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alex98

dakar 2009

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alors j'ouvre se topic dakar 2009 car je ne sais pas ou le mettre bon ici news info classement

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Goûtant à quelques jours de repos en famille pour fêter Noël, le pilote Mitsubishi reste néanmoins fixé sur son objectif sud-américain de janvier. Comme ses coéquipiers, Luc Alphand fera le Dakar 2009 pour le gagner. Une course contre Volkswagen et BMW mais aussi contre les éléments.
Q : Alors, ce Dakar Sud Américain, à part que tout le monde va parler espagnol… C’est quoi la plus grosse nouveauté pour toi ?
R : "C’est vrai que je ne parle pas espagnol. On parle le Catalan dans l’équipe. Donc on a un équipage qui pourra nous faire un peu de traduction, ça ne sera pas de trop... J’ai eu la chance de faire deux fois le rallye de Las Pampas."
Q : Tu connais un petit peu alors ?
R : "Bah je connais… il y a au moins cinq étapes qu’on a à peu près parcouru mais tu ne peux pas dire que ce sont les mêmes étapes… Ca va être fabuleux ! Je suis super content d’aller en Argentine parce que c’est un pays qui adore l’automobile, un pays de passionnés avec le foot et je pense qu’il y a des paysages qui sont tellement variés et magnifiques que ça va être bluffant, pour les gens qui vont regarder, pour les concurrents, pour tout le monde. Les deux fois où on a fait Las Pampas, c’est magique. Et physiquement, ça a été plus difficile que certains Dakar. Parce que les gens ne s’y attendent pas, ils se disent "tiens on va en Argentine, ça va être un Dakar plus facile". Il y a plus de kilomètres sur des pistes avec des virages droite/gauche alors qu’en Afrique, il y a des étapes où c’est tout en ligne. Là, il y a toutes étapes où il y a beaucoup de virages donc physiquement c’est plus dur. Ca va être aussi plus dur pour les voitures. Les étapes de sable risquent d’être aussi un peu délicates mais c’est sûr que c’est un peu moins dur que les courses en Mauritanie. Mais, sur l’ensemble du Dakar, ça va être difficile, physiquement ça va être un gros morceau."
R : Qu’est ce que tu redoutes le plus ? Ta plus grosse difficulté ? La chaleur ?
R : "La chaleur et les kilomètres sur l’aspect physique. Pourtant on s’entraine. Moi, je me suis beaucoup entrainé. J’ai fait presque 5000 bornes à vélo. On a bossé physiquement mais avec la chaleur, ça va être dur. Après la casse, la mécanique, ça fait partie de la course… il y a des étapes qui sont dures mais bon, on verra..."
Q : Est-ce que tu redoutes un rythme de course rapide au début où il y a des risques de s’enflammer ?
R : "Oui, ça va partir vite et il faudra être dans le bon wagon mais ça a toujours été un peu ma stratégie. Je ne fais pas partie de ceux qui patientent en début de rallye. Il y a deux ans, j’avais gagné la 2e étape."
Q : Existe-t-il des consignes de prudence chez Mitsu ?
R : "Non ! La seule consigne qu’on ait, c’est de gagner le Dakar. Du coup, on ne va pas nous dire de partir doucement et de prendre du retard sur la concurrence. Il ne faut pas se dire qu’ils ne vont pas être fiables, qu’ils vont se planter. Volkswagen a beaucoup travaillé. Ils ont déjà 6 ou 7 Dakar derrière eux. Par rapport à nous, ils ont le double de voitures d’assistance, le double de budget aussi. Ils n’ont pas fait les choses à moitié donc il ne faut pas les sous-estimer ni leur laisser trop de mou."
Q : Mitsubishi reste la référence du Dakar et sa série de 7 victoires est en cours…
R : "On l’expérience, c’est sûr ! Technologiquement, heureusement qu’on est passé au diesel car on commençait à être un peu à la rue avec le moteur essence. Je pense qu’on s’est remis dans le coup au niveau performance. Après, l’équipe a une expérience unique avec 27 Dakar au compteur. Et ça se voit partout. Les équipages sont homogènes (4 ans sans bouger). Tout le monde se connaît et travaille ensemble. L’ambiance est très bonne même si on veut tous être devant. De toute façon, on sait que la roue tourne. T’es vite devant et vite derrière… Sur ce Dakar, il y a double motivation. On veut être les premiers à gagner avec un diesel et les premiers à gagner ce Dakar sud-américain."

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A un mois du départ de Buenos Aires, le Dakar a été officiellement présenté dans la capitale argentine. Le compte à rebours est lancé...

"Pendant des années, le rallye Dakar a écrit sa propre histoire. L’Argentine s’ajoute maintenant comme acteur fondamental, écrivant un nouveau chapitre de cette histoire unique", a déclaré le secrétaire d’Etat argentin au Tourisme, Enrique Meyer.

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Les étapes du Dakar 2009


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Liste des étapes Date Distance
01 Buenos Aires - Sta Rosa de la Pampa Samedi 3 janvier 733 km



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02 Sta Rosa de la Pampa - Puerto Madryn Dimanche 4 janvier 837 km


03 Puerto Madryn - Jacobacci Lundi 5 janvier 694 km

04 Jacobacci - Neuquen Mardi 6 janvier 488 km

05 Neuquen - San Rafaël Mercredi 7 janvier 763 km

06 San Rafaël - Mendoza Jeudi 8 janvier 625 km




07 Mendoza - Valparaiso Vendredi 9 janvier 816 km


- Journée de repos Samedi 10 janvier


08 Valparaiso - La Serena Dimanche 11 janvier 625 km


09 La Serena - Copiapo Lundi 12 janvier 537 km


10 Copiapo - Copiapo Mardi 13 janvier 686 km


11 Copiapo - Fiambala Mercredi 14 janvier 680 km

12 Fiambala - La Rioja Jeudi 15 janvier 518 km


13 La Rioja - Cordoba Vendredi 16 janvier 753 km


14 Cordoba - Buenos Aires Samedi 17 janvier 792 km


15 Buenos Aires - Buenos Aires Dimanche 18 janvier 0 km

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Etape 02 : Dimanche 4 janvier


Sta Rosa de la Pampa - Puerto Madryn




Présentation de l'étape
La plus longue étape du rallye ne sera pas nécessairement la plus difficile. Encore faut-il l'aborder avec vigilance, et surtout équipé de la panoplie complète du rallye man. Après une première partie de spéciale plutôt rapide, un avant goût de sable sera proposé. Sur les hors-pistes de cette étape, les copilotes auront tout intérêt à se montrer précis sur leurs caps. Les plus distraits commenceront déjà à « faire des ronds ».

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lorsque Nimes était ville étape, ( je sais plus quelle année), 2003 ou 2004, j'avais pu rentrer dans les arrènes, (là ou les équipages se restauraient) et j'avais pu discuter 2 minutes avec des pilotes motos comme Déprès, Sainct et meme échanger quelques mots en français avec Meoni, (je crois que c'était l'année ou il s'est tué...), et une chose qui m'avait vachement surpris c'était l'ambiance qui régnait entre eux. Ils blaguaient, ils rigolaient, le Dakar commencait a peine et eux ils étaient calmes, détendus, comme s'ils allaient faire unre balade dans le désert... J'admire les pilotes qui tentent des aventures comme celle du Dakar, surtout en moto ou la moindre chute peut te couter trés trés cher...

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voici l'etape du jour Etape 03 : Lundi 5 janvier


Puerto Madryn - Jacobacci




Présentation de l'étape
Pour un troisième jour de course, le programme de la spéciale est conséquent, avec plus de 600 km. C'est le signe que les concurrents seront dans le vif du sujet, bien que les grosses difficultés soient encore à venir. L'entrée en Patagonie, qui s'accompagne d'un changement de terrain significatif, nécessitera de nouvelles aptitudes de pilotage. Le paysage est nettement plus vallonné : les adeptes des longues courbes y trouveront leur compte. Ici, on se repère aux lacs qui bordent la piste, environ une dizaine dans la journée, et aux nombreux flamants roses, qui seront les guides privilégiés de l'étape

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mes deux preferés sont sainz et al-atiyah normal des pilote de rallye j'espere que sa va le faire pour eux !!!

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Carlos Sainz (Esp – 301 – Volkswagen) - 301


Le pilote espagnol termine second de l’étape à 2’17’’ du vainqueur Nasser Al Attiyah à l’issue d’une étape au rythme enlevé et poussiéreuse.
« Au bout de 110 kilomètres, déjà, je suis revenu sur les motos. Il était difficile de doubler et de se fier au seul système Sentinel pour dépasser, à cause de la poussière. J’ai vu de la poussière pendant 250 kilomètres. Il y en avait tellement que je n’ai pas vu la Pampa… »


Nasser Al Attiyah (Qat - 302 - BMW) - 302
Le pilote Qatari remporte la première spéciale du Dakar 2009. Sans forcer son talent, il a déjà pris un léger avantage sur Carlos Sainz, et croit plus que jamais en ses chances de victoire.
Nous sommes venus ici pour gagner, alors je suis bien sûr comblé de commencer par une victoire d’étape. C’était un parcours plutôt facile et très rapide en même temps. Mais je n’ai pas eu le sentiment de forcer pendant la course. J’ai voulu contrôler ma vitesse, particulièrement dans les parties où nous avons dépassé beaucoup de motos, il y avait beaucoup de poussière. Cela me satisfait parce que je vois que je termine avec 2’17’’ d’avance sur Carlos Sainz. C’est la preuve que cette voiture, totalement différente de celle de l’année dernière, avec un nouveau châssis, est très performante. Malheureusement, il ya des bonnes nouvelles et des mauvaises dans l’équipe, puisque Guerlain Chicherit s’est retourné. J’espère qu’il pourra repartir, ce ne serait pas tout à fait pareil sans lui. Mais c’est le rallye raid.


Orlando Terranova (Arg – 315 – BMW) - 315
Orlando Terranova termine en septième position à 5’09’’ du qatari Nasser Al Attiyah. Il se classe premier pilote sud-américain de la première spéciale.
« Au kilomètre 100, je suis revenu sur Christian Lavieille, mais il était quasiment impossible de le dépasser. Au kilomètre 200 c’est la poussière qui était omniprésente. On pouvait tout perdre et il n’y avait rien à gagner dans cette situation. Après les nuages de poussière, notre capot se soulevait et nous avons décidé de rentrer plus tranquillement à Santa Rosa. Il y avait pas mal de voitures arrêtées sur le bord. Des véhicules qui étaient partis avant nous ce matin. Finalement je suis très content de cette première étape. »


Gerard De Rooy (Hol – 505 – GINAF) - 505
C’était une étape très stressante, car il y avait beaucoup de poussière, et les dépassements étaient très délicats. J’aurais préféré commencer par une étape plus courte.

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Quelle belle course! Qui en est à l'origine? Pourquoi est-ce une aventure? Comment participer en polluant moins?
CUG' & WESTROU te donnent les réponses!






D'autres minutes culturelles sur www.laminuteculturelle.com

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Le parcours du jour



Voir la légende

Profil d’altitude





Profil de la spéciale

Carte





©️ Amaury Sport Organisation.
Tous droits réservés.

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301 - C’est parti pour les autos...


Vainqueur de la 8e spéciale, hier, et solide leader du général, l’Espagnol Carlos Sainz (VW) a donné le coup d’envoi de la spéciale du jour, à 08h56 comme prévu, et a été suivi 2’ plus tard par son coéquipier allemand, Dieter Depping (VW).

08:29 - Moto
2 - Coma, leader provisoire au km 57


Alors que les 9 premières motos sont passées au km 57 de la spéciale du jour, le leader du général, l’Espagnol Marc Coma (KTM), pointait en tête, 40" devant le Chilien Lopez et 2’16 devant le Français David Frétigné (Yamaha)... A noter cependant que les Iritracks des Français Cyril Despres (KTM), vainqueur de la spéciale d’hier, et David Casteu (KTM) ne donnent pas leurs positions respectives pour le moment.

07:15 - Moto
26 - C’est fini pour Street...


Vainqueur cette année de sa première spéciale sur un Dakar lors de la 5e étape, l’amateur américain Jonah Street (KTM) a préféré, par prudence, ne pas prendre le départ de la 9e étape, ce matin, en raison d’un poignet tros douloureux.

07:10
Modification de parcours



En raison d’un sable rendu très mou, et donc très peu porteur, par la chaleur en fin de parcours du jour, et qui risque fort de se transformer en piège pour des concurrents déjà fatigués par la longue étape prévue aujourd’hui, les organisateurs ont décidé de raccourcir cette 9e spéciale de 20km. La spéciale fera donc désormais 430km...

07:05 - Moto
OUVERTURE DU LIVE



Bonjour à tous. A l’issue de la 8e étape, hier, 329 équipages – 151 motos et quads, 116 autos et 62 camions – ont été classés... Le nombre total des abandons officiels a lui été porté à 171, après que 16 équipages n’aient pas pris le départ de la 8e étape à l’issue de la journée de repos... Côté course, le motard français Cyril Despres (KTM), vainqueur de la 8e étape hier, a donné le coup d’envoi de la spéciale du jour à 7h00 comme prévu, suivi 2’ plus tard du leader du général, l’Espagnol Marc Coma (KTM).

06:30
Etape 9 : La Serena – Coppiapo



536,42 km au menu de la 9e étape, dont 448,9 chronométrés, pour ce qui s’annonce comme le début des choses sérieuses, avec du roulant, de la montagne, mais surtout de beaux cordons de dunes à passer et quelques secteurs hors-pistes à négocier. L’occasion pour les plus expérimentés de faire parler leur science de la navigation, mais aussi et peut-être surtout, leur science de la gestion du matériel, qui pourra être capitale avant d’enchainer deux étapes extrêmement difficiles. Dans ces condtions piégeuses, les Volkswagen devraient se livrer à une course d’équipe, alors que chez les motos, le leader espagnol Marc Coma (KTM) ne devrait prendre aucun risque et laisser ses rivaux faire la trace devant lui.

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Etape 10 : Mardi 13 janvier


Copiapo - Copiapo




Présentation de l'étape
La spéciale du jour est tout simplement la plus longue et la plus difficile du rallye. Comme la veille, c'est en fin de journée que les concurrents aborderont une série de dunes d'une centaine de kilomètres. Et dans ce domaine, même les meilleurs spécialistes éprouveront un sentiment de nouveauté. Les dunes chiliennes sont de véritables montagnes de sable dont il faut apprendre à escalader et dévaler les flancs, sur plus d'un kilomètre. Autre inconnue : avec les grandes chaleurs qui séviront sur la région, personne ne connaît avec précision le comportement du sable. Quoi qu'il en soit, garder sa lucidité jusqu'au bout sera impératif

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