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G40from62

L'histoire de la 309

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Comme vous le savez tous je suis fan de cette bagnole donc un peu de culture générale
Je vous rassure vous etes pas obligés de lire boulet


Nombreux sont les curieux qui se penchent sur l'histoire de la Peugeot 309 comme on se pencherait au bord d'un puits pour en voir son fond.
Pendant toutes ces années, la Peugeot 309 a gardé un certain mystère, comme pour ne pas attirer l'attention et ainsi taire un secret lourd de conséquences.nous ne nous contentons pas d'obscures explications, et pour vous, nous allons, ensemble, retracer l'histoire de ce véhicule pour élucider ce mystère.

EPISODE 1

Pour bien connaître l’histoire, il faut toujours la remonter. Alors faisons-le ici.
Le 10 juillet 1978, Chrysler Europe, composé de Chysler France (Simca), de Chysler UK (Rootes-Sunbeam) et de Chrysler España (Barreiros) est racheté par le groupe PSA (Peugeot Société Anonyme). Le contrat stipule que PSA n’a aucun droit sur l’utilisation du nom Chrysler, qui est bien sûr conservé par le groupe Chrysler USA. Peugeot décide donc de choisir un nom qui rassemblerait toutes les marques du groupe Chrysler (Simca, Rootes-Sunbeam et Barreiros). Il faut une marque dont le nom et l’histoire soit connu de tous et il est décidé en 1979 que le nom sera Talbot. En effet, cette ancienne marque automobile rachetée par Simca en 1958 possède tout ce dont Peugeot désire, plus une bonne notoriété au Royaume-Uni puisqu’elle faisait partie du patrimoine Rootes (filiale anglaise de Chrysler). Quant au nom Simca, il est, selon les dires de PSA, “mal perçu au niveau européen”. Les automobiles Chrysler-Simca deviennent donc le 10 juillet 1979 les automobiles Talbot-Simca et une campagne publicitaire est lancée. Dès le mois d’août de la même année, les 1307/1308 sont rebaptisées Talbot 1510 et quelques éléments comme la face avant, les feux arrières et la planche de bord sont redessinés. En mars 1980 Talbot dévoile un nouveau véhicule, la Talbot Solara qui n’est en fait qu’un dérivé tricorps de la 1510 (Il faut en effet limiter les dépenses et pourtant répondre à l’appel de la clientèle). Mais ce que Peugeot n’imaginait pas à l’époque c’est que les clients seraient totalement déstabilisés. En effet, les 1510 sont vendues comme étant des Talbot mais les monogrammes indiquent Simca et/ou Chrysler. Et à la sortie de la Solara, on peut lire Simca sur la malle arrière, et les clefs délivrés aux clients sont estampillés Chrysler. Pire, l’histoire de la marque prestigieuse devient aux yeux du grand public une banale histoire de véhicules pour “gens moyens” - la marque était à l’époque de son existence une marque destinée à la population aisée. Peugeot réagit enfin en 1981 et toutes les Talbot se nomment... Talbot. Mais la marque va de problème en problème, les ventes sont en constante baisse, il faut donc diminuer les coûts de production et plus de 4000 employés doivent être licenciés. De sérieuses grèves touchent la marque en 1982 et en à peine trois ans de vie les ventes chutent de moitié. Les clients passent leur chemin, les employés sont révoltés, et le groupe perd ainsi énormément d’argent.
PréambuleFin 1983, une nouvelle voiture est attendue, et il se dit qu’elle remplacera la Talbot Horizon. Elle a pour objectif de remettre Talbot d’aplomb. Ce projet, développé par PSA depuis 1982, se nomme C28.
Dans le but d'apaiser les tensions des salariés et de la population à l’égard du futur de la marque, ainsi que des usines de Poissy, le premier ministre, Pierre Mauroy, annonce même en décembre 1983 que les usines de Poissy ont encore un bel avenir puisque le groupe a l’intention de lancer un nouveau véhicule et devrait donc investir lourdement. Mais Peugeot n’a pas la même vision des choses. Certes, Peugeot promet que les usines de Poissy ont un avenir et qu’il se fera avec ses salariés, mais le sort du nouveau véhicule va être trompeur, et en 1984 la marque décide que Talbot ne sera plus.

En 1983 le cœur du projet C28 se trouve caché dans une caisse de 205 et est testé ainsi, mais en 1984 Peugeot a fait fabriquer 28 prototypes roulants, dont la ligne a été figée depuis 1983, et chacun d’entre eux a été fabriqué à la main pour un coût d’environ 6 millions de francs par unité. L’investissement est énorme et même si il sera souvent dit, à quelques mois de la sortie du véhicule, qu’il naîtrait soit Talbot soit Peugeot, Peugeot n’avait aucun doute quant au logo qui serait apposé sur la calandre de la C28...

EPISODE 2

Au début des années 1980, Peugeot est dans le rouge, les modèles ne se vendent pas comme la marque l’espère et les ingénieurs préparent déjà le futur véhicule qui doit absolument remettre la marque dans le vert, elle sortira en 1982 et se nommera 205. Pourtant, en 1984, même si les ventes de 205 sont satisfaisantes, Peugeot n’en tire toujours pas un réel profit et les ventes catastrophiques des véhicules Talbot ainsi que les grèves nombreuses et très longues ont coûté très cher au groupe, trop cher même. En 1984, Peugeot prend donc, comme nous l’avons vu, la décision d’arrêter les productions des véhicules Talbot.
Le projet C28 est en cours de finalisation au sein du groupe PSA. D’abord annoncée par la presse automobile comme la nouvelle Peugeot 206 en 1985, Peugeot va choisir le nom de 309, un nom qui bien sûr rompt avec la chaîne numérique ; elle aurait logiquement du s’appeler 306. Ce nom est choisi pour certaines raisons dont deux principales : deux nouvelles voitures familiales tri-corps sont déjà en développement et leur nom est décidé (405 pour revenir aux modèles en 40X et 605 pour remplacer la vieillissante 604), la C28 ne peut donc pas sauter une génération et s’appeler 306 car elle créerait un décalage avec les futurs modèles qui eux porteront le nom X05. La deuxième raison est que le nom en 30X est quasiment obligatoire puisque la voiture se situe, au niveau des segments, au-dessus de la 205 mais en-dessous de la future 405 et le nom 305 est déjà attribué. Si Peugeot a en effet longtemps pensé appeler la voiture 306, le nom est jugé mal adapté pour les raisons citées plus haut et surtout parce qu’elle serait considérée comme la suite de la 305 alors qu’elle n’a aucun rapport avec cette dernière. Le nom 309 est finalement adopté et même si il rompt avec la chaîne numérique en X05, tout comme l’auraient fait les noms 206 ou 306, Peugeot a le temps de voir venir d’ici que la génération en X09 apparaisse. De plus, c’est la volonté de Peugeot, de différencier ce véhicule qui est le premier véhicule Peugeot familial à hayon, par un nom différent.
Il a souvent été dit, à l’époque et même de nos jours, que le nom 309 avait été choisi pour « rendre hommage », en quelque sorte, à une marque disparue qui aurait du voir son propre logo sur la C28. Mais la première volonté de Peugeot d’appeler la voiture 300 ou 308 démontre le contraire. Mais continuons l’histoire.
La Peugeot 309 sort en octobre 1985 sous la forme d’un modèle entre le bi-corps et le tri-corps à quatre portes latérales et un hayon supportant une large vitre. A sa sortie, il existe en tout cinq finitions (Version de base, GL, GL Profil, GR, SR et GT) pour quatre moteurs essence (un 1 118 cm3 développant 55 ch, un 1 294 cm3 développant 65 ch, un 1 580 cm3 développant 80 ch et le 1 905 cm3 développant 105 ch) et sont proposées au prix de 52 900 F pour la version de base (qui n’a aucun nom mais s'appellera un peu plus tard GE), 58 700 F pour la version GL, 62 900 F pour le modèle GL Profil, 66 900 F pour la version GR 1.3, 69 800 F pour le modèle GR 1.6, 74 600 F pour la version SR et 79 800 F pour la GT.
La Peugeot 309 reprend un grand nombres d’éléments aux 205, 305 et BX. Elle est 6 cm plus large et 5 cm plus longue que la 205 alors qu’elle est 21 cm plus courte que la 305 et seulement 1 cm moins large que cette dernière. Sur le plan de l’architecture, les tôles électro-zinguées et galvanisées représentent un peu plus de 40% du poids de la caisse. La caisse demande 2528 points de soudure pour être assemblée, dont 2492 sont réalisées par des machines autonomes. Le progrès est donc énorme par rapport à la 305 puisque cette dernière avait besoin de 4020 points de soudure dont 990 devaient être réalisés manuellement. La caisse est donc plus légère, elle pèse 216 kg alors que celle d’une 305 pèse 260 kg.
A l’époque de sa sortie, Peugeot mettait en avant une excellente aérodynamique, favorisant ainsi une faible consommation de carburant. Il faut dire que le Cx variait de 0,30 pour la GL Profil à 0,33 pour les autres modèles.
Les magazines automobiles ont souvent comparée la 309 à une petite Mercedes à cause de sa largeur inhabituel à l’époque pour une voiture de seulement 4,051 m et de son arrière aux feux tricolores qui lui conféraient un caractère « trapu, net et sérieux ». Déjà à l’époque on lui reproche son manque d’originalité face à la 205 qui est un succès, sa ligne qui laisse quelque peu indifférente et surtout sa planche de bord peu chaleureuse.
Mais la 309 n’a pas encore tout dévoilé...

EPISODE 3
Le projet C28 a été commencé en 1982 par Peugeot mais il était en étude dès 1980 par Peugeot-Talbot. Le véhicule a eu sa forme définitive dès 1983 et en 1984 il subissait de lourds tests en France et à l’étranger. À sa sortie et même un peu avant, les magazines annonçaient une grande sœur à la 205, une voiture familiale de taille moyenne et ayant la bouille de sa petite sœur.
Il est donc légitime de se poser une question : que vient faire la marque Talbot dans tout ça et d’où vient le nom Arizona ?
Pour répondre à cette question il faut bien comprendre la politique du groupe PSA à la fin des années 1970.
Dans les années 1970, Peugeot est dans le rouge, il se vend beaucoup de Renault mais la marque au lion ne décolle pas et perd même un peu de clientèle. L’image de la marque est vieillissante, tout comme ses modèles qui ont un style très classique. La 305 qui sort en 1977 par exemple n’est pas vraiment appréciée à l’époque, la Renault 18, qui est sa concurrente directe, a une forme beaucoup plus douce et plus contemporaine. La marque a donc de gros ennuis et risque de sombrer dans l’oubli le plus total si aucune réaction ne se fait. Et contre toute attente, Peugeot va réaliser un coup de maître, aussi improbable qu’audacieux. En effet, la marque décide de réaliser un réel coup de poker où l’enjeu est simple : ça passe ou ça casse ; le groupe qui est financièrement très endetté décide d’investir ! Alors folie ou réel coup de maître ?
En rachetant Chrysler Europe, dont personne ne voulait, au groupe Chrysler, Peugeot semble avoir une réaction totalement contradictoire. En effet, pourquoi investir alors que le groupe est dans le rouge ? Mais ce dont personne ne se doute, c’est que Peugeot n’a pas du tout abordé le problème de cette manière.
Peugeot rachète donc le groupe Chrysler Europe qui est composé de Simca, une grande marque française et de Rootes-Sunbeam, une marque anglaise qui avait avalé la marque Talbot d’après-guerre. Le contrat est signé et Peugeot a alors toutes les cartes en main. Peugeot choisit de donner un nom commun à toutes ces marques, un nom à la fois connu, et de préférence à consonance anglaise pour essayer d’agrandir les parts de marché au Royaume-Uni, pays où Peugeot n’arrivait pas à augmenter ses ventes. En cherchant un peu dans les archives, le nom Talbot est trouvé et est finalement choisi.
Talbot naît tôt - un an après le rachat du groupe Chrysler Europe - mais les véhicules, eux, ne se voient pas tout de suite nommer Talbot. Peugeot décide de restyler les 1307 et 1308 à moindre coût et le résultat sera la 1510, un véhicule finalement pas si éloigné de ses prédécesseurs. La Talbot Solara est un modèle décliné de la 1510 avec un coffre et la Talbot Samba n’est ni plus ni moins qu’une 104 légèrement plus longue. En bref, l’investissement a été minime mais les résultats n’ont pas été si mauvais. Malgré un prix de vente quelque peu élevé, les 1510 et Solara étaient des voitures avec une très bonne finition pour l’époque, elles étaient souvent vues comme le haut de gamme français face aux Renault 18 et Peugeot 305. Quant à la Talbot Samba, elle s’est très bien vendue en France et surtout au Royaume-Uni en seulement cinq années d'existence.
En fusionnant les points de vente Peugeot et Simca en France et à l’étranger, Peugeot choisit de se servir uniquement de ses points de ventes pour vendre les véhicules Peugeot et Talbot. Mais les concessionnaires préfèrent rapprocher la clientèle des modèles Peugeot, qu’ils connaissent mieux et dont c’est peut-être aussi l’exigence...
Le groupe PSA n’a pas lourdement investi et pourtant il récolte le fruit de son petit jeu. Les ventes, durant les premières années, sont plutôt bonnes, surtout au Royaume-Uni mais aussi en Espagne où les modèles Solara sont appréciés et seront construits jusqu’en 1986. Peugeot récolte donc assez d’argent dès le début pour pouvoir investir de nouveau, cette fois-ci dans une petite citadine qui doit absolument faire le succès de la marque... elle s’appellera 205. Au même moment Peugeot, qui doit renouveler sa gamme et répondre à la demande des clients, prépare un autre véhicule répondant au nom C28.
Pour répondre à la question du début, Talbot n’a rien à voir avec la 309 pas plus que le nom Arizona d’ailleurs. Peugeot a joué un gros coup et a gagné. Talbot n’a été qu’un moyen pour Peugeot d’arriver à se redresser, à la manière d’une canne qui supporte et qui aide. Une fois l’aide nécessaire apportée, une fois la 205 assurée du succès tant attendu et une fois le modèle familial à hayon qui manquait à la marque mis en projet, il n’a suffit à Peugeot que de signer la fin d’une marque fantôme, qui n’a jamais vraiment été ressuscitée.
Et si beaucoup pensent que la 309 devaient naître Talbot et remplacer l’Horizon, c’est tout simplement parce que Peugeot s’est délibérément inspiré des acquis de Simca concernant le modèle à grand hayon pour pouvoir effectuer le sien. Ni plus, ni moins.
La vérité... probablementLa vérité n'est jamais bonne à dire. Certes, mais elle est là, et on n'y peut rien.
L'histoire de la Peugeot 309 a fait couler beaucoup d'encre, tant à l'époque, où les journaux inventaient des histoires rocambolesques, qu'encore aujourd'hui, où les passionnés se limitent à des explications étranges.
Ici, il n'est nullement question de critiquer des dires, mais de parler, de communiquer sur un mystère encore entier.
Selon les dires de beaucoup d'anciens travailleurs de l'usine de Poissy, la Peugeot 309 n'aurait jamais dû naître Talbot, comme beaucoup l'affirment. Les nombreux documents officiels prouvent que cette histoire ne tient pas la route. D'ailleurs, cette histoire de Talbot Arizona n'a jamais été dévoilée par Peugeot, mais a été créé par des journaux spécialisés.
Alors Peugeot cache-t-elle encore la vérité d'une histoire vieille de presque trente ans ? À cette question, personne n'a de réponse.
On cherche parfois la vérité là où elle n'est pas, et souvent, les histoires les plus simples sont les plus vraies...

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Le Break Peugeot 309

Peu après le lancement de la Peugeot 309 en 1985, Peugeot étudie une version familiale de le Peugeot 309, où le toit se prolonge jusqu’à l'aplomb de l’arrière du véhicule ; autrement dit un break, estate, station wagon ou juste wagon selon de quel côté du globe vous vous trouvez. La tâche est entièrement laissée à la société française Heuliez, laquelle travaille en tant qu’unité de conception et de production pour différents constructeurs automobiles et qui est spécialisée dans les courtes séries pour des marchés de niches ou dérivés. Cette société s’est souvent occupée des dérivés break de véhicules d’origine PSA, et travaille en étroite collaboration avec ce dernier. Le projet devait être présenté au salon de l’automobile, à Paris, en 1986, mais Peugeot étant hésitant sur ce segment, Heuliez n’a finalement présenté le projet qu’au salon de Genève, en 1988. Le prototype présenté est du type deux en un : le côté droit du véhicule montre un break à l’apparence 5 portes (deux portes latérales) et le côté gauche montre un break à l’apparence 3 portes, type break de chasse (une seule porte latérale).
Parallèlement à cela, Peugeot fait réaliser des études de marché pour voir si le projet est porteur. Si les résultats sont concluants, la perte de temps et la remplaçante de la Peugeot 309, la future Peugeot 306, déjà en étude, vont finalement décider du sort du projet ; la version break ne verra donc jamais le jour.

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Un cabriolet avit aussi été dessiné par Gruau mais n'a jamais vu malheureusement le jour

Peugeot s'est véritablement porté sur sa meilleure vente de l'époque la 205

il est tres difficile de retrouver des documents prouvant cette histoire

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popopo le dossier de ouf
je vais attendre d'avoir 2 3h pour le lire mdr

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Sa c'est un dossier :D

Et dire que bientôt elle reposera problème cette voiture .... On va l'appeler comment la remplaçante de la 308 hein lol!

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ba moi je les lus mais faut pas trop me poser de questions dessus lol! , la 309 break passe encre par contre la cabrio heureusement qu'elle na pas vus le jours car perso j'accroche pas du tout, en tout cas sa pete un reportage comme cela +10

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Boubaure a écrit:
ba moi je les lus mais faut pas trop me poser de questions dessus lol! , la 309 break passe encre par contre la cabrio heureusement qu'elle na pas vus le jours car perso j'accroche pas du tout, en tout cas sa pete un reportage comme cela +10


+1

par contre le break il court pas les rues !

en mm tps même une "berline" on en voit de moins ne moins ...

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bah en fait le break n'a jamais vu le jour dans nos rues
ce fut simplement des protos pour les showrooms (vla le spectacle une 309 Break)

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GTIfrom62 a écrit:
bah en fait le break n'a jamais vu le jour dans nos rues
ce fut simplement des protos pour les showrooms (vla le spectacle une 309 Break)


:lol:

j'ai pas tout lu lol!


par contre en break avec le moteur de la gti ça aurait fait un bon sleeper à papa mdr

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sympa le break c'est vrai!

Au fait gtifrom62, j'ai un article entièrement dédié à la 309 gti paru dans le auto retro des vacances 2008 (je t'en avais déjà parlé), si tu l'as pas je peux te le passer si ca te tente!

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