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amatoys

Attention !

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Petit scoop pour le forum.

Un couple de Suisses a répondu, juste avant de partir en vacances, à un e-mail à l'entête (bidon) de Riccardo.ch (notre Ebay à nous) demandant de confirmer leur mot de passe et nom d'utilisateur sinon les ventes en cours allaient être annulées.

Résultat : Ils croulent sous les paquets, ont passé leurs vacances à se faire menacer et insulter par téléphone, ont même eu des gens fâchés venir jusque chez eux, ont 2,5 millions de dettes, ont réussis à acheter jusqu'à 20 voitures (Ech.1) en une minute etc... Chez Riccardo, ils ne peuvent rien faire et ne sont pas responsables.

(Page 7 de la Tribune de Genève, ce matin)

Elle est pas belle la vie...

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Invité

Suite à ton scoop, le ch'tiot papy, alias speedy ricardo, a pris un jet au bouget pour investir sur la pelure, aussitôt, scéance photo et publication sur le fofo, bon, maintenant, je rentre en stop..
Crying or Very sad

Voilà l'travail...... clown



Suisse

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Arnaqués sur Ricardo.ch, ils auraient acheté 200 voitures
INTERNET | 00h00 L'escroquerie débarque tout juste en Suisse romande. Victimes d'usurpation d'identité, Reto et Audrey Gfeller se retrouvent avec 2,5 millions de francs de dettes. Et le site les laisse se dépêtrer tout seuls.
Ça ne rigole pas dans le petit monde des enchères sur Internet. Depuis deux semaines, Audrey et Reto Gfeller sont harcelés jour et nuit par des centaines de vendeurs fâchés d'apprendre qu'ils ne verront jamais la couleur de leur argent. «Ça devient un vrai cauchemar: personne ne nous croit lorsqu'on dit que ce n'est pas nous qui avons acheté leur «superbe pick-up» sur le site Ricardo.ch!» Ni les 200 autres cabriolets de luxe, occasions ou roadsters flambant neufs qu'ils sont censés payer comptant.

Chaque matin, les deux Vaudois découvrent des dizaines de SMS d'insultes. Et la boîte aux lettres déborde de colis de caméras numériques, lentilles de contact, téléphones portables, lunettes solaires ou encore ventilateurs. Une véritable caverne d'Ali Baba d'une valeur de 2,5 millions de francs. S'il n'est pas question de payer, les renvois aux expéditeurs finiront par coûter cher. Sans parler des tracas! «La semaine dernière, trois Bernois furax sont même venus, au volant d'une voiture neuve, nous menacer chez nous.» Avec la promesse de leur trancher la gorge s'ils ne s'acquittent pas de leur dû. «L'avidité ronge vraiment certaines personnes et chacun y va de sa petite loi, avec avis d'échéance, frais de rappel, etc. C'est tellement énorme qu'il vaut mieux en rire... mais ça commence à devenir très flippant!»

La mésaventure a commencé fin juillet. Madame souhaitait écouler quelques vieux objets encombrants. En toute confiance, elle les met en ligne. Comme un million d'adeptes du célèbre site suisse. Ricardo.ch se vante de voir apparaître 15 000 nouveaux objets chaque jour sur ses rayons virtuels. Avec un taux d'arnaque de moins de 0,1%.

Pseudo et mot de passe
A quelques heures des vacances, alors que les enchères montent petit à petit, Audrey Gfeller reçoit un mail à l'en-tête du service clients du portail Internet: sans réponse de sa part, son compte sera désactivé dans les quarante-huit heures. Et logiquement, déduit-elle, toutes ses transactions en cours annulées. Pour sauver ses bonnes affaires, elle clique sur le lien, entre ses pseudo et mot de passe puis s'en va boucler ses valises.

La jeune femme ne le sait pas encore, mais elle a été victime de «phishing». Le site Internet sur lequel elle a été dirigée était un leurre. Munis de ses codes, des fraudeurs peuvent désormais boucler des affaires en son nom. Dès 23 h 57 le 30 juillet, la valse infernale des achats démarre sur le site original. Elle durera deux heures et demie. Comme à l'accoutumée, pour chaque transaction, le vendeur reçoit le pedigree complet d'Audrey, avec adresse et numéros de téléphone, afin de convenir du mode de livraison. De quoi pourrir les vacances de la petite famille, qui se dore déjà sous le soleil de Croatie: «Quand on a reçu les premières confirmations d'achat, on ne comprenait rien! On a passé notre séjour à tenter de gérer ce qui nous arrivait.»

Lâchés par Ricardo
De retour en Suisse, ils avertissent Ricardo.ch. «Ma femme aurait acheté huit voitures en une seule minute! Quand on voit le relevé, c'est clair que seul un système informatique estcapable d'agir aussi vite.» En vain: le site, basé à Zoug, n'en a rien à faire. Conditions générales à l'appui, le service clientèle explique que son seul rôle est de jouer les intermédiaires. Il accepte uniquement de ne pas toucher sa commission sur les transactions frauduleuses. Mais pas question de signaler l'arnaque aux vendeurs prétérités: «Si nous contactions tous les vendeurs, nous prendrions indirectement votre responsabilité.» Et Ricardo de rappeler qu'il a perdu lui aussi de l'argent: «Pire encore, nous perdons des lésés et leur entourage qui se serait inscrit un jour.»

Dépassés, Audrey et Reto Gfeller ont porté plainte pour usurpation d'identité auprès de la police vaudoise. Cela leur assurera de ne pas se retrouver aux poursuites. Mais pour l'heure, l'avalanche de plaintes ne s'arrête pas. Le couple est sûr d'une chose: ils ont leur dose des ventes aux enchères!

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Quand vous achetez une miniature, attention à bien contrôler ce qu'il y a à l'intérieur, histoire de ne pas ramener des sal..... à la maison



clown

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