Invité 205Kitca Posté(e) le 25 octobre 2006 https://www.dailymotion.com/visited/search/206/video/xgjss_veyron-en-action ptdr comme ils comprennet rien ces deux...en tous cas il se faut bien déposé Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
GTTURBO-42 0 Posté(e) le 25 octobre 2006 tinkiete pas si il apersonne qui repond il dorme tous.lol Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Joris-sportauto-32 0 Posté(e) le 25 octobre 2006 kitcar comme je ne peut lire la vidéo, tu pourrais expliquer en gros le truc.... merci Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité 205Kitca Posté(e) le 26 octobre 2006 en gros c'est 2 cramés...qui voyent une Veyron en alsace...et ils s"insultent et tous je comprends meme pas pourquoi mdr...et apres il se font déposé mais faut le voir c'est rigolo Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Joris-sportauto-32 0 Posté(e) le 26 octobre 2006 Merci.................... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
clio16girl 0 Posté(e) le 26 octobre 2006 c'est clair c'est trop marrant!!!! il ont voulu faire les beau en doublant!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Jean-Chri 0 Posté(e) le 26 octobre 2006 Ils se sont faits scotchés c magique! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
ziderdan 0 Posté(e) le 27 octobre 2006 quelle puissance ^^ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Joris-sportauto-32 0 Posté(e) le 27 octobre 2006 Apropos des mongoles, ils disent "Veyron"e" alors que c'est Veyron un ancien pilote Français....inculte pour des 67 (oui j'ai pu mâter la vidéo) retour sur la bête La Veyron 16.4 est un modèle automobile de Voiture de sport du constructeur automobile français Bugatti. Elle a été dévoilée, pour l'essentiel, lors du mondial de l'automobile de Paris en l'an 2000 et c'est à ce jour le seul modèle en production de la marque. Fabriquée en petite série, il n'est prévu de sortir que 12 à 15 voitures d'ici fin 2005 et de produire 300 voitures d'ici 6 ans dans l'usine de Molsheim en Alsace. La voiture est essentiellement composée de pièces Volkswagen, et est assemblée par une équipe de 30 personnes hautement qualifiées. Il n'est pas prévu que la fabrication de la Veyron 16.4 fasse de Bugatti une société rentable (dans le sens de faire des bénéfices), mais plutôt d'offrir à Volkswagen, son propriétaire, un fleuron de prestige. Histoire La Veyron a été maintes fois annoncée, maintes fois reportée. Mais cette voiture extrême avec un moteur monstrueux W16 de 1001 chevaux est enfin produite depuis mars 2006. Les 26 prototypes ont donc enfin permis la mise au point définitive d’un engin hors normes, alliant vitesse et confort. Les futurs clients très fortunés auront entre les mains une véritable fusée. D’autant que sur le terrain d’essais Volkswagen de Ehra-Lessien, la Bugatti Veyron 16.4 a dépassé, ce printemps, les 400 km/h, performance vérifiée par le Service de contrôle technique de l’Allemagne du Sud, le « TÜV Süddeutschland ». En octobre 2005, la Bugatti Veyron a même atteint les 415 km/h sur le grand Lac Salé situé dans l'Utah, ce qui en fait la voiture de série la plus rapide au monde. Une vitesse qui surclasse toutes les autres voitures sportives mises sur le marché. Ce n’est pas souvent qu’on la verra à cette vitesse-là, même sur circuit. Aérodynamique Avec de telles performances en vélocité, on comprend que l’aérodynamique de l’ensemble est un élément essentiel dans la conception de l’auto. D’une part, la carrosserie doit offrir une résistance aérodynamique aussi faible que possible pour permettre des reprises brillantes même aux vitesses supérieures à 200 km/h tout en autorisant une vitesse maximale de plus de 400 km/h. D’autre part, la portance négative mesurée aux essieux avant et arrière doit être répartie de manière à ce que la voiture colle littéralement à la route. Dernier point : tous les agrégats de haute performance regroupés sous la carrosserie en aluminium doivent être refroidis de manière optimale, quelle que soit la vitesse. Au cœur du dispositif de régulation se trouve un système hydraulique central géré par ordinateur. Il gère la garde au sol de la Bugatti Veyron à transmission intégrale en prenant en compte trois niveaux, Système complexe Pour augmenter la portance négative à l’avant, la partie inférieure de la carrosserie possède des clapets diffuseurs, disposés de chaque côté pouvant se fermer ou s’ouvrir grâce à deux cylindres hydrauliques. Les flux arrière sont gérés par des diffuseurs inférieurs ainsi que par un aileron. Lors de la conduite de tous les jours, la garde au sol sera de 125 mm, aux deux essieux. Dans cette utilisation, les clapets de diffusion resteront ouverts, l’aileron arrière et les spoilers accolés à la carrosserie. Sauf dans un seul cas : lorsque la température des gaz s’échappant du moteur central dépasse un seuil critique, l’aileron situé au-dessus s’ouvrira à un certain angle. Cette position, dite « cool down », s’enclenchera de manière automatique. Enfin, pour bien se rendre compte de l’importance de la haute technologie à bord de cette auto hors norme, le faisceau de câbles du réseau de bord a une longueur totale de 2,7 km. Ses câbles sont revêtus de fibre de verre ultrarésistante et extrêmement légère. Le tout ne pèse que cinq kilos et assure la communication entre 26 calculateurs. À vive allure À partir de 220 km/h, l’ensemble de la caisse de la Bugatti s’abaisse automatiquement pour adopter une garde au sol de 80 mm à l’avant, 95 mm à l’arrière. Les clapets de diffusion demeurent ouverts, l’aileron arrière comme les spoilers s’extraient automatiquement. Dans cette position, définie comme celle de « handling », la portance négative augmente, tant à l’avant qu’à l’arrière du véhicule. Lorsque la vitesse retombe au-dessous de 140 km/h, l’aileron réintègre sa position de repos. Libre au conducteur de piloter au-dessous de 220 km/h avec une portance négative accrue : une touche sur la console médiane lui permet de sélectionner en tout temps le mode « handling ». Ce n’est qu’en annulant cette fonction que le système retrouvera son mode de réglage automatique. À 375 km/h, la voiture subit une portance négative de 350 kg. La décision d’évoluer au-delà de cette vitesse nécessite une manipulation du pilote. Cela doit lui permettre, notamment, de prendre conscience des dangers qu’une telle conduite impliquera. S’il estime qu’il peut frôler les 400 km/h, il doit utiliser une seconde clef, placée dans le cylindre à gauche du siège du conducteur. Il s’autorisera alors l’accès à une vitesse maximale située au delà de 400 km/h. L’affichage mentionnera alors « Topspeed ». Pour des raisons de sécurité, il faudra suivre une liste de contrôles indispensables. Dans cette configuration à grande vitesse, la carrosserie affiche une garde au sol de 65 mm à l’avant, de 70 mm à l’arrière. Les clapets de diffusion demeurent résolument fermés et l’angle d’attaque de l’aileron arrière est réduit au minimum – la portance négative s’approche alors de zéro, afin de réduire au maximum la résistance aérodynamique de la Bugatti Veyron. Le cœur Le groupe motopropulseur est un Moteur avec cylindres en W à 16 cylindres. Ce 16 cylindres à 64 soupapes incliné à 90° dispose de quatre turbocompresseurs. On l’a déjà vu, la puissance est phénoménale (1001 chevaux à 6 000 tr/min), tout comme le couple de 1 250 Nm (13 fois celui d'une Twingo!) disponible dès 2 200 tr/min. Grâce à cela le 0 à 100 km/h est abattu en 2,5 secondes et le 0 à 300 km/h négocié en 16,7 secondes exactement (le temps mis par un Renault Scénic pour atteindre les 100 km/h!). La transmission fait appel à une boîte DSG (Bugatti appartient à Volkswagen) à sept rapports. Bugatti indique que la DSG en question a été améliorée pour offrir des passages de rapport aussi rapides que l’éclair. On peut aussi la commander par palettes derrière le volant. Cette boîte est disposée longitudinalement devant le moteur central. Celui-ci est implanté devant l’essieu arrière. Tout le groupe est conçu comme un ensemble mécanique à carter à sec pour abaisser le centre de gravité. Il faudra pourtant tenir compte de la fragilité de cette boîte de vitesses qui même en étant une des meilleures en production aujourd'hui, rencontre de sérieux problèmes.Lors des essais automobiles beaucoup de pilotes ont mal vu certains aspects de la veyron.les plus interessants sont ceux en rapport avec la boite de vitesses et l'embrayage,lors d'une accéleration élevée qui est poursuivie d'un freinage brusque, le moteur et l'embrayage automatique sont sérieusement endommagés, car le quadriturbo qui marche à 2.5bar à pleine puissance est difficile à stopper car l'embrayage automatique se déclanche tardivement ce qui comme effet, de causer des sérieux dégats au moteur... [source demandée] Pour info: la boîte de vitesses coûte à elle seule 100000 € Les freins La Bugatti Veyron 16.4 est équipée d’un système de freinage basé sur des disques en carbone/céramique de 400 mm de diamètre. Le freinage est assisté par les fonctions de décélération autorisées par l’aileron arrière. Par ce qu'on appelle « l’airbrake », il peut exercer une résistance aérodynamique élevée. La mise en action s’effectue avec la pédale des freins, dans la configuration « handling », à des vitesses entre 200 et 375 km/h à partir d’une certaine force de pression. En seulement 0,4 secondes, l’aileron arrière adopte alors un angle à 113° par rapport au sens de la marche, générant ainsi une résistance supplémentaire. Simultanément, la portance négative exercée sur la poupe s’accroît pour atteindre les 300 kg, en faveur de couples de freinage accrus sur les roues arrière. Cela se traduit par une réduction du transfert des charges vers l’avant du véhicule, conséquence d’une décélération rapide: de quoi stopper de 100 km/h à l’arrêt en 31,4 m. Et si l’on freine à fond, il suffit de dix secondes à la Bugatti Veyron 16.4 pour ralentir de 400 km/h à l’arrêt complet. Caractéristiques Prix : 2 750 000 dollars canadiens ou 1 200 000 € (avec 300 000 € d'acompte) Garantie : 15 ans ou 50 000 km (assistance 24h/24) Puissance : 1001 chevaux/ 736 kW à 6000 tours/mn Couple: 1250 Nm / 922 ft lbs à 2200 tours/mn Consommation : de 20 l/100 km en utilisation normale, jusqu'a 70 à 80 l/100 en conduite sur circuit (ce chiffre peut monter à 1 l/km, soit 100 l/100 km! Capacité du résevoir : 100 l Transmission : 4 roues motrices Boîte de vitesses : DSG 7 rapports Poids : 1,888 kilos (à vide) et 1,950 kilos (pleine) Vitesse maxi : 405 km/h 0-100 km/h : 2.5 s 0-200 km/h : 7.3 s 0-300 km/h : 16.7 s 0-407 km/h : 55 s (une piste de 5km en ligne droite suffit) Cylindrée : 8 litres (7 993 cm³) sur 16 cylindres. Deux V8 mis côte-à-côte : W16 à 72° Aspiration : 4 turbos Alimentation : 4 soupapes par cylindre Longueur : 4465 mm Largeur : 2000 mm Hauteur : 1205 mm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
GTTURBO-42 0 Posté(e) le 27 octobre 2006 sa doir fachement tenir l route sa en+ un 4rm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Joris-sportauto-32 0 Posté(e) le 29 octobre 2006 Ouais, bon elle fait 2 tonnes quand même, mais bon , ça doit accrocher sérieux Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Joris-sportauto-32 0 Posté(e) le 29 octobre 2006 Je remarque le 0 A 200 en 7,3s se qui est a peine supérieur qu'une F3000 de Côte ou d'un proto CN 3 litres ( Environ 5 a 6 secondes pour la 3000 et 7 pour le proto) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites