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6R6

Bonjour de l'Avesnois, les carnets de route de 6R6

Messages recommandés

Salut,

Je viens de tout lire... Bah, très bien de partir en ancienne ! Personnellement, je le fais un maximum, il faut se battre !
Dommage, j'ai un autre collectionneur dans ma famille, des américaines, mais, il m'avoue, "Purée, quand tu as goûté le confort des berlines récentes, t'as plus envie de reprendre ton "tacot"... Et puis y a l'âge aussi, ça y fait beaucoup. Puis le temps qu'on n'a pas toujours...

Wink

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Du 23 au 25 juin 2015, escapade sur la côte d'Opale avec la 403 !
Une fois n'est pas coutume, on prend l'autoroute d'entrée pour traverser le département du Nord au plus vite, la campagne s'étendant de la forêt de Mormal jusqu'à Bailleul ne présentant pas le moindre agrément.
C'est justement à Bailleul qu'on quitte l'autoroute, on contourne Hazebrouck et Saint-Omer... Entre Ardres et Guînes, un monument au bord de la route rappelle qu'ici se dressa le Camp du Drap d'or : en 1520, François Ier installa ce camping de luxe pour y recevoir le roi d'Angleterre en vue d'obtenir son alliance pour lutter contre Charles Quint. Ce fut une erreur psychologique : cette débauche de luxe humilia plus Henri VIII qu'elle ne l'éblouit, et celui-ci se tourna finalement vers Charles Quint qui détenait la vraie puissance.
Nous approchons du littoral et pique-niquons au bord d'un petit chemin dominant la mer, distante de 4 km. Puis nous nous posons au Cap Gris-Nez, qui marque la limite entre la Manche proprement dite et la Mer du Nord.
Les falaises anglaises sont parfaitement visibles et de multiples bateaux sillonnent le détroit du pas de Calais, le plus chargé du monde. De nombreux porte-containers se dirigent vers les ports d'Europe du Nord pour y déverser des milliers de tonnes de chinetoqueries de toutes sortes, et quand on voit la densité du trafic on comprend que le chômage a encore de beaux jours devant lui en France ! On voit encore pas mal de flobarts (barques ventrues de la région des deux caps).
Nous allons ensuite faire un tour à Wissant à pieds. Pas de bol, le front de mer menaçait ruine et n'est qu'un immense chantier. Retour au Gris-Nez (en voiture grâce à un ancien collègue de Flavie), puis resto de fruits de mer à Audresselles et séance de coucher de soleil au pied du cap avant de rejoindre la chambre d'hôtes dans une ferme céréalière (blé et lin) d'Audinghen.

Le lendemain, on traverse les jolies dunes de Slack, très sauvages, puis on se pose dans le port de commerce de Boulogne. Une intense activité règne dans le premier port de pêche français (et premier port européen de transformation de produits de pêche), ça fait du bien de voir encore une grosse activité industrielle en France, c'est devenu si inhabituel ! Le port est parcouru de longues avenues le long desquelles s'alignent d'immenses hangars desservis par un ballet incessant de camions.
Pique-nique sur la plage du Touquet avant de traverser l'Authie, où commence la côte picarde. De nombreux marais précèdent le Marquenterre ("mer en terre" en picard car la mer baignait jadis ce secteur riche d'oiseaux). Voici donc la baie de Somme et ses mollières (dénomination picarde des prés salés), et nous nous arrêtons au Crotoy avant de contourner la baie pour rejoindre Saint-Valery (prononcer "Saint-Valry"). Sympathique resto dans ce joli petit port, puis coucher de soleil à Cayeux après avoir vainement cherché à voir des phoques. 200 à 500 phoques colonisent l'embouchure de la baie selon la saison, et nous n'avons vu qu'une tête de phoque sortir de l'eau pour respirer. Chambre d'hôtes chez un antiquaire de Saint-Valery, dans un loft de toute beauté ! Ah, ça change des intérieurs tristement conformistes d'aujourd'hui, style clinique avec placos blancs et étagères Ikéa !

Le troisième et dernier jour, on traverse la baie de Saint-Valery au Crotoy à pieds, avec un guide. Trois heures de randonnée dans le sable, la vase, les bras d'eau et les prés salés que je recommande chaudement à ceux de passage dans le coin. Le guide nous explique tout : les huttes flottantes au bord des mares, les salicornes et les oreilles de cochons (plantes comestibles), les galets du Tréport qui remontent jusque la baie (Cayeux est une plage de galets), les moutons de prés salés, le berger retrouvé enfoncé à moitié dans la vase lundi dernier et sauvé par miracle, les 5 bras de la Somme de jadis réunis en un seul le long du port de Saint-Valery (le Crotoy s'en trouvant privé, d'où une certaine jalousie), l'activité portuaire de Saint-Valery (la capitainerie a disparu en 1921 et le dernier navire marchand y a accosté en 1991), l'ensablement de la baie, la faune (spatules, crabes, vers de vase, phoques...), l'époque où la ville comportait deux maires car les habitants de la ville haute ne s'entendaient pas avec ceux du port, etc...
Resto au Crotoy puis retour par le train à vapeur, tiré par une locomotive 230 de 1909 !
Précision pour les automobilistes se rendant en baie de Somme : le stationnement est payant (et cher) tant au Crotoy qu'à Saint-Valery, et en prime l'accès du seul parking gratuit de cette dernière ville, à 500 m à vol d'oiseau depuis les quais, nécessite environ 5 km de voiture quand on suit les panneaux !
On reprend ensuite la 403 pour rentrer à la maison, et nous passons à proximité de deux champs de bataille célèbres : Crécy (1346) et Azincourt (1415) où l'armée française s'est fait débiter en tranches à deux reprises par l'ennemi héréditaire de l'époque : les Anglais. Pause resto à Cambrai et retour à la maison en soirée, avec 620 km au compteur sur les trois jours.
Voici les photos.

Au environs d'Audinghen, peu avant d'arriver sur le littoral. L'arrière-pays des deux caps et du Boulonnais est très joli, vallonné et verdoyant


Vue du Gris-Nez


Ambiance de bord de mer


Le cap Blanc-Nez (doit sa couleur au calcaire), à peine marqué sur une carte


Le cap Gris-Nez (doit sa couleur à l'argile et au grès), point le plus proche de l'Angleterre (30 km environ), c'est là que la côte s'infléchit plein sud


Crépuscule au cap Gris-Nez


Ambleteuse


Boulogne


C'est une coutume de "se montrer" dans la rue Saint-Jean du Touquet, généralement pour montrer qu'on a du pognon. En ce qui me concerne, ce n'est pas par snobisme avec ma vieille 403 usagée !


Crépuscule à Cayeux




Un bras d'eau dans la baie de Somme


Les moutons de prés salés


Toujours dans la baie, une mare et sa hutte flottante


Le train à vapeur




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Excellent reportage Michael, comme d'habitude avec les précisions historiques qui vont avec !

Nous y étions en vacances en 2007 (Crotoy) et cette région ne nous a pas laissée un bon souvenir bizarrement

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Merci David !
Oui c'est sûr, ce n'est pas grandiose, surtout le Crotoy qui nous a un peu déçu. Mais le guide a réussi à nous intéresser à la baie proprement dite, et sa traversée restera un bon souvenir. Ceci dit, on retournera plus volontiers dans le secteur du cap Gris-Nez, aux paysages plus changeants.

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Je vous propose un grand bol d'air avec deux grands tours dans les Alpes, en 2010 et 2014 !

Du 29 septembre au 7 octobre 2010, mini-vacances dans l'Est de la France.
C'est à bord de la 403 que nous prenons la route, jusque notre maisonnette en Haute-Marne. Le lendemain, nous récupérons l'R6 n°5 qui faisait de la rouille sur son parking à Chalindrey comme les Américains font du gras devant leur télé, et nous poursuivons avec elle histoire de la décrasser un peu. On visite un peu le massif du Jura et nous nous posons une journée près d'Oyonnax.
Le samedi matin, on arrive à Annecy, où j'étais allé avec la même voiture 8 ans plus tôt après l'avoir sortie de plusieurs années de sommeil. Elle m'avait d'ailleurs causé des soucis à l'époque. Mais cette année, elle tourne comme une horloge, en dépit de son apparence.
Le dimanche, on pousse jusque la vallée de Chamonix et on gare l'R6 au-dessus des Houches, face au Mont-Blanc, à 1350m. De là, on grimpe à pieds vers l'Aiguillette des Houches, dans l'ombre de la forêt et au milieu des champignons. A 1900m, on dépasse les derniers conifères et on arrive sur la crête. Le chemin monte toujours et on atteint enfin l'Aiguillette des Houches, puis la Pointe de Lapaz (2313m). Le sommet des Alpes est juste en face, à 10 km à vol d'oiseau, 2 km et demi plus haut, vomissant ses glaciers... Impressionnant.
De retour à la voiture, on va rendre une visite éclair à Marc, un possesseur d'R6 qui habite à 10 km de là. Il est venu au-devant de nous avec sa rutilante R6 blanche de 1969.
Retour tranquille, une nuit à Annecy, une près d'Oyonnax, et on continue la remontée sous la pluie tant bien que mal, car mon balai d'essuie-glace gauche part faire de la chaise-longue sur le capot tous les 3 balayages.
Le 6, on fait l'échange des voitures à Chalindrey et on remonte le lendemain dans le Nord avec la 403.
Total approximatif : 800 km en 403 et 1250 en R6.

Entre Nantua et Bellegarde


Le Mont-Blanc depuis Bellegarde (flêche), à 90 km de distance


Pendant la rando


Depuis l'Aiguillette des Houches (2285m)


Le Mont-Blanc depuis la Pointe de Lapaz (2313m)


Chez Marc à Passy


Au bord du lac du Bourget


A Culoz, pour ceux qui cherchent encore du vrai "super"... Un peu cher peut-être ?


Rencontre inattendue à la sortie de Bar-le-Duc


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Du 4 au 8 juin 2014, Flavie et moi sommes retournés dans les Alpes. Nous avions récupéré la R6 n°6 la veille à Chaumont, où nous l'avions laissée un mois plus tôt, la n°5 n'étant plus en état d'assurer le service. Départ le 4 au matin. Une fois n'est pas coutume, la n°6 nous cause des soucis dès les premiers kilomètres. Pour la première fois, je vois le voyant rouge s'allumer à cause du circuit de refroidissement, une fuite nous oblige à remettre du liquide tous les 10 km. Finalement, malgré la pluie, je décide d'en finir et recoupe une durite du carburateur fendue. Un peu plus loin, en faisant l'appoint d'eau et d'huile, un faux mouvement envoit promener le bouchon de remplissage d'huile derrière le moteur, impossible de le récupérer. Heureusement, un collectionneur n'est pas loin et me prêtera un des siens. Nous passons par le col de la Faucille et décidons de couper par Genève pour rejoindre Bonneville où nous sommes attendus. Mal nous en prend, traverser Genève à 17 heures est un vrai cauchemar, on aurait gagné du temps de faire le grand tour par la France. Première nuit à St-Pierre, près de Bonneville.
Le lendemain, direction Bourg-Saint-Maurice, via Megève. Au débouché de la vallée de Chamonix, on aperçoit le Mont-Blanc et j'ai une pensée pour Marc qu'on avait vu lors de notre dernier passage. Sur une déviation au-dessus d'Albertville, un camion de 3,5T vient de dévaler de la route après plusieurs tonneaux, blessant grièvement le conducteur. Ici, la moindre sortie de route peut coûter cher ! Arrivés à Bourg-Saint-Maurice, nous montons au fort de la Plate, 3 km à vol d'oiseau, dix fois plus en voiture, une heure de montée ! Flavie a repéré une rando sympa dans Alpes Magazine jusqu'aux lacs de Forclaz. Pas de bol, là-haut, un militaire barre l'accès du sentier : l'armée organise des tirs ce jour-là dans toute la montagne ! Désabusés, nous errons sur l'autre versant, montant jusqu'à 2400 m quand-même, bloqués par la neige à quelques dizaines de mètres du col qui nous aurait permis de voir les lacs. Nuit à l'hôtel à Bourg après un sympathique resto (pas pu trouver de chambres d'hôtes).
Le lendemain, j'avais le projet d'atteindre un 3000 depuis le Col de l'Iseran (2764 m), ce qui faisait un dénivellé des plus modestes. Hélàs la veille encore, il était le dernier col des Alpes encore fermé et nous ne nous faisons guère d'illusions. Effectivement, la route est barrée au niveau du pont Saint-Charles, au-dessus du parc à touristes de Val d'Isère. Pas grave, on laisse l'R6 là et on remonte l'Isère jusquà sa source ! Nous sommes alors dans le parc de la Vanoise et passé le refuge du Prariond, nous verrons quantité de marmottes, ces petits clowns qui n'hésitent pas à s'approcher à deux-trois mètres pour peu que vous restiez silencieux et immobiles. On verra aussi des bouquetins et des chamois, beaucoup plus craintifs. Le paysage est superbe. Comme la veille, on pique-nique avec des victuailles achetées le matin à la coopérative (charcuterie, beaufort d'été...). Il fait près de 30° dans les vallées, mais là on respire, on a 20° à tout casser, du bonheur ! Le calme et les grands espaces en prime. J'espérais atteindre un col à près de 3000 sur la frontière, puis le Gand Cocor (3034 m) un peu au nord des glaciers sources de l'Isère, mais là encore la neige nous arrête, vers 2700 m. De retour à la voiture en fin d'après-midi, on constate que le col a été ouvert dans la journée ! Seconde nuit à Bourg.
Le 7, nous remontons par la superbe route du Cormet de Roselend; nous nous posons au bord d'un ruisseau un ou deux kilomètres avant le col, un petit coin de paradis ! Puis on rejoint Oyonnax (via Annecy) pour une sympathique étape chez la tante de Flavie.
Retour le soir du 8 en Haute-Marne, 1062 km en cinq jours. La leçon des vacances : au-dessus de 2500m, c'est juillet, août ou septembre !

Quelque part dans le Beaufortain


La rando du 5 dans le Beaufortain, en contrebas du Roignais


Le même jour, depuis les environs du col de Leisette. On distingue bien la limite de la neige vers 2500m dans le massif de la Vanoise en arrière-plan


Le même jour, au-dessus du fort. Qui arrivera à trouver l'R6 dans ce paysage ? (elle est visible)


La rando du 6 en Vanoise, ces glaciers constituent les sources de l'Isère. La ligne de crête à l'horizon forme la frontière avec l'Italie. On distingue le refuge au centre de la photo


La voilà sur le parking (voir deux photos avant).


Allez, on revient en Vanoise !
Bloqués par la neige à 2700 m


Une marmotte


Un chamois


Pause


Le 7 peu avant le Cormet de Roselend


Même endroit (ruisseau de la Neuva)

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UNE PETITE BALADE CHEZ NOS AMIS BELGES !

En attendant notre futur tour de Belgique, nous sommes allés faire un tour jusque les Ardennes belges le 29 août. Une idée de ma compagne. Ce fût l'occasion d'essayer notre belle R6 n°7 qui a probablement fait son premier voyage en Belgique.

Dès la frontière passée, à Grandrieu (près de Beaumont au sud-ouest de Charleroi), le ton est donné. Le style des maisons change radicalement. Les maisons anciennes, tout en pierre bleue, ont été massacr... rénovées à la belge : portes d'entrée d'une seule vitre, fenêtres d'une seule vitre, baies vitrées démesurées, fenêtres étroites de toute la hauteur de la maison, parfois excroissances contemporaines, bref la foire aux horreurs. Les maisons neuves sont par définition pires encore, des cubes vitrés sans harmonie. Les abords des écoles sont signalisés par des crayons géants ou autres allégories multicolores d'une totale absence de discrétion. Hormis pour les villages classés heureusement préservés, les Belges ont sacrifié au fun et au modernisme.
Dans les prés, les vaches culardes sont partout. Ces malheureuses bêtes, génétiquement formatées pour faire toujours plus de viande, sont tellement hypertrophiées de l'arrière-train qu'elles ne peuvent plus vêler que par césarienne. Evidemment nos marketeurs omettent pudiquement de communiquer là-dessus, mais pensez-y quand vous acheterez de la viande de race "blanc-bleu"...
Ces deux remarques mises à part, il faut reconnaître qu'une escapade en Belgique est toujours synonyme d'agrément pour un Français. A Philippeville où nous faisons notre premier arrêt, les gens que nous croisons dans la rue nous disent bonjour, idem au distributeur bancaire, au café on nous parle spontanément... Un petit pays bien sympa où l'esprit "vacances" semble régner toute l'année ! C'est le marché ce matin à Philippeville, une ville qui fait beaucoup penser à Rocroi, distante de 35 km.
Pour midi nous nous posons à l'abbaye de Maredsous où nous arrosons notre petit repas avec autre chose que du Coca comme vous vous doutez bien ! Note pour les malheureux ne connaissant de la bière que les ersatz de la maison Kronenbourg, la Maredsous est une délicieuse bière d'abbaye, déclinée en blonde ou en triple.
En entrant dans l'abbaye voisine de Maredret, nous sommes impressionnés par le silence, un silence comme je n'en ai pas entendu depuis pas mal d'années ! Un silence qu'on entend presque.
La campagne est changeante et vallonnée dans ce secteur boisé. Nous rejoignons la Meuse à Hastière puis rentrons provisoirement en France par Givet, à l'extrême pointe de la "Pointe des Ardennes". Nous apercevons les réfrigérants de la centrale nucléaire de Chooz puis traversons Vireux où se tenait jadis la plus grande usine des Ardennes. La construction de la centrale et la fermeture de la fonderie donnèrent lieu à des échauffourées d'une rare violence au début des années 80. Au lieu-dit la Bûchère, en face du château du patron de l'usine incendié en 1982 par les sidérurgistes, se dresse une splendide station-services dont tout, à part les pompes, semble surgi du passé.
Nous refermons cette parenthèse française pour rentrer à nouveau en Belgique et là encore, le côté un rien sinistre côté France fait place aux sympathiques terrasses de café côté belge, notamment à Treignes.  Le village suivant, Vierves, est de toute beauté. Nous traversons le chemin de fer touristique Treignes-Mariembourg puis arrivons à Couvin. Puis à Chimay que nous connaissons bien. Et retour en France sous le cagnard, avec 218 km au compteur sans soucis.


L'abbaye de Maredsous


Du côté de Falaën


Vieille pompe à essence du côté d'Onhaye


A l'extrême nord des Ardennes françaises, la frontière d'Heer-Agimont


La station-services de la Bûchère entre Hierges et Vireux


Vierves-sur-Viroin


Bon alors on fait quoi ?

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j'irai bien y faire un tour qd je remonterai dans le nord assez longtemps.

 

 

 

 

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