Gnico11 1 Posté(e) le 31 janvier 2012 voilà ce qu on trouve dans les cimetières de l'armée de l'ex URSS...le Lun, développé au milieu des années 80, se situe à mi-chemin entre la vedette rapide lance-missiles et le Super Jumbo à effet de surfaceil fait parti de la famille des Ekranoplan,pour résumer des "sortes" d'avions ,fait pour voler au dessus de la mer mais aussi flotteraffiche une masse maximale opérationnelle de 400 tonnes et, une vitesse de croisière de 550 km/hconstitué de deux fois quatre turboréacteurs de 10 tonnes de poussée unitaire qui assument simultanément la propulsion des phases décollage et croisière.L'appareil, équipé de 3 batteries doubles de missile mer-mer (de type Moskit) et de 3 radars de surveillance et d'acquisition d'objectifs, mesure 74 m de long et 44 m d'envergure. Lui aussi présente la particularité de pouvoir voler à une altitude relativement élevée (pour ce type de formule) puisque, s'il faut en croire son constructeur, le Lun peut " croiser " à 500 m d'altitude....] Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bart1111 0 Posté(e) le 31 janvier 2012 impressionnant le bestiau, je connaissais pas ça devait être délicat à piloter.chapeau aux pilotes Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
vichy16s 0 Posté(e) le 31 janvier 2012 oh con l'engin c'est impressionnant ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
sylvain83 0 Posté(e) le 1 février 2012 Avec ca y'a pas interet à se trouver sur son chemin en train de pécher ! Il te découpe à 500 km/h !!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
marc 083 0 Posté(e) le 1 février 2012 la vache quel engin vraiment impressionnant , mais etait ce vraiment utile ?car a mon avis rayon d action extrement limité, va savoir Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Gnico11 1 Posté(e) le 13 mai 2013 -le 1er "monstre de la caspienne",Le KM550 tonnes 600 km/h à 3m de l'eau 10 turboréacteurs -L Orlyonok, conçu entre 1968 et 1970, En service dans la marine russe, pour assurer des missions de transport logistique et tactique d'assaut, l'Orlyonok mesure 58m de long, pour une envergure de 31m et pèse 140 tonnes au décollage. Il évolue à la vitesse de 400 km/h en croisière rapide (375 km/h en vitesse économique) et possède une autonomie de 1500 km en étant capable de transporter 150 hommes et leur matériel (ou 30 personnes et 40 tonnes de charge utile). Au démarrage, deux turbofans de 10,5 tonnes de poussée unitaire assurent la " lévitation " de l'appareil, la croisière étant confiée à un turbopropulseur de 10000 kW de poussée unitaire.La propulsion est tout d'abord assurée par deux hélices contrarotatives, montées en extrémité supérieure de la dérive, les moteurs de démarrage (des turbines NK étant logés à l'intérieur de la partie avant du fuselage légèrement en arrière du poste de pilotage. L'Orlyonok est, en 1979, le premier Ekranoplane opérationnel dans le monde.L'un des aspects intéressant de l'Orlyonok réside dans le domaine du vol : il peut être utilisé à basse altitude sur une mer avec des creux de 3 m mais se trouve également en mesure d'atteindre un plafond de 3 000 m, particularité qui élargit sérieusement les possibilités d'utilisation de l'appareil.-le LUN(vu précédemment)Plutôt inspiré du " monstre de la Caspienne " que de l'Orlyonok, le Lun, développé au milieu des années 80, se situe à mi-chemin entre la vedette rapide lance-missiles et le Super Jumbo à effet de surface. Quelques caractéristiques le font apparaître comme l'appareil pouvant- dans la famille Ekranoplane - avoir le plus de chance de devenir un programme d'avenir.L'Ekranoplane de combat, à l'origine du Lun qui entre en 1990 dans la Marine, affiche une masse maximale opérationnelle de 400 tonnes et, une vitesse de croisière de 550 km/h. Contrairement à l'Orlyonok et au KM, Le Lun n'a pas de turbomoteurs de démarrage séparés.Les motorisations de démarrage et de croisière sont réunies en un seul et même ensemble, constitué de deux fois quatre turboréacteurs de 10 tonnes de poussée unitaire qui assument simultanément la propulsion des phases décollage et croisière.L'appareil, équipé de 3 batteries doubles de missile mer-mer (de type Moskit) et de 3 radars de surveillance et d'acquisition d'objectifs, mesure 74 m de long et 44 m d'envergure. Lui aussi présente la particularité de pouvoir voler à une altitude relativement élevée (pour ce type de formule) puisque, s'il faut en croire son constructeur, le Lun peut " croiser " à 500 m d'altitude.Sa charge utile est annoncée pour 40 tonnes seulement mais sa capacité d'emport en hommes est plus intéressante dans la perspective d'une application de transport de passagers, puisqu'elle est de l'ordre de 400 places sur 3 000 km. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites