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  1. lo111

    Lancia STRATOS

    Prototype et Stratos zéro Pour le fun
  2. lo111

    Lancia STRATOS

    La musique lui va bien
  3. lo111

    Groupe B en musique

    2 vidéos en musique du Groupe B qui décoiffent ...... en plus y'a la Lancia 037 Les laisser charger presque au bout et revenir en arrière
  4. lo111

    Lancia 037

    Lancia 037 La Lancia Rally 037 était une voiture spécialement conçue pour les rallyes fabriquée par le constructeur italien Lancia dans les années 1980 pour maintenir sa suprématie incontestée dans le Championnat Mondial. Histoire Ce fut Cesare Fiorio, responsable des activités sportives du groupe Fiat, qui annonça en 1981 la naissance d'un nouveau modèle pour les courses de rallyes en raison du changement de règlement. Le projet fut l'occasion d'une parfaite collaboration entre Lancia, Abarth et Pininfarina qui aboutira à la présentation au 59e Salon International de l'Automobile de Turin 1982 de la Lancia 037. La version routière, qui était obligatoire pour obtenir l'homologation en groupe B avec la fabrication de 200 exemplaires au minimum, ne fut pas un grand succès commercial et pour cause, Lancia voulait une vraie voiture de rallye et pas un dérivé de voiture de tourisme. Dotée d'un moteur 4 cylindres en ligne de 2000 cm³, 16 soupapes et suralimentation avec un compresseur volumétrique Volumex développant 205 ch capable de propulser la Lancia 037 à plus de 220 km/h et une accélération de 0 à 100 km/h en moins de 7,0 secondes. La Lancia 037 devait par contre remplacer la glorieuse Fiat 131 Rally qui avait engrangé de nombreux succès. Afin d'obtenir très rapidement une voiture compétitive, en raison du changement soudain du règlement, Lancia décida d'utiliser la base d'un récente voiture la Lancia Beta Monte-Carlo, qui répondait bien aux critères de la compétition. Ce modèle recueillait les faveurs du public et notamment aux États-Unis où elle était commercialisée sous le label Scorpion. Caractéristiques techniques Version routière Lancia 037 Châssis : monococque acier avec cellule centrale et châssis avant et arrière Carrosserie : kevlar renforcé par fibres de verre Poids : 1170 kg Dimensions : Longueur 3915 mm, largeur 1850 mm, hauteur 1245 mm, empattement 2240 mm Moteur : central disposé longitudinalement, 4 cylindres en ligne Alésage x course : 84 mm x 90 mm Couple : 23 kgm à 5000 tr/min Puissance max : 205 ch à 7000 tr/min Suralimentation : système Abarth Volumex - pression entre 0,60 et 0,90 bar Lubrification : forcée à carter sec Traction : train arrière Alimentation : carburateur double corps Weber 40DC NVH 12/250 Distribution : double arbre à cames en tête avec courroie crantée Embrayage : monodisque à sec, diamètre 230 mm Boîte de vitesses : ZF, 5 rapports plus MA Différentiel : autobloquant avec 2 arbres de transmission et joints homocinétiques Suspensions avant : roues indépendantes à quadrilatère, ressorts hélicoïdaux, amortisseurs à gaz et barre stabilisatrice Suspensions arrière : idem mais avec double amortisseurs et pas de barre stabilisatrice Roues : jantes Speedline 16″ en alliage léger, pneus Pirelli P7 205/55 VR 16 Direction : crémaillère, lubrification et amortisseur Refroidissement : forcée et radiateur Allumage : électronique Marelli AEI 200 A Version course Lancia 037 Châssis : monocoque acier avec cellule centrale et châssis avant et arrière Carrosserie : kevlar renforcé par fibres de verre et antifeu Poids : 980 kg Dimensions : Longueur 3890 mm, largeur 1850 mm, hauteur 1240 mm, empattement 2240 mm Moteur : central disposé longitudinalement, 4 cylindres en ligne Cylindrée : 1995 cm3 84 mm x 90 mm et 2111 cm3 85 mm x 93 mm évolution Couple : 30,5 kgm à 5000 tr/min et 34 kgm à 550 tr/min évolution Puissance max : 255 à 280 CV à 8000 tr/min et 310 à 325 ch évolution Suralimentation : système Abarth Volumex - pression entre 0,60 et 0,90 bar et 1 bar évolution Lubrification : forcée à carter sec réservoir de 8 litres Traction : train arrière Distribution : double arbre à cammes en tête avec courroie crantée 4 soupapes par cylindre Embrayage : monodisque à sec, diamètre 230 mm Boîte de vitesses : type ZF modifié, 5 rapports plus MA Différentiel : autobloquant Abarth à lamelles avec 2 arbres de transmission et joints homocinétiques Suspensions avant : roues indépendantes avec 2 triangles superposés, ressorts hélicoïdaux, amortisseurs à gaz et barre anti-roulis Suspensions arrière : idem mais avec double amortisseurs et pas de barre stabilisatrice Roues : jantes Speedline 15″ en alliage léger, pneus Pirelli P7 Corsa 205/50 VR 15 Direction : crémaillère, Freins : à disque sur les 4 roues Brembo-Abarth, Refroidissement : forcée et radiateur Allumage : électronique Marelli AEI 200 A La production La Lancia Rally 037, pour pouvoir participer aux courses, a dû être fabriquée en petite série. Le règlement impose un minimum de 200 exemplaires. Elle comporte le code VIN Lancia : ZLA 151 AR0* La version routière nécessaire à l'homologation comportait les numéros de série progressifs de 000001 à 000222, soit 222 exemplaires y compris les prototypes de mise au point. Les versions course, EVO I : de 000301 à 000320, et EVO II de 000401 à 000420 ; soit 40 exemplaires La production globale du modèle a été de 262 exemplaires.
  5. lo111

    Lancia STRATOS

    Fiche technique Lancia Stratos - (1974-1976) Moteur Lancia Stratos - (1974-1976) Type du moteurV6 à 65° (Dino)Energie EssenceDispositionTransversal central arrièreAlimentation 3 carburateurs Weber double corpsSuralimentation -Distribution 2 doubles arbres à cames en têteNombre de soupapes 2 par cylindreAlésage & Course 92.5 x 60.0 mmCylindrée 2418 ccCompression 9.0Puissance 190 chevaux à 7000 tr/minCouple 23.0 mkg à 4800 tr/min Transmission Lancia Stratos - (1974-1976) Boite de vitesse 5 rapportsPuissance fiscaleNCTypePropulsionAntipatinageNonESPNon Châssis Lancia Stratos - (1974-1976) DirectionCrémaillèreSuspensions AvTriangles superposésSuspensions ArMc PhersonCx-Freins avantDisques ventilésFreins arrièreDisques ventilésABSNonPneuAv165/70 HR14PneuAr185/70 HR14 Dimensions Lancia Stratos - (1974-1976) Longueur371 cmLargeur175 cmHauteur111 cmCoffre0 litresPoids870 kg Performances Lancia Stratos - (1974-1976) Poids/Puissance4.57 kg/cvVitesse max232 km/h0 à 100 km/h6.8 sec0 à 160 km/h- sec0 à 200 km/h- sec400 mètres DA15.6 sec1000 mètres DA28.6 sec Consommations Lancia Stratos - (1974-1976) Sur route -Sur autoroute-En ville-Conduite Sportive-Reservoir85 LAutonomie autoroute-Emissions de CO2 g/km Equipements & prix Nb airbags-Climatisation-Prix de baseplus dispo (- €)
  6. lo111

    Lancia STRATOS

    La Lancia Stratos Source du post : psal24 du forum Italian cars club Une machine faite pour gagner dans ses gènes : La Lancia Fulvia HF a ouvert une voie royale pour Lancia en rallye. La réputation de la marque durant les années 60, années d'un engagement officiel, ne cesse de croître grâce aux victoires accumulées dans cette discipline complète. Mais les rallyes attirent de plus en plus de constructeurs qui se lancent avec de lourdes équipes de façon officielle car, si la victoire est au bout, la réputation qui entraîne les ventes des modèles clients sont aussi recherchées. En 1969, Lancia est racheté par Fiat après une gestion un peu hasardeuse. Les rallyes sont un vecteur fort d'image et Lancia a déjà acquis un début de légitimité. Il faut donc construire une voiture pour gagner... mais un autre que la Fulvia qui n'apparaît pas assez performante face à la nouvelle concurrence. Alpine, Porsche, Ford... la concurrence est rude et de plus en plus nombreuse sur les routes fermées. Fiat qui vient de racheter Lancia (et surtout ses dettes) pense pouvoir rentabiliser cet achat grâce à la notoriété de la firme de Turin grâce à l'investissement dans les courses. Fiat se porte très bien en cette fin des années 60 contrairement au reste de la majorité des constructeurs italiens et rachètent ainsi petit à petit, un peu toute l'Italie automobile. Lancia n'avait pas d'argent pour investir (67 millions de lire de dettes) mais Fiat y croit ! Une naissance digne d'une star : Le projet est confié à un jeune pilote retraité, Cesare Fiorio, devenu responsable de la division sportive de Lancia en rallye. La première décision forte qu'il impose est de ne pas partir d'un modèle de série existant dans la gamme mais de construire la voiture à partir d'une feuille blanche pour qu'elle colle à 100% aux exigences de la course automobile. C'est une première : le développement de cette voiture se fait pour gagner des courses et non pas pour en vendre dans les concessions. Problème : pour homologuer ce modèle, il faudra le produire à au moins 500 exemplaires. Il faudra donc que ce modèle, même entièrement dédié à la course, soit tout de même un minimum rentable ou du moins ne soit pas un gouffre financier pour un Lancia pas très en forme financière... Un casse tête !!! L'avis des ingénieurs est unanime : il faut une voiture dans la lignée des Alpine, c'est à dire une carrosserie basse et profilée, pour 2 personnes uniquement, avec un moteur placé derrière mais en position centrale. Bertone donne le ton : C'est là encore Fiorio qui va trouver la solution : la production sera en partie assurée par un carrossier indépendant. Bertone est évoqué car Fiorio a été très intéressé durant le salon de Turin de 1970 par un concept car à mi chemin entre l'automobile et la navette spatiale : la Stratos. De plus, Bertone est attristé de voir une de ses marques favorites dans une période noire. Il décide de présenter un concept en l'honneur de Lancia. Sa carrosserie est telle qu'on la croit faite pour s'envoler dans la stratosphère... d'où sont nom ? En plus, ce prototype est doté d'un moteur Lancia, un 1600 de Fulvia HF, récupéré sur une voiture accidentée. Pour la petite histoire, ce prototype 0 était poussé à la main pour le salon mais a connu pas mal de kilomètres d'essais pour les journalistes et des publicités ! Si on en croit les proches de Bertone, le nom de Stratos vient en fait d'un projet mort né chez Bertone pour le design d'une paire de ski qui devait s'appeler Stratos. Hors un concurrent sortit sa paire de ski révolutionnaires avant Bertone... sous le nom de Stratos. La Stratos, telle qu'elle se présente encore pour l'instant, n'a pas de portes mais une verrière qui sert de porte d'accès à la manière d'un avion de chasse. Deux personnes peuvent y prendre place... ou plutôt s'allonger à son bord. Le concept est totalement futuriste ; ambiance science fiction garantie. Bertone est approché par Fiat pour engagé des discussions... réunion où Bertone arrive par la route avec le prototype !!! Du prototype de salon au prototype 0 : Des accords sont signés : Bertone se charge de la construction du châssis et de la carrosserie. L'assemblage se fait chez Lancia. A partir de ce prototype de salon est développé une première maquette, présentée encore une fois à Turin mais en 1972 sous le nom de Stratos HF. On trouve sous le capot le 2,4l de la Ferrari Dino 246 GT, certains affirment que ce n'était que le 2,0l des 206 GT,en position centrale arrière, au milieu d'un châssis tubulaire et une carrosserie en fibre de verre pour les ouvrants. La répartition des masses ainsi que le contrôle du poids sont déjà au centre de la conception de ce nouveau véhicule né pour gagner : c'est son seul objectif. Pour aller plus loin, l'accessibilité mécanique avant et arrière sont facilités par de grands ouvrants englobant les ailes. L'aérodynamique a été travaillé, que ce soit dans sa forme ou dans les accessoires avec ses feux avants escamotables, un futur incontournable de la voiture de sport. Même si le style s'éloigne du prototype d'origine, on retrouve les traits généraux en esquisses de ce modèle. Le moteur Ferrari se retrouve monté dans ce châssis presque par hasard. Un ancien chargé de mission de Fiat, Pier Ugo Gobbato, avant d'être chez Lancia sur le projet Stratos était chez Ferrari. C'est grâce à lui si un de ces blocs se retrouve chez Lancia pour le prototype. Les dirigeants de Lancia, grâce à l'appui de Fiat, n'imaginent pas une seconde que le Commendatore refusera de fournir les moteurs nécessaires à la production. Or Enzo a déjà programmé l'arrêt des moteurs v6 dans sa production et d'ailleurs il refusa à 2 reprises de vendre son moteur. Maserati, propriété de Citroën à ce moment là, avait aussi un v6 qui était monté sur les Citroën SM, diverses Maserati ainsi que la Ligier JS2. Agnelli donna son accord pour que le montage de ce moteur soit étudié. Maserati était très heureux de fournir ce moteur mais Enzo Ferrari, apprenant la nouvelle, changea d'avis. Fin 1972, le moteur Ferrari est donc officiellement annoncé pour la production. Le moteur Ferrari dans cette Lancia n'est pas arrivé simplement tout de même. Plusieurs moteurs ont été envisagés. Le 1600 des Fulvia ne développe pas assez de puissance face à la concurrence. Le 2000 des Flavia est trop ancien. Le moteur de la Fiat 132 Abarth avait un bon potentiel mais les coûts restaient à déterminer pour lui donner plus de puissance. C'est pourtant ce moteur qui a eu le plus de chance d'être monté avant de se faire souffler par le Ferrari même si le moteur de Maranello avait les faveurs de l’équipe d’ingénieurs. Cette équipe avait des noms des plus prestigieux comme Giampaolo Dallara, ancien directeur technique chez Lamborghini qui a travaillé sur les Miura et la De Tomaso Pantera. La Stratos est née mais pas encore terminée Les premiers tours de roues, mises au point et premières courses : Les premiers prototypes roulent durant l’été 1972… Le premier équipé du v6 Ferrari et le second d’un 2,0l de Lancia Beta. Les premiers essais au niveau aérodynamique ne sont pas bon car à grande vitesse, la voiture à tendance à se soulever comme si elle voulait décoller.. retour au source vers la stratosphère ? Des tests en soufflerie vont donc être pratiqués chez Pininfarina. Le second prototype sera utilisé par Dallara pour améliorer la tenue de route. Les suspensions arrières seront retouchées grâce à ces essais. En effet, la voiture était particulièrement inconduisible et pouvait très violemment décrocher du train avant ou arrière. Et pendant que la mise au point se précise, des prototypes de courses sont envoyés au tour de corse au début de novembre 1972. La fiabilité n’est pas encore au rendez vous (abandon dès la première étape) mais une victoire en Espagne pour sa seconde sortie donne des signes d’espoir. Fin 1973, la voiture semble terminée. Le moteur a eu droit aussi à une amélioration au niveau de ses carburateurs qui avaient tendance à déjauger en courbe rapide. Pour la compétition, pistons et arbres à cames sont spécifiques. La Stratos s’avère rapide et agile et son potentiel de développement très élevé. Des culasses à 24 soupapes sont montées et une version turbo est testée. Les développements pour la compétition vont être nombreux et vont donner naissance à des versions à injection (335 ch) ou turbo de 490 ch. Naissance de la version client : Durant l’été 1973 les premiers moteurs sont livrés, soit à la fin de la production de la 246 GT. Fin 1973, la production du modèle de série commence. La Stratos est baptisée stradale pour la version client. Les cadences sont faibles mais la voiture est produite comme prévu par Bertone pour le châssis et les panneaux de carrosserie, sous traité toutefois. L’assemblage se termine toujours à Turin (Bertone et Lancia y ayant des ateliers) chez Lancia à partir de l’été 1974 pour ne durer que quelques mois seulement et se terminer à la fin de cette même année. L’intérieur se compose d’un tableau de bord de Fiat 124 coupé, de sièges dessinés par Bertone, de vitres en plexiglas (possibilité en option de les avoir en verre dont 3 modèles ont eu des vitres teintées). Les vides poches sont plutot de grand bac qui servent à recevoir les casques. En option, les jantes dessinées par Bertone encore, pouvait avoir une monte plus généreuse. La production officielle exacte est difficile à connaître. Il y aurait eu 457 à 492 Stratos produites selon les sources, toutes avec conduite à gauche. Les numéros de châssis utilisés ont été compris entre 1001 et 1008, puis 1509 à 1992. Il y a eu au moins 400 Stratos produites, avec en plus plusieurs dizaines de voitures de compétition pour la HF Squadra Corse. La Stratos fût un terrible échec commercial. En 1978, on comptait seulement 250 ventes. Niveau prix, elle était pourtant relativement bien placé car elle coûtait en gros le prix d’une Porsche 911 S. Cet insuccès peut avoir plusieurs sources comme la hausse du prix des carburants, la hausse des taxes sur les voitures puissantes mais aussi la distribution de la Stratos car elle n’a été homologuée quand dans peu de pays (Italie, Allemagne, Belgique et France). Pour les USA par exemple, les normes de crash tests n’étaient pas respectées et en plus, la Stratos n’avaient pas de pare chocs. La Stratos a été disponible à la vente jusque 1982 environ mais directement à l’usine de Turin. La première source d’échec est probablement que cette voiture n’a été conçue que et uniquement pour la compétition et qu’elle était très difficile à manier… en ville, mais surtout lorsqu’elle atteint ses limites ! Elle n’avait pas non plus de coffre ou d’espace de rangement, son confort n’était pas terrible. Homologation en groupe 4 : L’homologation en groupe 4 a été obtenue en octobre 1974… alors que la production n’avait pas encore atteint les 500 exemplaires. La vérification, pleine de bon sens devait se faire chez Bertone où on pouvait dénombrer, selon Bertone, 1000 châssis construit. Ce chiffre est plausible car Lancia comptait réellement produire 1000 Startos d’un coté, et il existe des photos de châssis entassés chez Bertone… ceux qui n’ont pas été utilisés. Le règlement en groupe 4 change fin 1974, où seulement 400 exemplaires sont demandés, ce qui arrange Lancia. Ceci est sans compter les versions qui ont servi à courir, que ce soit pour l’écurie Lancia (HF squdra corse), pour l’importateur Chardonnet, ou les clients. Ces versions compétitions étaient simplement des voitures d’usines préparées. La fiche technique Stratos stradale type 828AR.0 : Moteur : Type 829A.000, position central arrière monté tranversalement, 6 en V à 65°, 2418 cm3 (92,5 x 60 mm), 195 ch DIN (variait en fonction de la configuration), 25 m/kg à 5 300 tr/mn, culasse alliage léger, 2 soupapes par cylindre, bloc en fonte, 4 arbres à came en tête commandés par chaîne, carter humide, 3 carburateurs double-corps verticaux Weber 40 IDF, 20 l aux 100 km (données d'origine Ferrari), huile moteur refroidie par un échangeur, Taux de compression de 9.0:1, couple maxi de 24 mkg à 4000 tr/mn, distribution par chaîne, deux soupapes par cylindres, inclinées à 47°. Vitesse maxi déclarée : 230 km/h Transmission : Boite Ferrari 5 rapports en position transversale, dans l'axe du moteur, Embrayage monodisque à sec FERODO, Roues arrières motrices, différentiel ZF. Suspenssion : Avant à Triangles superposés et barre anti-roulis Arrière McPherson avec barre anti-roulis Amortisseurs hydrauliques avec ressort hélicoïdal Direction à crémaillère - 2,5 tours de butée à butée Freins : Avant : disques ventilés (272 mm de diamètre) Arrière : disques ventilés (277 mm de diamètre) Pas d'assistance au freinage Dimensions : Empattement : 2,180 m Longueur : 3,710 m Largeur : 1,760 m Hauteur : 1,114 m Voies : Avant : 1,430 m - Arrière 1,460 m Conception monocoque Répartition des masses : 46% sur le train avant et 54% sur le train arrière Largeur du train avant : 1,433m Largeur du train arrière : 1,457m Jantes Campagnolo en alliage léger - 7,5 x 14" 5 trous Pneumatiques : 205/70 VR 14 PIRELLI Cinturato CN36 ou MICHELIN XWX radiaux Poids : 980 kg Réservoir de carburant : 90 litres (2 réservoirs centraux) Fiche technique : particularités des versions compétition (Stratos HF) : On peut noter que la version de base avait 240 ch avec la culasse à 12 soupapes et 275 ch avec les 24 soupapes en 1974. La puissance n’a cessée d’évoluée durant l’exploitation de la Stratos par l’équipe de Mike Parkes. Ainsi pour 1977, les puissances sont de 270 ch en 12 soupapes et 285 en version à culasse à 24. Il y a eu une version 24 soupapes et injection de 335 ch. La version turbo de 1975 avait 385 ch. Un développement moteur ultime, mais non utilisé, a fournit 490 ch en 1976. Les culasses, arbres à cames et pistons sont spécifiques. L’alimentation est toujours confiée à 3 carburateurs Weber mais des 44 IDF. L’embrayage est renforcé, double disque, Borg et Beck. Les jantes passent de 14 à 15 pouces, 7 pouces d elarge à l’avant et 12 à l’arrière avec des pneus hyper généreux : 255/40 VR 15 à l'avant , 380/35 VR 15 à l'arrière (PIRELLI P7) La carrière sportive : 1972 : Tour de Corse (France) : Abandon : Munari/Mannucci Costa del Sol Rally (Espagne) : Abandon : Munari/Mannucci 1973 : Rallye FIRESTONE (Espagne) : 1er : Munari/Mannucci Targa Florio (Italie) : 2ème : Munari / Andruet Tour de l'Aisne (France) : 1er : Andruet / "Biche" Tour de France (France) : 1er : Munari/Mannucci 1974 : 24 heures de Chamonix : 2ème : Munari / Andruet Ronde de la Giraglia (France) : 1er : Andruet / "Biche" Rallye neige et glace (France) : 1er : Andruet / "Biche" Targa Florio (Italie) : 1er : Larousse / Ballestrieri Rallye féminin Paris-Saint Raphaël (France) : 1er : "Christine" / "Biche" Rally delle 4 Regiono (Italie) : 1er : Munari/Mannucci 2ème :Ballestrieri / Maïga Tour de France (France) : 3ème : Andruet / "Biche" Rallye de San Remo (Italie) : 1er : Munari/Mannucci Giro d'Italia (Italie) : 1er : Andruet / "Biche" Rideau Lakes Rally (Canada) : 1er : Munari / Mannuci RAC Rally (Angleterre) : 3ème : Munari / Sodano Tour de Corse (France) : 1er : Andruet / "Biche" Titre constructeur en championnat du monde des rallyes 1975 : Rallye de Monte-Carlo (Monaco) : 1er : Munari/Mannucci Rallye de Suède (Suède) : 1er : Waldegaard / Thorszelius East African Safari (Kenya) : 2ème : Munari / Drews 3ème : Waldegaard / Thorszelius Rallye de Sicile (Italie) : 1er : Pinto / Bernacchini Rallye des 4 régions (Italie) : 1er : Munari/Mannucci Rallye des Alpes Orientales (Italie) : 4ème : Pinto / Bernacchini Rallye San Martino di Castrozza (Italie) : 1er : Pinto / Bernacchini 5ème : "Tony" / De Marco Tour de France (France) : 1er : Darniche / Mahe Coppa Liburna (Italie) : 1er : Pinto / Bernacchini Rallye de San Remo (Italie) : 1er : Waldegaard / Thorszelius Giro d'Italia (Italie) : 6ème : Munari/Mannucci Tour de Corse (France) : 1er : Darniche / Mahe RAC Rally (Angleterre) : 4ème : Munari/Mannucci Rally delle Valli Piacentine : 2ème : "Tony" / De Marco Titre constructeur en championnat du monde des rallyes 1976 : Rallye de Monte-Carlo (Monaco) 1er : Munari / Maïga 2ème : Waldegaard / Thorszelius 3ème : Darniche / Mahe Rallye de Suède (Suède) : 4ème : Lampinen / Hertz Rallye Neige et Glace (France) : 1er : Darniche / Mahe Rallye Stuttgart-Lyon/Charbonnières (France) : 1er : Darniche / Mahe Rallye du Portugal ( Portugal) : 1er : Munari / Maïga 4ème : Pinto / Bernacchini Rallye de Touraine (France) : 1er : Darniche / Mahe Rallye de Sicile ( Italie) : 1er : Pregliasco / Sodano 6 Ore di Vallelunga (Italie) : 8ème : Ricci / Zorzi East African Safari (Kenya) : 12 ème : Preston / Lyall Rallye des 4 régions (Italie) : 1er : Darniche / Mahe 5ème : Carello / Bernacchini Ronde des Vosges (France) : 1er : Darniche / Mahe 24 Heures du Mans (France) : 20ème : Lombardi / Dacremont Rallye d'Antibes (France) : 1er : Darniche / Mahe Rallye du Maroc (Maroc) : 1er : Munari / Maïga Rallye de Pologne ( Pologne) : 1er : Jaroszwicz / Zyskowsky Rallye di Piacenza ( Italie) : 1er : "Tony" / Mannini Rallye San Martino di Castrozza (Italie) : 1er : Darniche / Mahe Rallye de la Baltique (Allemagne) : 1er : Darniche / Mahe Coppa Liburna (Italie) : 1er : Bianchi / Mannini Rallye de San Remo (Italie) : 1er : Waldegaard / Thorszelius 2ème : Munari / Maïga 3ème : Pinto / Bernacchini 4ème "Tony" / Mannini Giro d'Italia (Italie) : 1er : Facetti / Sodano Tour de Corse (France) : 1er : Munari / Maïga 2ème : Darniche / Mahe Rallye d'Espagne (Espagne) : 1er : De Bagration / Barbeito Rallye Campagnolo (Italie) : 2ème : Carello / Bernacchini RAC (Angleterre) : 4ème : Munari / Maïga Rally del Ciocco (Italie) : 1er : Carello / Bernacchini Titre constructeur en championnat du monde des rallyes Titre pilote pour Darniche en championnat d’europe des rallyes 1977 : Rallye de Monte-Carle (Monaco) : 1er : Munari / Maïga Rallye du Pays de Galles (Grande-Bretagne) : 4ème : Coleman / O'Donohue Rallye de Costa Brava (Espagne) : 2 ème : Bragation / Barbeito Ronde de la Giraglia (France) : 1er : Darniche / Mahe Rally del Ciocco (Italie) : 1er : Vudafieri / Salvator Rallye de Sicile ( Italie) : 1er : Darniche / Mahe 2ème : Vudafieri / Antoni East African Safari ( Kenya) : 3ème : Munari / Sodano Round Ireland Rally (Irlande) : 2ème : Coleman / Scott Rally Isola d'Elba (Italie) : 1er : Darniche / Mahe Rallye Firestone (Espagne) : 1er : Darniche / Mahe Rally d'Abruzzo (Italie) : 7ème : Bazocchi / Celli Rally di San Giacomo (Italie) : 1er : Pregliasco / Reisoli 2ème ; Carello / Perissinot Critérium Alpin (France) : 1er : Darniche / Mahe Critérium Lucien Bianchi (Belgique) : 1er : Darniche / Mahe Rallye de 4 régions (Italie) : 1er : Darniche / Mahe 2ème : Pregliasco / Reisoli Giro d'Italia (Italie) : 10ème : De Angelis / Del Fante Rallye de Gargano (Italie) : 3ème : Pregliasco / Reisoli 24 Heures d'Ypres (Belgique) : 1er : Darniche / Mahe 4ème : Coleman / Richards Rallye Campagnolo (Italie) : 1er : Carello / Perissinot 2ème : Vudafieri / Bonaga Total Rally (Afrique du sud) : 1er : Munari / Sodano Rallye de Pologne (Pologne) : 1er : Darniche / Mahe Rally delle Valli Piacentine (Italie) : 1er : Pregliasco / Reisoli Rally Colli di Romagna (Italie) : 2ème : Carello / Perissinot 3ème : Vudafieri / De Antoni Rallye San Martino di Castrozza (Italie) : 1er : Munari / Sodano 2ème : Pregliasco / Reisoli Rallye de la Chataigne (France) : 1er : Darniche / Mahe Tour de France (France) : 1er : Darniche / Mahe Coppa Liburna (Italie) : 1er : Pregliasco / Reisoli 2ème : Bellosta / Bondezan Rallye de San Remo (Italie) : 4ème : Pregliasco / ReisoliI Rallye de la Chataigne (France) : 2ème : Darniche / Mahe Rallye Jeanne d'Arc (France) : 1er : Darniche / Mahe Rally dei 100.000 Trabucchi (Italie) 4ème : Novarese / Soro Tour de Corse (France) : 2ème : Pinto / Bernacchini 4ème : Carello / Perissinot Rally Valle d'Aosta (Italie) 1er : Munari / Perissinot 2ème : Bettega / Torghele Titre constructeur en championnat européen des rallyes Titre pilote pour Darniche en championnat d’europe des rallyes Titre pilote pour Munari en championnat du monde des rallyes 1978 : Rallye de Monte-Carlo (Monaco) : 7ème : Mouton / Conconi 10ème : Baccheli / Bernacchini Rallye de Suède (Suède) : 4ème : Blonmqvist / Sylvan Rallye de Costa Brava (Espagne) : 1er : Carello / Perissinot Rallye Stuttgart - Lyon/Charbonnières (France) : 1er : Darniche / Mahe Rallye de Sicile / Targa Florio (Italie) : 1er : Carello / Perissinot 2ème : Vudafieri / Antoni Critérium Jean Behra (France) : 1er : Darniche / Mahe Rallye de Touraine (France) : 1er : Darniche / Giroux Rally Saarland (Allemagne) : 1er : Röhrl / Geistdörfer Rally Isola d'Elba (Italie) : 1er : Vudafieri / Mannini Critérium Alpin (France) : 1er : Darniche / Mahe Rallye des 4 régions (Italie) : 1er : Carello / Perissinot 2ème : Vudafieri / Mannini Rallye de Lorraine (France) : 1er : Darniche / Mahe Ronde Cévenole (France) : 1er : Darniche / Mahe Rallye d'Antibes (France) : 1er : Darniche / Mahe 2ème : Bettega / Vaccheto Rallye d'Ypres (Belgique) : 3ème : Carello / Perissinot Rallye Rhein-Hessen (Allemagne) : 1er : Röhrl / Geistdörfer Rallye des Alpes Orientales (Italie) : 1er : Carello / Perissinot Rally Volderpfalz (Allemagne) : 1er : Röhrl / Geistdörfer Rally Hunsrück (Allemagne) : 1er : Röhrl / Geistdörfer 2ème : Bettega / Vaccheto Rally Bayerwald (Allemagne) : 2ème : Röhrl / Geistdörfer Rallye Halkidikis (Grèce) : 1er : Carello / Perissinot 2ème : "Siroco" / Makrinos Rallye de San Remo (Italie) : 1er : Alen / Kivimaki Rallye OeASC (Autriche) : 1er : Carello / Perissinot Rallye de la Chataigne (France) : 1er : Darniche / Giroux Tour d'Italie (Italie) : 1er : Alen / Kivimaki / Pianta Rallye RACE (Espagne) : 1er : Carello / Perissinot Critérium des Cévennes (France) : 1er : Serpassi / Morelli Titre constructeur en championnat européen des rallyes Titre pilote pour Carrelo en championnat d’europe des rallyes Titre pilote pour Alen en championnat du monde des rallyes (où il pilotât aussi sur une Fiat 131 Abarth) 1979 : Rallye de Monte-Carlo (Monaco) : 1er : Darniche / Mahe Ronde hivernale de Serre Chevalier (France) : 1er : Darniche Rally di San Marino (San Marin) : 1er "Tony" / Mannini 2ème : Tabaton / Rogano Rallye de Sicile / Targa Florio (Italie) : 6ème : Cambiaghi / Vittadello Rally di Modena (Italie) : 1er : Simontacchi / Vercellino Rally Costa Smeralda (Italie) : 7ème : Cambiaghi / Vittadello Rallye des Sables d'Or (Roumanie) : 2ème : "Sirocco" / Fertakis Rally Isola d'Elba (Italie) : 1er : "Tony" / Mannini Critérium Lucien BIANCHI (Belgique) : 9ème : Neri / Materne Rally Orense (Espagne) : 1er : De Bragation / Llopis Rallye des 1000 Pistes (France) : 3ème : Darniche / Mahe Rally delle valli Piacentine (Italie) : 1er : "Tony" / Mannini 9ème : Cambiaghi / Vittadello 11ème : "Nico" / Barban Rally Madeira (Portugal) : 1er : "Tony" / Mannini Coppa Liburna (Italie) : 1er : "Tony" / Mannini 2éme : Tabaton / Rogano 10ème : Cambiaghi / Vittadello Tour de France (France) : 1er : Darniche / Mahe Rallye de San Remo (Italie) : 1er : "Tony" / Mannini 9ème : "Nico" / Barban Rallye d'Espagne (Espagne) : 1er : De Bragation / Llopis Tour d'Italie (Italie) : 3ème : Carello / De Cesaris / "Meiohas" 4ème : Alberti / Alberti / Scaglia 7ème : "Regastas" / Curatolo / Padimatteo Rally dei 100.000 Trabucci (Italie) : 1er : "Tony" / Mannini 6ème : Francone / Francone 9ème : Codognelli / Sala Tour de Corse (France) : 1er : Darniche / Mahe Rally della Lana (Italie) : 2ème : Bagna / Sanfront Rally Shalymar (Espagne) : 1er : De Bragation / Llopis 1980 : Rallye de Monte-Carlo (Monaco) : 2ème : Darniche / Mahe Ronde hivernale de Serre-Chevalier (France) : 1er : Darniche Rallye de Costa Brava (Espagne) : 2ème : De Bragation / Llopis Tour de Sicile / Targa Florio (Italie) : 9ème : Montalto / "Flay" Rally Costa Smeralda (Italie) : 1er : Darniche / Mahe 3ème : Cunico / Ravizza Rally Isola d'Elba (Italie) : 9ème : Volpi / Piacini Rallye de l'Acropole (Grèce) : 9ème : "Siroco" / Makrinos Rallye des 4 Régions (Italie) : 2ème : Tabaton / Radadaelli Rallye d'Orense (Espagne) : 1er : Balcazar / Martin Rally del Ciocco (Italie) : 3ème : Cunico / Meggiolan Rallye Firestone (Espagne) : 1er : De Bragation / Llopis 3ème : Balcazar / Martin Rally Colli di Romagna (Italie) : 6ème : Cunico / Meggiolan 7ème : Biasuzzi / Bonenti Rallye Hunsrück (Allemagne) : 7ème : FRITZINGER / SCHWÄGERL Manx Trophy (Angleterre) : 5ème : DAWSON / GORMLEY Tour de France (France) : 1er : Darniche / Mahe Coppa Liburna (Italie) : 9ème : Volpi / Piaccini Rallye d'Espagne (Espagne) : 3ème : De Bragation / Llopis Rally dei 100.000 Trabucchi (Italie) : 6ème : FILIPPI / DEMELA Rallye de Monza (Italie) : 4ème : MONTALTO / POZZI 7ème : FRANCONE / REGGIO 1981 : Rallye de Monte-Carlo (Monaco) : 6ème : Darniche / Mahe Rally di Sicilia/Targa Florio (Italie) : 8ème : "Dielis" / Spataro Rallye RACE (Espagne) : 2ème : De Bragation / SABATER 4ème : Balcazar / Martin Rallye de Touraine (France) : 1er : Darniche / Mahe Rallye Masplomas (Espagne) : 1er : De Bragation / SABATER Rallye CS (Espagne) : 1er : De Bragation / SABATER 3ème : Balcazar / Martin Rally di Alba (Italie) : 1er : FILIPPI / DEMELA Coppa Valtellina (Italie) : 1er : BIASUZZI / MENGOLI Tour de France (France) : 2ème : Darniche / Mahe Coppa Liburna (Italie) : 1er : Tabaton / Tedeschini Rallye de Monza (Italie) : 1er : Ormezzano / Berro 2ème : BIASUZZI / BONETTI 4ème : AMBROGETTI / TORRIANI 1982 : Rally Costa Smeralda (Italie) : 2ème : Tabaton / Tedeschini Rally Isola d'Elba (Italie) : 1er : Tabaton / Tedeschini Rally del Ciocco (Italie) : 5ème : Tabaton / Tedeschini Rally Colli di Romagna (Italie) : 1er : Tabaton / Tedeschini Rallye Halkidikis (Grèce) : 6ème : "Benny" / Stefanis Rally de Monza (Italie) : 1er : Ormezzano / Berro 2ème : Cazzaniga / Molteni 4ème : Verini / Scabini La Stratos laisse petit à petit place à une autre bête de course qui va marquer l’histoire. La Lancia 037, représente le groupe Fiat officiellement car Fiat (la marque) se retire des rallyes afin de laisser la marque de Turin seule sur une lancée qui va se poursuivre jusqu’aux Delta. La Stratos de nos jours : La production ayant été faible, le palmarès plutôt bien rempli, et le prix à l’époque assez élevé, la côte d’une Stratos Stradale est d’un très bon niveau… comprenez qu’on ne peut pas tous se permettre d’en acheter une… à moi de tous se cotiser…! Les transactions sont rares. On trouve des ventes entre 120 000 et 150 000 €. Pour les versions groupe 4 , ça se corse. On en voit encore régulièrement dans des sorties ou des rallyes de régularité historique mais les ventes sont très rares mais il faudra compter plus de 200 000 €. A ces prix là, il vaut mieux qu’elle soit complète et en très bon état car les pièces ne se trouvent pas dans la casse au coin de la rue. Dès la fin des années 70, certaines pièces étaient réputées introuvables. Même si certaines ne sont ni plus ni moins que des pièces Fiat, d’autres totalement spécifiques ne sont plus du tout disponibles. Le faisceau électrique n’a pas bonne réputation, les arbres à cames s’usent très vite et non des moindre, les réglages du train avant en particulier est très délicat. De vraies fausses Stratos : Si une vraie Stratos n’est pas simple à avoir dans son garage, il existe la solution des répliques. Un petit exemple parmi d’autres : Hawk cars propose des répliques d’AC Cobra 289 et 427, des Ford GT 40 ainsi qu’une Stratos, le tout en kit. Il existe même toute une gamme de moteur disponible : HF2000 : 2,0l Lancia Beta/Thema/Delta 8v/16v/Turbo/Volumex HF2400 : 2,4l Ferrari Dino V6 HF2500 : 2,5l Alfa Romeo V6 de la 155 HF3000 : 3,0l Alfa Romeo V6 de la 164 164, 12v or 24v HF3000QV : 3,0l Ferrari Quattrovalvole … et sur demande il est possible d’adapter d’autres moteurs. Il est d’ailleurs possible de visiter l’usine et d’acheter son kit, partiellement monté. L’intérieur se veut proche de ce lui d’origine au point d’être un copier/coller. Pour l’extérieur, il est possible de commander une version Stradale ou groupe 4. L’avantage de cette société, les pièces détachées de bonne qualité utilisées sur de vraies Stratos ! A noter que le volant à gauche est une option. Et si ces Stratos sont encore trop chères… Il vous reste les jouets, les miniatures dans de nombreuses échelles, des maquettes et autres objets de collection. La Stratos se décline à l’infini et même dans les jeux vidéo.
  7. lo111

    Lancia STRATOS

    Pour ouvrir un sujet sur Stratos voici une petite vidéo Que du bonheur
  8. Ben oui c'est pas passer loin ..... mais bon ...... cela n'a pas gâché cette super journée passée tous ensembles .... Encore merci à toi et à VERT CANARD
  9. Alors là ça va se payer Le Stf y dit que même si t'es grand et baraqué ..... il a même pas peur
  10. Ben le pauvre gars à été surpris ...... par l'arrêt brusque du 1er ...... son premier réflexe à été de se déporter avant de regarder dans son rétro ..... Heureusement que ça c'est bien terminé ..... surtout pour lui car il avait un bébé de 4 mois à bord..... On n'a pas fait de constat car il y a une petite bosse sur l'aile avant de la laguna ..... lui n'a rien eu car on a fait une touchette sur son pare choc ...... et en plus il était vraiment désolé et de bonne fois ..... ce n'était pas de sa faute Heureusement que la Laguna reste droite au freinage et que Stf à de bons réflexes ..... Tout es bien qui finit bien ..... on peut aller au MCH
  11. T'inquiètes copain...... on le sait bien ..... Mais là ça aurait été contraints et forcés .....
  12. Bien sympa toutes ces photos ça donne envie d'y retourner La suite des photos ici : http://dingos-gordos.superforum.fr/sorties-concentrations-bourses-d-echange-rencontres-f7/rencontres-t1303-60.htm#16073 Sinon pour finir sur le chemin du retour, on a bien failli s'arrêter chez Mef ....... Sur la nationale, partie 4 voies ..... un conducteur ayant décidé de s'arrêter sans prévenir sur la BA ..... le gars qui le suivait de trés près à fait un brusque écart à gauche alors que nous arrivions en doublant..... On es heureusement passé entre lui et la glissière ..... juste frolé ..... une petite bosse sur la voiture ...OUFFF
  13. Un lien super sympa ..... trouvé sur le forum 3A66..... L'histoire du Monté Carlo raconté par ...... JF Jacob sur la Radio Kiss FM http://www.kissfm.fr/operation-speciale.asp Allez sur Introduction, puis en bas de page Bisous
  14. Voila notre prochaine ballade photos ....... Nous serons sur l'étape commune partie 1 - Valence/Valence le 1er février prochain http://www.acm.mc/rmch/2010/docs/etape_commune_1_2010.pdf Bisous
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