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cal1

Interview hier de Dudu

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La dernière phrase...

"c'est la preuve que j'ai un coeur..."

Elle résume tout à tout les niveaux... Même si durant l'interview il ne montre pas ses sentiments... Timidité, pudeur...???

cal

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Je ne sais pas pourquoi, mais il m'est impossible de lire la vidéo, si qq'un pouvait en faire un petit résumé ce serait sympa Wink

Merci Calou

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En gros, il raconte ce qu'on a déja pu lire dans les journeaux.

L'accident au Japon, les heures d'angoisse, le coup de main de Giraudet, le fait qu'il roule au Rac, les autres pilotes qui l'ont appellé et dit de continuer, et son possible futur... (1.000.000 euros pour le wrc ou l'Irc)

Voila. Wink

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VRS a écrit:
Je ne sais pas pourquoi, mais il m'est impossible de lire la vidéo, Merci Calou


cela arrive lorsqu'on achète un PC de mer** !!!!!




































hahahahahhahaahaha bises ma cocotte !!!!

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1.000.000€ ???

Whaou... Ben ca marche Structo en tous cas !

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Dans la DH ce jour :





LOMMEL
Programmé de longue date, mon baptême avec François Duval, dans le baquet de la Ford Focus WRC07 menée sur le podium en Allemagne, a eu lieu samedi dernier sur la base d’essais Ford de Lommel. Quinze jours après l’accident du Japon dans lequel son équipier Patrick Pivato a failli perdre la vie, monter à la droite de Dudu a pris une tout autre valeur. Mais malgré les réticences de ma femme et les mauvaises plaisanteries de collègues, pas question de refuser
pareil cadeau. Vendredi soir, René, le père Duval, me téléphone: “Tu as préparé ton Pampers”, glousse-t-il gentiment. Tout ce qu’il faut
pour passer une bonne nuit...

À PEINE LE TEMPS d’enfiler un casque et me voilà sanglé dans le siège de droite tellement bas que malgré mon mètre presque nonante, je vois à peine la route. Mon pilote d’un tour me lance avec un sourire malicieux. “La spéciale de 5km n’est pas terrible. Cela glisse super fort avec la pluie et c’est bordé de rails.” Marche arrière, marche avant
et nous voilà partis pour un tour du plus terrible manège de mon
existence. Déjà rien qu’à l’accélération, même avec 40 chevaux de moins qu’en course, c’est plus grisant que le Space Mountain. Quelques zigzags pour chauffer les pneus et le festival de glissades parfaitement contrôlées débute. Malgré seulement trois passages préalables sur ce tronçon étroit et très technique, le ballet est magnifiquement orchestré. Aucun geste brusque. Seuls les freinages sont réellement impressionnants. QUASI JAMAIS DROITE, notre Focus
enroule les virages de façon très coulée. On a l’impression de se retrouver à bord d’un hovercraft, de flotter sur un coussin d’air. En virtuose, Dudu anticipe un maximum en inscrivant la
voiture dans les courbes. Il semble toujours savoir où la dérive va se terminer. On frôle des petits poteaux... en plastique, mais tout en confiance tellement notre homme maîtrise son objet.
Cela a l’air facile. Pas de mal à l’estomac, mais le souffle est coupé. Heureusement, pas de looping dans ces montagnes russes uniques ! Un dernier long travers, une épingle négociée au frein-à-main, et
nous voilà revenus. C’est déjà fini. Le souffle court, je n’ai dit mot
de peur de déconcentrer François. La seule note viendra une fois arrêté : un dix sur dix de bonne conduite.

©️al La Dernière Heure. Olivier de Wilde
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'Sans la moindre appréhension' :

LOMMEL
Pour François Duval, cette journée incentive réservée
à quelques invités privilégiés de Ford et de Structo, revêtait également, vu le contexte, une importance psychologique.
“C’est la première fois que je reprenais le volant d’une auto de course depuis mon malheureux accident au Japon”, confiait-il, sans avoir souffert “d’aucune appréhension. Les automatismes sont directement revenus. Cela me fait juste drôle de ne pas recevoir
de notes de mes équipiers.” Une vingtaine de VIP se sont
succédé à sa droite durant la journée. “Cela m’a permis de reprendre
doucement mes marques et ma confiance. J’ai bouclé
une bonne centaine de kilomètres sans commettre le moindre
tête-à-queue. Bien sûr, le rythme n’est pas le même qu’en course.
Mais je n’abandonnais qu’une seconde par kilomètre.” Fin du
mois, le week-end avant le Rallye du Pays de Galles où il sera
épaulé par le très expérimenté Français Denis Giraudet, François
aura droit à une demi journée d’essais, sur la terre
cette fois. “Cela devrait être suffisant, l’objectif en Angleterre
n’étant pas de gagner ni même de monter sur le podium, mais
seulement de battre Dani Sordo sur la 2e C4 WRC.” Une ultime
manche de la saison mondiale où le pilote de Cul-des-Sarts
aura comme équipier au sein du team Stobart un certain...
Valentino Rossi, huit fois champion du monde sur deux
roues.

©️al La Dernière Heure O. d.W.

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Il y a un peu plus de 4 ans j'étais monté avec François dans une Focus de Rallycross de +- 500 cheveaux, et je peux vous dire que ca déménage bouncebouncebounce

Et le plus impressionant c'est à l'accélération et au freinage bouncebouncebounce

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Interview dans la Dh de ce mardi 25/11

Entretien exclusif avec Patrick Pivato, l'ex-co de François Duval, toujours alité à l'hôpital de Lyon

LYON Un peu plus de trois semaines après le terrible accident dont il a été victime au Japon et qui l'a plongé durant cinq jours dans le coma, Patrick Pivato nous a accordé une interview.

Patrick, tout d'abord, comment allez-vous ?

"Jusqu'à hier, superbien. Mais là, je n'ai pas dormi et je souffre à nouveau au niveau des articulations et de ma jambe qui me paraît peser 100 kg. Je ne prends plus d'anti-douleur et j'ai l'impression que tout se réveille. Cela fait mal. J'ai un arceau de sécurité au niveau du bassin et ma jambe droite est toute brochée. Jusqu'au week-end dernier, je ne parvenais pas à m'alimenter seul suite à des troubles digestifs liés à mes différentes transfusions sanguines. Mais depuis deux jours, je parviens à manger du bouillon et de la compote."

Pour combien de temps en avez-vous encore à l'hôpital ?

"Je dois rester couché jusqu'au 20 décembre. Ensuite, je serai autorisé à m'asseoir dans un fauteuil roulant. J'ai fait une demande pour passer Noël à la maison. Puis ce sera la longue rééducation. Je vais devoir réapprendre à marcher. Cela va prendre deux à trois mois."

Vous souvenez-vous du crash ?

"Bien sûr. Un vilain gauche sur asphalte recouvert de terre par le premier passage. On s'est fait piéger. L'auto a glissé et s'est arrêtée net contre un petit piquet en acier entré dans ma jambe. Il ne restait que 5 cm de mon baquet. J'étais compressé sur la colonne centrale, la boucle du harnais m'a perforé le ventre. C'est là que j'avais le plus mal. Je souffrais mais je suis resté conscient. Je me demandais comment on allait pouvoir me sortir de là. François a eu la bonne idée de tirer l'auto avec la dépanneuse sans m'arracher la jambe. Je savais que c'était grave, mais je n'ai jamais eu peur de mourir. Je voulais m'en sortir pour ma famille."

Referez-vous un jour du rallye ?

"Si cela ne tenait qu'à moi, j'épaulerais déjà François en Angleterre car j'ai cela dans le sang, c'est ma passion. Je n'en veux pas du tout à François. Cela fait partie des risques du métier. C'était une petite sortie. Je n'ai pas eu de chance, c'est le destin. Le problème, c'est ma famille, ma femme et mes deux enfants. Ils ont été fort choqués. Je ne voudrais plus prendre le risque de leur faire subir un tel traumatisme. Je ne referai de la course que si mon épouse me dit : "Vas-y, je suis blindée."

Comment voyez-vous l'avenir ?

"Je voudrais m'occuper de la sécurité en rallye. Il reste pas mal de travail à faire à ce niveau. Nous ne sommes pas assez protégés contre les chocs latéraux. Il faudrait trois barres de protection comme en Nascar, un airbag et plus de protections sur le parcours. S'il y avait eu une botte de paille devant ce piquet, je n'en serais pas là..."




Olivier de Wilde

©️al La Dernière Heure 2008

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