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Mario03

Les nouvelles technologies en compétition

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  • La FIA attend beaucoup de la Formule E




La Formule E, pour électrique, va faire son arrive dans la paysage du sport automobile en 2014. Cette catégorie monoplace aux performances élevées se veut une première mondiale pour mettre en valeur la sportivité électrique avec le soutien de la FIA.

Nous sommes heureux d'avoir trouvé un accord avec Formula E Holdings, car ils amènent avec eux une très solide expérience en sport automobile, a déclaré le Président de la Fédération, Jean Todt.
Cette nouvelle compétition au cœur des principales villes du monde a pour but d'attirer le maximum d'audience et de changer le rapport de certains spectateurs au sport automobile.

« Cette série spectaculaire offrira du divertissement et de nouvelles opportunités de partager les valeurs de la FIA et ses objectifs en termes d'énergie propre, de mobilité et de développement durable, avec une audience plus vaste et plus jeune », a jugé Todt.

Le championnat a pour ambition de devenir le refuge de la recherche et développement autour des voitures électriques, se développant à la vitesse grand V.

Posté le 29 - 08 - 2012 par Guillaume Navarro

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La motorisation électrique fait peur

Le projet semblait en phase avec les objectifs de la FIA de rendre le
sport automobile plus vert. Mais pour des questions de sécurité, la F1
ne sera pas électrique en 2014.

Le projet était d'imposer aux équipes de faire rouler les voitures à
l'électricité dans les puits. La réglementation technique de 2014
consacrait l'article 5.19 à cette innovation.

« La voiture doit être en mode électrique (sans utilisation de l'essence
pour faire fonctionner le moteur) à tout moment dans les puits »,
est-il écrit.

Les trois motoristes Mercedes-Benz, Ferrari et Renault ont écrit à la
FIA pour faire valoir que ce projet, bien qu'attirant, représentait des
dangers, notamment pour la sécurité du personnel dans les puits, car les
voitures seraient moins bruyantes. De plus, le développement de ce
système coûterait cher.

À l'heure où la FIA tente de faire comprendre aux équipes qu'elles
doivent dépenser moins, à l'heure où Bernie Ecclestone tente de leur
imposer un plafond budgétaire de 250 millions de dollars, l'intervention
des équipes a fait mouche.

Le président de la FIA Jean Todt a simplement dit au magazine Autosport que le projet était reporté « d'au moins trois ans ».

Si le projet se concrétise, l'idée retenue est dérivée du SREC, c'est le
SRE (système de récupération d'énergie) qui transformera l'énergie du
souffle des gaz d'échappement en énergie électrique.

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Une société américaine s'est lancée dans la production de carburant à base de soleil et de CO2, en partenariat avec Audi. Prometteur.

Produire du carburant liquide avec deux ingrédients très accessibles, le soleil et le CO2, voilà l'idée de la société américaine Joule Unlimited, qui s'est associée au constructeur Audi pour ce projet. Le partenariat pour produire ce carburant prometteur, le "Sunflow", a été lancé officiellement le 17 septembre dernier. En clair, cette entreprise de biotechnologie a développé une technique pour produire du carburant à partir d'une bactérie génétiquement modifiée. Celle-ci, exposée à la lumière, en présence de CO2, fabrique du carburant liquide.

Pour industrialiser cette production, Joule Unlimited a mis au point un système : l'installation de tubes de plastique transparents dans lesquels sont placées les bactéries. Celles-ci évoluent dans de l'eau non-potable, à laquelle a été ajouté du CO2 provenant d'une usine voisine. Pour l'heure, ce procédé amène à la fabrication d'éthanol ou de gazole. Et cela sans user de l'eau potable, sans utiliser des engrais ou des pesticides, ni de la surface agricole. Une solution qui pourrait donc apparaître plus convaincante que les biocarburants actuels, qui ne peuvent être produits dans des zones désertiques.
Actuellement et après une première expérimentation au Texas, une unité de fabrication est en train d'être construite aux Etats-Unis. Elle devrait être opérationnelle d'ici fin 2012.

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2014, année « électrique »
L’année 2014 marquera sans doute le début d’une ère « électrique » en sport automobile avec le retour de Nissan aux 24 Heures du Mans et le lancement du championnat Formula E reconnu par la FIA.

« L’histoire est un perpétuel recommencement », avait écrit l’historien grec Thucydide après la chute d’Amphipolis. En 1899, c’est une voiture à moteurs électriques qui a franchi pour la première fois la barre des 100 km/h. La « Jamais Contente » était chaussée de pneumatiques Michelin et mue par deux moteurs électriques de 50kW (68 ch).

Un siècle plus tard, la motorisation électrique effectue son grand retour dans le monde de l’automobile et des sports mécaniques. Après le système hybride thermique-électrique (Porsche GT-R Hybrid, Toyota TS030 Hybrid, Audi e-tron quattro), et hybride hydrogène-électrique (Green GT H2), le « tout électrique » est visiblement la tendance pour la saison 2014.

Nissan vient d’annoncer son retour aux 24 Heures du Mans en 2014 avec un prototype 100% électrique qui occupera le « 56e stand » réservé aux nouvelles technologies. Ce projet pourrait déboucher sur un programme LMP1 en Endurance. Le règlement ACO 2014 pour la catégorie LMP1 laisse en effet la possibilité d’intégrer de nouvelles technologies en compétition à condition que celles-ci soient mesurables et puissent être introduites tout en garantissant l’équité technique entre les concurrents.

Parallèlement, le projet du nouveau championnat Formula E avance à grands pas. Cette série, d’ores et déjà reconnue par la FIA, réunira une vingtaine de monoplaces 100% électriques sur dix circuits tracés au cœur de grandes villes (Rio de Janeiro, Rome…). La conception des groupes motopropulseurs a été confiée à la société Spark Racing Technology (filiale de McLaren) dirigée par Frédéric Vasseur. Les châssis seront développés par Dallara. Le pilote brésilien Luca di Grassi assurera les essais et le développement des monoplaces.

Le mois dernier, Drayson Racing fut la première équipe à officialiser son engagement en Formula E. Depuis 2007, le team dirigé par Lord Drayson est très impliqué en « Green Racing » avec des GT (Aston Martin) et LMP1 (Lola-Judd) roulant au bio-carburant engagés en ALMS et aux 24 Heures du Mans. Outre le projet Formula E, Drayson Racing a également développé un prototype LMP1 100% électrique à partir d’un châssis Lola B10 et d’un groupe motopropulseur YASA (640 kW = 850 ch). Ce prototype B12/69EV a été dévoilé en janvier 2012 à l’Autosport International et a effectué ses premiers tours de roue officiels lors du Festival de Goodwood en juillet dernier.

Si le règlement ACO l’autorise, Drayson Racing pourrait donc rejoindre Nissan en LMP1 « électrique » sur la grille de départ des 24 Heures du Mans 2015…


http://fr.lemanslive.com/Actualites/2014-annee-electrique

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