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FOURNIER11

Le Quizz

Messages recommandés

@michel lovaty a écrit:
@CMTARGA :

N°25 : Vic Elford(Cooper-BRM). GP France 1968.
De mémoire,il me semble que c'était sa 1° course en F.1.


Bravo comme d'habitude. Tu ne vient pas souvent mais c'est toujours juste. Vic Elford que j'ai eu par mail à propos du livre John Woolfe sur l'histoire de sa portière lors du 1er tour à Arnage, (vie maintenant en Floride) était le dernier qualifié après Jo Schlesser lors du GP de France 1968.

Voici son texte brut sur sa portière à Arnage.

Salut Josianne et Michel,

Effectivement, c'était à Arnage, le premier tour.

Votre ami Osqui Jarillo a raison........et................... il n'a pas raison!

C'était la derniere fois pour le Départ "Le Mans".

Il y avait un commissaire a coté de chaque voiture pour assurer que le pilote avait bien mis sa ceinture avant de parrtir. Je suis bien entré avec la ceinture visible sur chaque epaule, mais pas serré - qui ne se voyait pas - et en entrant j'ai tous simplement laissé tomber la porte pour qu'elle se ferme tout seule - mais elle n'était pas bien fermer et j'ai essayé plusieurs fois de l'ouvrir et laisser la force du vent la fermer, mais ca n'a pas marche. Arnage était le virage ou c'était le plus simple a essayer puisque c'était le virage le plus lent du circuit et meme sans ceintures il n'y avait aucune chance de tomber de la voiture. Finalement j'ai du arreter aux boxes apres 3 ou 4 tours pour la fermer!

Les ceintures ne posaient pas de probleme; je controlais la direction avec mes genoux sur la ligne droite des Hunaudieres pendant que je mettais les ceintires. Pas de probleme!

Vic

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Un petit aparté.

Interview de Teddy Pilette pour le livre « Qui se souvient de John Woolfe » par Michel Fournier.


 


24 h du Mans 1969.


MF Pour les essais du mercredi, vous arriviez à quel moment ?


TP D’abord, il y avait le contrôle technique auquel je participais le matin !


MF Comment se déroulaient les essais ? Qui faisait les qualifications ?


TP C’était moi qui plaçais la voiture avec le temps de référence. On ne faisait pas beaucoup de tours car la mécanique n’était pas fiable. Il fallait faire attention. La politique de VDS était de ne pas tourner pour tourner. Il fallait être rapide, faire un temps.


Si l’on n’était pas capable de faire une référence… le pilote n’était pas bon. S’il n’était pas bon, on le changait ! C’est logique, ou vous êtes rapide immédiatement ou vous mettez 40 tours à faire un temps, tant pis au revoir !


MF Vous aviez l’habitude de la 33 ?


TP Oui, on a reçu la voiture au VDS en mars 1968 et on a effectué les essais à Jarama pour découvrir la voiture. On a roulé pour la 1ère course à Jarama aussi !


MF C’était une 2,5 litres celle-là ?


TP Non une 2 litres, la 2,5 litres est venue l’année suivante en 1969. La 3 litres sur laquelle Lucien Bianchi s’est tué n’avait rien à voir côté carrosserie. Elle avait une configuration ouverte et a connu des problèmes de capot arrière. VDS voulait la 33-3 litres pour l’année suivante, mais en fin de championnat il a racheté la Lola T70 de JWR parce qu’il n’a pu acquérir la voiture souhaitée chez Autodelta. VDS payait ses autos et à partir du moment où Autodelta ne voulait pas vendre, il est parti autre part, c’est tout !


MF La 3 litres a été abandonnée ?


TP Oui, car il y avait eu un autre accident sur le circuit privé d’Alfa à Balocco en Italie !


MF Aviez-vous des difficultés pour régler la 33 ?


TP Non, car les réglages concernaient les ailerons, les roues arrière et la barre antiroulis. Ça se limitait à ça. On ne changeait pas les ressorts, on partait et on voyait ce que ça donnait ! Slot et moi aimions la même configuration. On conduisait de la même manière. A partir du moment où les temps étaient identiques… !



 

A suivre…

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Suite...
MF Vous confirmez bien que les 24 h sont un problème d’équipe ?


TP Complètement, si un pilote perd 4 secondes au tour, vous voyez à la fin des 24 h !


MF C’était vraiment fatiguant ?


TP Euh… non, je n’ai pas trouvé. Moi j’ai toujours fait des relais courts. Je crois que c’était environ 1 h 30. Quand vous faites 2 h 30 de relais, la nuit vous avez 2 h 30 de repos, mais quand vous vous réveillez, c’est plus dur !


MF Le départ en épis était-il stressant ?


TP Euh… non, mais comme je partais toujours rapidement, je n’étais pas stressé !


MF Avec la ceinture ?


TP Non… je la mettais plus tard dans la ligne droite. J’ai une photo aux 6 heures de Kyalami où je pars devant les 917 pendant 1/2 tour. La voiture était toute prête réglée et je partais sans ceinture. On prenait la branche gauche et droite en serrant les jambes et en laissant un peu de lâche au niveau du bassin et on resserrait au niveau des épaules. Mais je n’étais pas le seul !


MF Avec la 33 quelle vitesse dans les Hunaudières ?


TP Supérieure à 310 km/h, avec la queue longue !


MF Quand vous arriviez à Mulsanne au 1er tour, les freins étaient froids ?


TP C’était des freins en fonte, donc ces freins-là n’avaient pas besoin de chauffer. La seule précaution à prendre était que, s’il pleuvait, il fallait impérativement freiner avant pour enlever l’humidité !


MF La courbe des Hunaudières, difficile ?


TP Non, on prenait toute la route et le point de corde, idem la nuit !


MF Et la bosse ?


TP Pas difficile, il fallait être un peu méfiant car une voiture pouvait être arrêtée ou au ralenti. C’était surtout à ce niveau là. On ne voyait pas ce qui ce trouvait derrière et les commissaires n’étaient pas aussi nombreux qu’aujourd’hui. J’ai parfois été surpris !


A suivre…

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Suite...

MF On est encore en admiration devant vous, car à l’époque la course était vraiment dangereuse !


TP C’est vrai que si l’on sortait, on risquait d’être aussi « déformé » que la voiture !


MF A Arnage, vous passez en 9è position derrière le GT 40 n° 7 de Hobbs-Hailwood (qui terminera 3e) et vous êtes suivi à 30 m environ par la Matra n° 34 de Servoz-Gavin-Muller. Vous double-t-il avant Maison Blanche ?


TP Non, j’avais doublé la Matra dans la ligne droite (rires) alors après, ce n’était pas possible de passer. Donc à Maison Blanche il ne m’a pas doublé, car la piste n’était pas large et personne ne prenait le risque de doubler !


MF Quelle vitesse de passage à Maison Blanche avec la 33 ? Vous descendiez un rapport avant ?


TP 240-250 environ, on passait à fond sans descendre de vitesse. Quand j’ai tourné avec Mc Queen pour le film le Mans avec la 512, on passait à fond aussi !


MF Donc vous n’avez pas pu voir l’accident de John Woolfe ?


TP Non, c’est au 2è tour que je suis passé au ralenti à travers les débris et que j’ai vu les dégâts ! Mais je ne savais pas qui c’était !


MF Avez-vous entendu parler de l’accident au 1er relais ?


TP Oui, mais sans beaucoup de détails. Il y avait eu un accident grave, mais ça se limitait à ça ! Je l’ai appris après, mais on ne parlait pas des accidents avec les autres pilotes ! Les Porsche étaient des voitures puissantes et très rapides, faciles à conduire, même la 917 (fraîchement homologuée comme « voiture de sport de série Groupe 4 »). Par rapport aux italiennes et aux anglaises en tout cas. Mais avec beaucoup de puissance, la vitesse était là ! Une 917 était en définitive plus facile à conduire que la 33 qui était carrément inconduisible ou, plus tard, la Lola T70 qui se révéla compliquée aussi. Des Ferrari, j’ai conduit la 512 où tout était lourd, l’embrayage comme les freins. Il fallait monter dessus avec les deux pieds, car les pompes étaient des pompes de camion sans servo. Les moteurs à carburateurs étaient en revanche assez souples !


A suivre...

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Suite et Fin.

MF La Ferrari 512 était la voiture la plus puissante que vous ayiez conduite ?


TP Non, c’était la Mc Laren Canam avec le Chevrolet V8 de 8,5 litres double turbo de 1200 ch ! Plus rapide que les Porsche 917/10 en ligne droite, mais au freinage c’était la catastrophe et la Porsche passait devant. Une « Canam », c’était beaucoup de puissance, mais si vous faisiez une erreur, vous la récupériez rapidement. J’ai beaucoup aimé ces courses car l’ambiance


était formidable. Aujourd’hui il n’y a plus de Canam mais sur les courses américaines, l’ambiance est toujours la même, ce qui n’est plus le cas en Europe où tout est commercial !


MF Combien de puissance sur la 33 ?


TP 300-310 ch si mes souvenirs sont bons… Un peu plus de 120 ch au litre !


MF Teddy, ça nous ferait plaisir si vous acceptiez d’écrire la préface du livre !


TP Oui, d’accord ! Ok je m’en occupe maintenant !


MF Que faites-vous aujourd’hui ?


TP Je profite d’être encore en vie… Intact ! D’avoir du temps libre aussi… J’ai abandonné l’école de conduite sur le circuit de Zolder à la mort de mon père, car les conditions nécessaires à son maintien en activité n’étaient plus réunies !


MF Où habitez-vous ?


TP En Thaïlande !


MF Merci beaucoup, Teddy, et à bientôt pour une interview sur le film le Mans !


TP Pas de problème, vous avez mes coordonnées !

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Revenons au quizz !

Qui peut me dire quel est cet accrochage, où, l'année, les pilotes et les voitures ?

Petit indice. Cela s'est terminé de façon dramatique avec 2 décès







Bravo au photographe !

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Accident entre Gilles Villeneuve et Ronnie Peterson au Japon en 1977

Gilles Villeneuve à son époque « Air Canada », renverse sa McLaren après avoir heurté la Tyrell P34 à six roues de Ronnie Peterson. (Le jeune loup affamé commet beaucoup d’erreurs et manifeste une impatience préjudiciable. A tel point qu’on en vient à le surnommer « Air Canada » pour mettre en avant sa propension à envoyer sa monoplace dans le décor.)

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1er GP de Villeneuve sur Ferrari lequel remplace Niki Lauda parti lors des essais du GP du Canada. Son entrevue avec le Commendatore à Modène est des plus orageuses, Lauda déclare vouloir s'en aller et rien de plus alors que Ferrari se sent furieux et trahi de voir son pilote ainsi quitter l'écurie avant le terme de la saison. Lorsque Lauda prend les commandes de son avion privé à Modène, il est mis en attente deux heures durant par la tour de contrôle. Le contrôleur lui déclarant « vous quittez Ferrari, fini les privilèges ! ». Il obtient le Grand Prix de l'Académie des sports pour son second sacre.


Ah ces italiens !

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@michel lovaty a écrit:
@scuderia57 : ...sauf que Villeneuve conduisait une "Ferrari" et non pas une
"Mc Laren" !!!


Mon pauvre Michel je perds la boule! Je préparais un sujet avec Mc Laren et j'ai été pris dedans, il va de soit que c'est Ferrari d'ailleurs on la reconnait bien. Sorry. confused

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N° 29

Qui est à côté de Guy Ligier lors du CLASSIC days LIGIER.


Son nom est très connu dans la F1.

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Le bon vieux temps ou les Français étaient présents !

Aujourd'hui on a le droit à une court de maternelle, c'est plus de mon âge...

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N°29 Le fiston du deuxième en partant de la droite sur la photo du dessous ...vous m'avez suivi Suspect

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As tu y étais aussi, moi du côté du petit pont avant Thèdes ...Amon et sa MATRA quelle symphonie...

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Vous avez finit tout les deux de nous faire rêver. Je suis surpris que l'autre Auvergnat @enrimores n'ai pas répondu à ce quizz qui était facile, surtout pour lui qui était un copain de Patrick son père quand il étaient à Clermont Racing !

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Je ne sais exactement où, mais c'était en hauteur un derrière les stands.

Le V12 résonnait de façon merveilleuse. J'avais aux essais fait beaucoup de photos dans le paddock sur la MATRA avec les rapports de boîte à nus, et Bébel qui rallait auprès de Martin (et pourtant il était chez BRM). J'ai tout perdu. Mais Charade quel circuit et quelle ambiance !

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Ce qui me reste ce sont des photos de 1969 à l'épingle Rosier et un enregistrement sur une cassette de 30 minutes du départ et du ralentissement avant Rosier. Fabuleux les bruits du Cosworth et du V12 Ferrari...Bong sang quelle joie de réécouter !

Pas besoin de 1000 ch pour avoir la chair de poule !!!

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On arrête car tout le monde va baver pendant toute la journée...et puis j'ai faim ! A plus cher scuderia 57 !

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Je te remercie @CMTARGA, mais je les avais celles là. On ne sait jamais si quelqu'un entend mon appel.

Je ne vais d'ailleurs plus sur Autodiva, je me suis fait moi aussi lunché, je laisse donc ces braves gens entre eux.

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Que cherches tu exactement CHARADE en règle générale ou la F1 à CHARADE 1965-1969-1970-1972?

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De tout du début jusqu'aux derniers jours du grand tracé, que ce soit en Auto ou en moto.

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J'ai pas mal de photos pour la F1 publiées ça et là dis moi je regarderai...

En attendant N°30 STUCK à MONACO sur la MARCH 741 de ...74

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@scuderia57 .

N°30 : Hans Stück Jr(March 741) en 1974.


PS: si cela peut te consoler,je me suis fait "virer" d'Autodiva car le patron,
Gérard Gamand,ne supportait pas que quelqu'un d'autre puisse faire valoir
des connaissances que lui n'avait pas !!!

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@michel lovaty a écrit:
@scuderia57 .

N°30 : Hans Stück Jr(March 741) en 1974.


PS: si cela peut te consoler,je me suis fait "virer" d'Autodiva car le patron,
Gérard Gamand,ne supportait pas que quelqu'un d'autre puisse faire valoir
des connaissances que lui n'avait pas !!!


Ça ne me surprend pas !! Mais c'est une drôle de politique? Moi je ne demande qu'à apprendre et j'apprends avec des personnes comme toi, c'est super...

Pour en revenir à nos moutons,
Nº 32

Qui prends son vol?

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