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rallyevence06

Nouvelle Clio RS

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Essai : Renault Clio III RS

Voila que notre toute derniére Clio RS est sortie ... Toujours plus puissante ... Plus attirante ...










Voilà seize années que la marque au losange développe des versions sportives de son best seller Clio. Les amateurs se souviendront avec émotion des 16S (137 ch) et Williams (150 ch). La deuxième génération passe à la vitesse supérieure, avec un châssis plus efficace et un moteur gonflé à 172 ch puis 182 ch dans sa dernière mouture.

Avec les innombrables succès de Renault dans la discipline reine qu'est la Formule 1, beaucoup de voix s'élevaient pour que la marque applique à ses modèles de série, son savoir-faire technologique.

Qu'ils se rassurent, ils ont été entendus. La Clio RS en est la première application concrète. Il suffit de découvrir la "bête" pour se rendre compte du gouffre qui sépare cette "III" des moutures précédentes.

Athlétique jusque dans ses moindres recoins, cette Renault "pas comme les autres" se démarque profondément. Boucliers, ailes, bas de caisse, jantes… que d'éléments modifiés visant à insuffler à la GTI française un style particulier.

Mais la pricipale caractéristique de cette Clio RS, vient de l'utilisation d'extracteurs situés à l'avant et surtout d'un diffuseur d'air —accessoire unique à ce niveau de gamme. Il a pour but "d'éviter le délestage de l'arrière du véhicule et de maintenir sa stabilité à haute vitesse". "La portance est divisée par trois et offre l'équivalent de 40 kg de lestage sur le train arrière sur autoroute et jusqu'à 70 kg sur circuit".

Renault a eu l'heureuse idée de nous convier à tester le comportement routier de sa Clio RS sur la piste portugaise de Braga, en compagnie d'un pilote émérite, alias Simon Jean-Joseph, Champion d'Europe des Rallyes 2004.

Dès les premiers tours de roue, on apprécie la grande douceur d'utilisation. Malgré son potentiel sportif, la Clio RS ne rechigne pas à être menée en agglomération. Seule la sonorité, trop présente, nous rappelle que nous sommes là pour pousser un peu l'auto. Le circuit n'a pas été dessiné pour nous "traîner" à 50 km/h que diantre ! Après deux tours destinés à évaluer le tracé, passons aux choses sérieuses : pleins gaz !

Alternant belles courbes, virages serrés et longue ligne droite, la piste nous donne l'occasion de tester notre monture dans tous les cas de figure. Et force est de constater que la "petite" Renault nous a bluffé.

Véritablement scotchée au bitume, elle autorise des vitesses de passage étonnantes, avec une facilité déconcertante. On est vraiment sur une autre planète. Critiquée sur les modèles "civilisés", la direction à assistance variable s'est montrée précise.

Simon Jean-Joseph s'en est donné à cœur joie en brutalisant la bombinette, qui réagissait toujours de manière très saine et prévenante. Outre sa tenue de route hors-pair, la Clio RS freine également avec beaucoup de mordant. Renault n'a pas lésiné sur les moyens et a fait confiance au système épouvé sur la Mégane RS. Au programme : disques ventilés de 312 mm à l'avant et étriers Brembo, qui rendent l'auto particulièrement sûre. Bravo !

Nous serons moins enthousiastes quant aux sensations mécaniques. Les valeurs affichées sur le papier par le 4 cylindres 2,0 litres étaient pourtant prometteuses : 200 ch à 7.250 tr/min et 215 Nm à 5.550 tr/min, soit des régimes biens supérieurs à l'ancienne (182 ch à 6.500 tr/min et 200 Nm à 5.250 tr/min).

Le problème vient de la prise d'embonpoint de la Clio III —130 kg au bas mot— et un moteur trop pointu. Concrètement, la RS perd du temps au démarrage et ce n'est qu'en "mettant le pied dedans" pour atteindre les hauts régimes, qu'un zeste de sportivité se fait ressentir.

Renault annonce de légers progrès par rapport à la Clio II, mais ils sont trop faibles. Deux dixièmes de gagnés sur le 0 à 100 km/h (6,9 s), mais surtout un sentiment de "pas assez" pour une voiture de cette trempe. Affichant les mêmes performances sur le papier, la Volkswagen Golf GTI nous a semblé plus en verve. Un si bon châssis aurait facilement pu encaisser 50 "bourrins" de plus, voire une mécanique turbocompressée. Dommage !

Loin de l'exubérance extérieure de la Clio RS, l'habitacle reste très sage dans sa présentation, mais qualitatif. Volant cuir perforé (avec repère rouge au point 0), pédalier en aluminium, compteurs spécifiques avec voyant de changement de rapport... Les sièges Renault Sport procurent un excellent maintien en toutes circonstances et ménagent vos lombaires sur de longs trajets. A noter que de véritables sièges baquets Recaro sont disponibles sur commande.

Comme nous l'avions évoqué à l'issue de notre précédent essai Clio III, l'habitabilité marque de très sérieux progrès, même en version 3 portes. Le volume du coffre progresse de 33 l à 288 litres. La RS est une voiture très confortable et aussi bien équipée.

Rien ou presque ne manque à la dotation d'agrément (climatisation, autoradio CD, jantes 17", régulateur-limiteur de vitesse…) et surtout, l'arsenal sécuritaire est impressionnant. Avec ses huit coussins de sécurité, son contrôle dynamique de stabilité et ses ceintures équipées de prétensionneurs pyrotechniques, la Renault Clio III a vraiment tout d'une grande.

La Renault Clio III RS marquera les esprits, comme le fît à son époque la version Williams. A cela près qu'elle n'est plus seulement une déclinaison sportive d'une berline de grande diffusion —mais un modèle profondément remanié.

Au terme de notre essai, on ne peut toutefois s'empêcher d'exprimer un certain goût d'inachevé. La RS offre des qualités dynamiques impressionnantes, sans doute ce qui se fait de mieux dans la catégorie des sportives à moins de 30.000 €.

Contre un chèque de 23.000 €, il est ainsi possible de se faire plaisir en ville, à la campagne et sans la moindre arrière-pensée sur circuit. Reste que les performances restent un peu trop timides… Peut-être pour la phase 2 ?


automobile.nouvelobs.com

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Elle change de visage extérieurement mais elle est toujours aussi jolie et attirante surtout en bleu.

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Elle est superbe , en revanche 200 ch pour 150 kg de plus par rapport a l'ancienne , ça cloche?????

Un moteur comme ça dans l'ancienne caisse , cela pèterait du boudin sérieux........


Mais si un jour je peux me l'offrir lol! , je l'achete, car je la trouve belle et je pense et efficace, quoique trop aseptisé (comme toute les voitures actuelles)

Bon .. demain je passe a la banque ( merde..le pere Noël est mort)

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Moi c'est en ROUGE je la trouve mais alors magnifique ... Bon moi j'ai plus qu'a attendre de prendre du bonus ... Donc d'ici 15 ans je me la fait pété ...

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Joris a écrit:
Moi je trouve celle ci plus jolie mais elle est beaucoup trop lourde.......


Moi je suis passionné ... Elle est carrement trop belle

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non elle a pas la meme petite bouille toute craquante ... girl la RS est différente et plus chanmé que celle d' origine regarde bien l'avant est l'arriere de la cette RS est plus large ...

PS R11 avit d'un admin ...

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