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AUTOBIANCHI A 111

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Voiture méconnue, construite seulement à 60 000 exemplaires et pourtant
elle a été engagée au "Tour de France Auto" (1971 ou 1972 ? ?) par CHARDONNET.


L'AUTOBIANCHI A111 : la Fiat inconnue...Qui se rappelle de quoi cette illustre inconnue avait l'air ? Qui se rappelle en avoir croisée une ? Voire, qui se rappelle même qu'elle exista ? Tout cela, la faute sans doute, à une image très floue voire inexistante, et le manque de notoriété de cette ancienne filiale de Fiat, qui était dédiée à l'élaboration de versions luxuo-sportives des productions de la maison-mère turinoise, ou encore à tester des solutions d'avant-garde pour l'Empire des Agnelli, telles la traction avant, comme sur la Primula. L'A111, classique par sa carrosserie, recèle elle aussi, tout le luxe souhaitable, et une suspension extrêmement efficace. Une excellente auto, comme le constarera l'Auto-Journal, mais la faute à un manque grave de notoriété, aujourd'hui totalement disparue de nos routes et de nos mémoires. Afin de la raviver un peu, je vous propose aujourd'hui cet essai complet, paru le 29 janvier 1970 dans l'Auto-Journal.

*****

Pour l'automobiliste français moyen, le nom d'Autobianchi n'est pas tellement connu et même le modèle le moins coûteux de la marque, la petite Bianchina, dite "Lutèce" -pourquoi diable, l'avoir francisée ?- n'est une réalité que pour les ressortissants des grandes villes, avides de micro-voitures. En fait, Autobianchi appartient à Fiat et il est difficile de définir la place occupée par cette division, dans les pensées de l'état-major de M. Agnelli. s'agit-il d'une pseudo-Fiat ou d'une super-Fiat ? Il semblerait, à la vérité, que Autobianchi soit chargé en quelque sorte d'explorer commercialement des solutions trop nouvelles, trop sophistiquées ou trop coûteuses pour être adoptées dans l'immédiat par Fiat. Parallèlement il est possible également que les offensives futures d'Autobianchi soient dirigées contre certains concurrents de Fiat, et tout particulièrement dans le domaine de la voiture relativement luxueuse et sportive.



IMPRESSIONNANTE SOUS LA PLUIE...


Lorsque j'ai pris en main la A111 pour ce banc d'essai, je ne la connaissais absolument pas. Je me souvenais simplement de la Primula et je savais également qu'elle était équipée du moteur de la Fiat 124S. En fait une chose m'a frappée immédiatement : sa compacité. Je ne suis pas un maniaque du mètre-ruban mais j'ai quand même voulu la confronter à un certain nombre d'autres voitures. C'est ainsi que je me suis rendu compte que les 4,02 mètres de la A111 pouvaient se comparer avantageusement aux 4,14m d'une 304, aux 4,20m d'une R10 et aux 4,30m d'une R12. La voiture italienne a également la même largeur que la R12 et son rapport encombrement-habitabilité est extrêmement intéressant pour tous ceux qui envisagent un usage mixte ville-route. La largeur utilisable est importante, le confort offert par les places avant est très satisfaisant dans les trois dimensions tandis qu'à l'arrière, le volume disponible pour les jambes se maitient dans les limites de l'acceptabe si le pilote ne recule pas au maximum son siège; enfin, son rayon de braquage, très réduit pour une travtion avant, permet de manoeuvrer et de se ranger facilement.
La carrosserie offre de surcroît d'autres avantages dont, en particulier, une très bonne vsibilité sous tous les angles, grace au capot court et à la ceinture de caisse basse. Le dessin ainsi que la réalisation des sièges conviennent à la conduite à grande vitesse, cela sans oublier le soin qui paraît avoir présidé à l'implantation du volant. Quant à la climatisation, elle est plutôt facile à régler et extrêmement efficace, aussi bien par temps chaud qu'en hiver. A souligner tout particulièrement la rapidité avec laquelle agit le dispositif de dégivrage de la lunette arrière.

CARACTERISTIQUES GENERALES.

Techniquement, la A111 possède un certain nombre de perfectionnements qui méritent d'être mentionnés. Le moteur qui entraîne les roues avant est placé en travers du capot, incliné de 18° vers l'avant. Il est légèrement décalé sur la droit et supporte sur le côté gauche un double-carter en alliage léger contenant l'embrayage, la boîte de vitesses et le différentiel. Le bloc est donc placé en léger porte-à-faux à l'avant par rapport à l'axe des roues et la suspension est assurée le plus simplement du monde par un ressort à lames transversal supérieur, complété pour chaque roue par un triangle inférieur. Sous le ressort on a disposé la direction à crémaillère dont la colonne comprend trois tronçons particuliers.
Issu directement de la Fiat 124S, le moteur est un quatre cylindres en ligne supercarré 80x71,5, de 1438cc de cylindrée, avec un rapport volumétrique de 9,3. Le vilebrequin est monté sur cinq paliers et l'alimentation est assurée par un carburateur inversé double corps de 32, avec starter manuel. Le système de refroidissement à eau est à circuit étanche avec ventilateur quadripale dont le fonctionnement est commandé par un thermostat. Parmi les autres perfectionnements, signalons la présence d'un amortisseur sur la direction d'un alternateur et d'un ensemble de freinage à quatre freins à disque avec circuits avant et arrière indépendants, un régulateur de freinage agissant sur les freins arrière en fonction de la charge et de la puissance de décélération demandée. Le frein à main agit sur les roues arrière.

PERFORMANCES.

Les performances sont satisfaisantes à tous points de vue. Le moteur fait preuve d'une bonne souplesse en acceptant normalement de reprendre à 1700 tr/mn en quatrième tandis que la nervosité s'avère convaincante dès que l'on joue de la boîte de vitesses. Les 70ch DIN obtenus à 5500 tr/mn entraînent la voiture à 152,3 km/h sur l'anneau de vitesse de Montlhéry -avec une température très basse et un moteur qui refusait de chauffer malgré deux cartons !- et les 1000 m DA sont couverts en 35s 3/5, avec passage aux 400m en 18s 3/5.Les 1000m avec départ à 40 km/h en quatrièeme, sont couvers en 37s 4/5.
Sur route, la rapîdité de mise en vitesse est surprenante et permet l'accomplissement de moyennes qui se révèlent élevées par rapport aux performances chiffrées. On se trouve très vite à 160 km/h au compteur -avec une aiguille très proche de la réalité- et un compte-tours dont la zone rouge se trouve violée en permanence en quatrième. J'avoue d'ailleurs ne pas très bien comprendre pour quelle raison le constructeur place la zone rouge du compte-tours à partir de 6000 tr/mn alors que la vitesse maximale fait ressortir un régime de 6200 tr/mn. Devrait-on croire à une précaution machiavélique qui consisteraità une vitesse de pointe donnée mais en déconseillant simultanément à l'utilisateur d'y parvenir ? Quoi qu'il en soit le moteur paraît accepter 6500 tr/mn sans sourciller et si l'on parvient à ce régime sur les intermédiaires, on atteint grosso-modo 80 km/h en seconde et 115km/h en troisième. En règle générale, la voiture donne l'impression d'être montée plutôt court, malgré la présence d'une quatrième surmultipliée, afin de donner le meilleur d'elle-même sur itinéraires variés et non sur autoroute. Quoi qu'il en soit, le moteur réagit sainement et agréablement en toutes circonstances et à tous les rythmes d'utilisation. Il ne vibre pas, il est relativement peu bruyant et la consommation n'atteint pas l'exagéré puisque j'ai enregistré, en extirpant du moteur ses derniers souffles, les chiffres suivants : 13,6 litres aux 100 km et 10,5 litres aux 100 à vitesse de croisière. La boîte de vitesses et l'embrayage ne semblent pas les plus beaux fleurons de la voiture. L'embrayage possède une course très longue et si l'on ne prend pas soin de bien attendre d'avoir relâché totalement la pédale, le disque paraît se fatiguer relativement vite. D'autre part, la boîte est bien synchronisée mais les verrouillages sont très fermes et le lever central au plancher n'est certes pas un modèle de précision, surtout en ce qui concerne la première, la seconde et la marche arrière. A ajouter à ce bilan négatif une mauvaise implantationdes pédales de frein et d'accélérateur qui ne permet pas de pratiquer la conduite "pointe et talon". Un comble sur une voiture à tempérament sportif !

SECURITE ET CONFORT.

Le cas de la A111 m'amuse énormément car, enfin, voilà une automobile dont le train avant est munid'un simple ressort à lames transversal antédiluvien tandis qu'on trouve à l'arrière un essieu rigide monté sur deux malheureux ressorts à lames transversaux. Nous voilà donc bien loin des suspensions sophistiquées qu'affectionnent certaines voitures françaises et, pourtant, le résultat est là... La A111 possède une tenue de route et une maniabilité peu communes, c'es--à-dire au tout premier rang de la construction actuelle. Plongeons dans le détail : en ligne droite la tenue de cape st très bonne, la sensibilité au vent latéral pratiquement nulle et l'influence d'une route bombée ne se fait pas sentir. En virage, la carrosserie se couche assez peu et la voiture vire plantée sur ses roues jusqu'à des vitesses déjà élevées. Ensuite, insensiblement, l'avant commence à glisser puis se stabilise au moment où l'arrière déboîte à son tour. En bref, cela nous donne une voiture terriblement rapide dans tous les types de virage, aussi bien à grand rayon que resserrés et qui s'accommode fort bien des virages alternés les plus vicieux. Quant à la direction; elle permet de tirer le maximum de la voiture grâce à sa précision, à sa douceur, et à l'absence totale de ces réactions que l'on rencontre tellement souvent sur les traction avant.
Côté confort, nous serons moins satisfaits. Sur ce plan, l'âge de la suspension apparaît et les réultats enregistrés ne dépassent pas la moyenne. Heureusement, les sièges sont là pour seconder efficacement les ressorts mais si l'on peut voyager sans fatigue rédhibitoire, on est quand même loin de la douceur et du parfait amortissement d'une 504, d'une 1100 Simca ou d'une R16. En revanche, le sourire peut réapparaître sur les lèvres lorsqu'on parle des freins. Ils sont d'une puissance étonnante, d'une bonne adhérence et l'équilibre de la voiture est tel qu'il est permis de piler efficacement sous la pluie, sur les routes les plus glissantes, la voiture restant parfaitement en ligne. D'ailleurs, si l'on allie la tenue de route à la direction et au freinage, la A111 n'est pas loin de représenter la voiture proche de l'idéal sous la pluie. Avec un certain entraînement, il est permis de conduire à peu près comme si la route était sèche... Plutôt que de donner d'abord une opinion générale sur l'équipement, je préciserai en premier lieu ce qui ne m'a pas plu. J'ai cherché en vain une montre et je n'ai pas apprécié son absence. J'ai trouvé aussi qu'on peut aller tellement vite sous la pluie que les essuie-glace ne suffisent plus à la besogne et que la nuit venue, de toute manière, les projecteurs sont insuffisants. On peut reprocher également au coffre à gants d'être bien petit tandis que le souci de la meilleure sécurité devrait interdire de placer sur une même ligne la commande des éclairages lanternes, codes et phares car, das le cas de la A111, il suffit de pousser un peu trop loin l'inverseur, pour passer directement de phares en lanternes, avec le trou noir qu'on imagine, cela au moment du croisement...
A part cela, les gadgets sont nombreux et pratiques. L'inclinaison des dossiers est commandée par une boule astucieuse disposée sur l'avant du siège. Les plafonniers sont commandés par les quatre portières et les quatre portières disposent d'un repère lumineux rouge qui apparaît lors de leur ouverture ; l'allume-cigarette -relativement mal placé- est cmplété par un amusant étui à cigarettes situé sur la console centrale ; les essuie-glace peuvent battre par intermittence, ce qui est bien pratique en cas de pluie fine. Ils sont couplés avec le lave-glace mais celui-ci est actionné par le pied gauche, grâce à un bouton qui se trouve bizarrement placé. Efin, le coffre à bagages présente un volume correct.

CONCLUSION.

Avec cette voiture, Autobianchi attaque en France le grand public et il est certain que le nom-même de la marque représente un lourd handicap. Il est difficile de lutter à armes égales avec des concurrents dont le nm est connu de la clientèle depuis cinquante ans, Fiat, Ford, Peugeot, Renault, Citroën, Opel... Pourtant, dans sa gamme de prix, l'A111 nous apparaît difficile à égaler en ce qui concerne ses qualités routières et la sécurité. Sa tenue de route, son freinage, et sa direction m'ont impressionné tandis que ses performances permettent de la classer parmi les routières de bon tempérament. Enfin, sa compacité, ses cotes d'habitabilité et sa finition, constituent autant d'atouts supplémentaires ; en revanche, sa suspension peut être critiquée, ainsi que la maniabilité de la boîte et quelques détails qui sont d'importance secondaire. Simple à conduire, assez peu fatigante mais passionnante à mener pour l'amateur de conduite sportive, voilà certainement un beau bilan.

André COSTA,
collabration technique, Pierre BORNE et Robert SEJOURNE.


QUALITES- TRES BONNE TENUE DE ROUTE;
SPECIALEMENT SUR ROUTE MOUILLEE.- FREINAGE PUISSANT ET EQUILIBRE.- DIRECTION PRECISE ET DOUCE.- Jolie présentation.- Performances satisfaisantes.- Consommation modérée à grande vitesse.- Bonne visibilité.- Bonne climatisation.

DEFAUTS.

- COMMANDE DE BOÎTE PEU PRECISE.- SUSPENSION FERME.- Projecteurs insuffisants.- Pas de montre.- Inverseur codes-phares et commande de lave-glace mal conçus.- Ralenti souvent boîteux.






*****

LE POINT DE VUE DE MADAME.
"S'arrêter de fumer, il n'y a rien de plus facile, a preuve, je l'ai fait dix fois !" disait l'incorrigible George Bernard Shaw en souriant dans sa barbe. Si vous avez lu le Clan des Siciliens, et si rien de ce qui est gauloise ne vous est étranger, vous n'avez certainement pas oublié le commissaire qu'incarne si vigoureusement Lino Ventura. Tout au long du film, il promène au coin des lèvres une cigarette mélancoliquement intace et refuse le feu qu'on lui offre, d'un ton péremptoire :_ Merci, je ne fume plus !Votre marie, madame, a peutr-être commencé l'année avec les mêmes résolutions de sagesse. A moins que vous ne l'ayez devancé. Dans l'un ou l'autre cas, mieux vaut vous prévenir loyalement : l'Autobianchi n'est pas pour vous.Cette voiture-là, c'est le Palais de Dame Tartine pour amateur de tabac brun ou blond, le service à fumeur roulant. Voyez le cendrier, par exemple. Ce n'est pas un des prétendus serviteurs dont trois malheureux mégots suffisent à venir à bout. Ni de ces articles de pacotille qui déshonorent trop de véhicules honnêtes et vous restent dans la main à chaque fois qu'on veut les mettre à contribution. Enfin voilà un cendrier qui fera la semaine dans les embouteillages sans rechigner ni déborder. Et tout après, à portée de volant, l'allume-cigarettes veille, vigilant, infatigable. Mais à vos pieds, qu'est-ce donc ce rectangle coquettement gainé qui n'attend que la presion du doigt pour livrer son secret ? Déjà, l'émotion étreint le coeur du fumeur impénitent. Un cendrier de rechange peut-èêtre ? Quelle délicatesse ! On n'y résiste pas et on ouvre. Et alors, il y a de quoi joindre les mains, faire risette au contractuel le plus hargneux, de quoi sourire franchement à tous les anges de la route. Même si l'on a, quelques instants auparavant froissé son paquet de cigarettes avec un gest de dépit. Soeur Anne, qu'avez-vous vu venir ? Est-ce, dans la braise qui rougeoie ou, dans la cendre qui poudroie, un mégot plus grand que les autres qui durera bien jusqu'au prochain buraliste ? Que nenni ! Je ne vous fais pas languir plu longteps. Il y a là un providentiel casier porte-cigarettes que vous n'omettrez certainement pas de garnir.La boîte à gants n'est pas très vaste, mais elle peut contenir sa demie cartouche et ferme à clef, vous défendant de la tentation lorsque vous avez juré que plus une bouffée ne sortirait aujourd'hui de votre bouche.Et s'il pleut bergère, inutile de poser la cigarette ne fût-ce qu'un instantpour mettre l'essuie-glace en route : il y a une commande au pied. Et sur le tableau de bord, l'arme absolue contre la pluie : vitesse normale et aussi, pour petite pluie de ville ou léger crachin breton, coup de balai discret, juste ce qu'il faut pour faire pare-brise net. Les trois cadrans du tableau sont très lisibles, même avec de la fumée dans l'oeil. N'ont été oubliés ni témoin de frein à main, ni clignotant de niveau d'essence. Fumeur distrait ou secoué de quintes de toux sera sans excuse s'il se laisse surprendre.Mais sur ce bijou nerveux, cettegadgetière ambulante, pourquoi n'y a-t-il pas de montre ?Sans doute parce qu'il n'y a pas non plus d'heure pour les fumeurs.Marianne ANTOINEFlorence REMY.



EQUIPEMENT.

Nos lecteurs trouveront [ci-dessous] tous les détails sur les instruments de commande situés sur le tableau de bord, ainsi que les différentes indications fournies par les divers cadrans nécessaires au contrôle de cet automobile. Nous ferons donc comme d'habitudele tour du propriétaire et nous noterons que les leviers de commande de répartition et d'intensité du chauffage sont placées entre les sièges avant, en compagnie du frein à main ; seule la soufflerie est mise en route par un bouton au tableau. Une résistance électrique incorporée à la lunette arrière permet le dégivrage et le désembuage. Seules les portes avant actionnent les deux appliques d'éclairage intérieur.En revanche les quatre portes sont signalées en position ouverte par des voyants lumineux de couleur rouge. Les glaces des portières avant s'ouvrent en cinq tours et demi de manivelle et cinq tours suffisent pour les arrière qui, cependant, dépassent de trois centimètres environ leur cadre en position basse. Le système de réglage des sièges avant est un classique, c'est-à-dire qu'ils coulissent. L'inclinaison des dossiers s'obtient à l'aide d'un levier à boule situé sous le siège. Le plancher est revêtu en moquette ainsi que le fond duquel est logée la roue de secours, obligeant, en cas de crevaison, le déchargement complet de la cargaison. En plus du cric, une petite trousse d'outillage est fournie avec le véhicule ; elle comporte deux clefs à tube, dont une à bougie. Nous avaons remarqué d'autre part que la malle à bagages et le compartiment moteur étaient pourvus chacun d'un dispositif d'éclairage. En plus de la clé de contact, une seconde clé est nécessaire pour tenir fermé le vide-poches du tableau, les portières avant, le coffre à bagages, ainsi que la trape de l'orifice d'alimentation en carburant.
En plus de la clé, le blocage des portières s'opère par des poussoirs. Nous noteros pour terminer la présence dans les feuillures des portes arrière des loquets de sécurité pour enfants.








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