofer) pour finir de boucher les trous de la carrosserie (intérieurs et extérieurs), et ça fonctionne bien ! Dans l’angle de chaque portière, la rouille a également creusé de bien vilains trous : à droite… … et à gauche
  8. Je poursuis le ponçage de l’angle au niveau de la cornière inférieure du capot : pas facile d’aller bien poncer dans le creux, surtout quand la rouille est si développée et a généré des mini-reliefs Retrait de la calandre (et des contours de phares) Le CC passe du mode « scarlatine » au mode « dalmatien » : avant que l’humidité ne rapporte rapidement son lot de rouille aux endroits où j’ai poncé (donc entre deux averses, et Dieu sait si elles ont été nombreuses ce printemps !), je « framétote » Framéto également sur les contours de phares Framéto sur la face externe de la calandre Framéto (encore frais sur la photo) sur la face externe du capot Puis j’attaque, vaille que vaille car sans démonter le moteur, le ponçage/grattage/dégraissage des parties internes de la carrosserie de la cabine Retrait des phares pour pouvoir travailler plus facilement… … et suite « Framétotage » intégral de ces parties internes (en jouant souvent avec la souplesse du poignée pour atteindre des recoins difficiles ou passer derrière les durites et les câbles) « Framétotage » des supports du réservoir Seconde embase de siège individuelle (car avant j’avais à l’avant un siège et une mini-banquette) qui m’a très gentiment été offerte par Sergio et Martine, et que je suis donc allé chercher chez eux près de Bordeaux d’un coup de voiture « Framétotage » de la face interne de la calandre « Framétotage » du dessous du plancher de la cabine (à terme, il y eut deux couches) « Framétotage » des passages de roue « Framétotage » du support en croix de la roue de secours, d’un petit cache métallique situé habituellement près du moteur, et de la face interne des pare-chocs Ponçage du dessous du réservoir (on s’était occupé du dessus au printemps 2012) « Framétotage » du dessous du réservoir « Framétotage » du verso du support de la roue de secours… … et de la face externe des pare-chocs Les deux parties de l’arbre de transmission (poncées, apprêtées et peintes au printemps 2012) remontent en scène Nettoyage grossier (en laissant la graisse !) de l’emboîtement crénelé des deux parites Et remontage de l’arbre de transmission ! :-) Remontage du support de la roue de secours et repositionnement de la roue après dégraissage/ponçage/framétotage de la jante (roue que j’ai mieux centrée après la photo !) « Framétotage » des étriers de support du capot Peinture des supports du réservoir Peinture du dessus du réservoir Dégraissage/ponçage des embases de siège
  9. Après donc une pause d’une semaine, début mai, je reprends le chantier en m’attelant donc cette fois à la partie cabine… Aperçus du plancher de la cabine après grattage et retrait des parties de rouille friables : voilà 32 ans que la corrosion se fait plaisir. On remarquera surtout les deux gros trous formés de chaque côté, au niveau de l’avant des embases de siège Après avoir donc bien gratté tout ce que je pouvais, je badigeonne tout au Framéto Puis j’attaque le ponçage (d’abord grossier : au grain 180) de l’extérieur de la cabine, en insistant bien sur les traces (plus ou moins bien discernables) d’impacts ayant entraîné une corrosion plus ou moins avancée. (En voyant ces photos mon père trouvait que ça donnait un côté « scarlatine » au CC !) D’abord le capot… État de la corrosion sous le capot avant ponçage Dans les « rigoles » ceinturant l’ouverture du capot, un vieux mastic que j’ai fait sauter a encore fait apparaître, sous-jacentes, de belles traînées de rouille ! Capot retiré pour y travailler plus facilement J’attaque le ponçage du dessous : différence avant/après Tout le dessous (ou presque) est poncé J’attaque le montant gauche du pare-brise L’aile avant-gauche Le montant droit du pare-brise L’aile avant-droite La base du pare-brise La bordure supérieure de la calandre Ici, la rouille a été perforante en plusieurs petits endroits La moitié droite de la calandre est poncée Le rebord supérieur de la calandre L’ensemble de la calandre (ainsi que les contours de phares) Le passage de roue de droite : un petit point de rouille perforante Le passage de roue de gauche : une grosse zone de rouille perforante… … que voici La base de la cabine (sans surprise, plus on descend plus il y a eu d’impacts, donc plus il faut poncer jusqu’à la tôle sur d’importantes surfaces) Derrière la plaque d’immatriculation Petit interlude : en revenant du rassemblement de l’Ascension et suite à mes discussions avec Camille et Jules, j’investis dans une grande natte de coco à placer sous les matelas de mon lit afin d’éviter l’humidité Ponçage de l’encadrement supérieur du pare-brise Ponçage du montant bordant la portière de droite Idem à gauche Ponçage de tout l’encadrement de la fenêtre de gauche (première phase) Différence avant/après au niveau de l’angle du montant Ponçage de tout l’encadrement de la fenêtre de gauche (seconde phase, finition), cette fois c’est vraiment propre partout Ponçage de la portière de gauche Ponçage de tout l’encadrement de la fenêtre de droite, fini… … et de la portière Retrait des rétroviseurs Retrait des pare-chocs derrière lesquels je vais aussi poncer
  10. achat de réservoirs d'eau (à organiser ultérieurement) et livraison des banquettes-coffres ! positionnement des banquettes-coffres de sorte à avoir encore de l'espace de rangement entre elles et la cloison ouverture des banquettes-coffres Voilà donc où j'en étais fin avril. J'ai ensuite temporairement interrompu le réaménagement de la cellule pour me consacrer à la restauration de la cabine et pouvoir déplacer le CC dès que possible. J'irai ensuite le peser pour voir où j'en suis par rapport à la limite des 2800 kg autorisés, et en fonction du verdict j'aurai une idée de la marge qui me restera pour poursuivre ce réaménagement intérieur.
  11. début du nettoyage intensif du parquet (poussière, sciure de bois, terre, colles, vernis, peinture) nettoyage intensif du parquet achat de tapis de sol élégants et antidérapants réassemblage de la base du piano réinstallation du clavier du piano ajout du tabouret le parquet très sale au niveau de l'entrée nettoyage intensif du parquet achat d'un joli paillasson d'entrée achat d'une nouvelle poubelle achat d'un nouveau miroir meilleure fixation du miroir au moyen d'un aimant décoration personnelle ! fin du nettoyage intensif du parquet ! fin du nettoyage intensif du parquet, les chaussons sont de mise à présent ! dépoussiérage grossier, mais plus que nécessaire, dans la cabine achat d'un poste de radio et lecteur de CD
  12. réinstallation du cylindre soutenant la table et de la table (ancienne version) retrait de l'ancien revêment adhésif de la table application d'un nouveau revêtement adhésif à la table nouvelle peinture, noire, sur le pied de la table réalisation des joints bordant les coffres des feux arrière réinstallation définitive de la table installation du premier rideau de plafond avec des clous à tapisserie dorés préparation au chevauchement installation du deuxième rideau de plafond chevauchement de rideaux de plafond installation du troisième rideau de plafond installation du troisième rideau de plafond, avec barre cylindrique pour faciliter le passage de la porte passage de la porte facilité par la barre cylindrique chevauchement peu aisé de rideaux de plafond installation du quatrième et dernier rideau de plafond chevauchement plus aisé de rideaux de plafond
  13. réhaussement des équerres par de petites lames de contre-plaqué 3 mm élaboration et installation de l'extension du lit collage de revêtement intérieur sur toute la superficie du lit installation des derniers champlats pour former un angle tout autour de la base de la capucine vernissage du rebord du lit, puis remise en place des matelas, de ma peluche d'enfance et du calendrier avec les anniversaires à souhaiter ! installation d'une dernière plinthe, adossée à une planche, entre la cabine et la cellule accrochage du dream catcher ! réinvestissement progressif des lieux par la vie... collage de revêtement intérieur sur les passages de roue installation du store vénitien entre la cabine et la cellule vernissage des poutres transversales
  14. installation des plinthes installation d'un champlat bordant la porte d'entrée installation des plinthes installation d'une baguette d'angle sur la planche cabine-cellule installation des plinthes et de l'autre baguette d'angle finition terminale des bordures de fenêtres avec collage du revêtement installation des plinthes installation des plinthes ainsi que de deux champlats verticaux à angle droit dans le coin prolongement d'un des deux champlats jusqu'au plafond pour masquer une déchirure du revêtement installation de champlats en guise de plinthe dans la capucine installation de la première cornière d'angle installation de champlats en guise de plinthe dans la capucine installation de la deuxième cornière d'angle installation de champlats en guise de plinthe dans la capucine et de deux champlats verticaux, dont l'un bordant la porte d'entrée champlats verticaux à gauche de la porte d'entrée champlats à angle droit dans le coin installation de la troisième cornière d'angle suite et fin de la finition terminale des bordures de fenêtres avec collage du revêtement installation de la quatrième et dernière cornière d'angle
  15. Au sujet des volets en bois figurant sur les photos suivantes, il ne faut pas vraiment en tenir compte puisque finalement ils ne me satisfont pas et je vais les remplacer par autre chose test d'installation d'un premier volet test d'installation d'un premier volet vernissage des volets (trois couches d'un côté, deux de l'autre) mise en place des volets vernis réalisation du joint bordant le seuil de la porte et installation d'un quart de rond pour repousser l'eau ajout de vis de bardage en haut des parois gauche et droite collage du premier morceau de revêtement intérieur, avec détourage grossier des fenêtres finition du détourage des fenêtres et réinstallation des battants collage du deuxième morceau de revêtement intérieur, avec détourage grossier des fenêtres collage du deuxième morceau de revêtement intérieur collage du deuxième morceau de revêtement intérieur, avec finition du détourage des fenêtres et réinstallation des battants collage du troisième morceau de revêtement intérieur (au fond à l'avant) collage du quatrième morceau de revêtement intérieur (planche cabine-cellule) collage du cinquième morceau de revêtement intérieur (planche cabine-cellule) collage du sixième morceau de revêtement intérieur collage du dernier morceau de revêtement intérieur collage de revêtement intérieur sur les petits coffres des feux arrière
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