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Schumette80

[Actu] Dans nos salles...

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General Lee, la Dodge Charger 1969 de Dukes of Hazzard !



Dukes of Hazzard, une série de légende !

C'est en 1979 que Paul Picard, un producteur visionnaire de chez Universal Studios, lança une série télévisée que chacun d'entre nous connait et qui allait devenir une série culte pour toute une génération : Dukes oh Hazzard, en français : Shérif, fais mois peur !
La grande héroine de cette série, Général Lee, une Dodge Charger de 1969 orange, aux portes soudées, fanquée du chiffre 01 et le toit recouvert d'un drapeau sudiste, fut choisie pour la série. Il était convenu que les cousins Dukes conduiraient un muscle car, la Dodge Charger fut choisie !



Pour les 147 épisodes de 50 minutes de la série Dukes of Hazzard, un multitude de Charger furent utilisées, de toutes les motorisations : des 6 cylindres, des V8 et même des R/T, ces dernières étant épargnées lors des sauts monstrueux et autres cascades, pour servir uniquement lors des prises de vue rapprochées. D'après les cascadeurs de la série et les employés de chez Universal, près de 300 Dodge Charger furent sacrifiées en 6 ans de tournage, à raison de deux voitures par épisode environ, et de 3 caméras par cascade.
En effet, contrairement à ce que voulait faire croire la série, la Dodge Charger orange ne sortait jamais entière de ces nombreuses cascades. Celà allait de la destruction partielle, et dans ce cas les voitures étaient démontées ou remises en état suivant le niveau de dégâts, à la destruction totale, la belle Dodge partait alors directement à la ferraille. Pour la petite histoire Général Lee était lesté de plaques de plomb ou de sacs de sable dans le coffre pour rester à plat en l'air, ce qui aggravait les dégats lors de l'atterissage.



Il est impossible de dire exactement ce qu'il est advenu de toutes ces Dodge Général Lee, le secret était bien gardé autour de ces autost, les producteurs refusaient que le public sache que les Charger étaient tout le temps détruites, et gardait tout les épaves préciseusement. Ainsi les voitures partant à la casse se voyaient dépouillées de tous les éléments qui auraient permis de les identifier, le tout était stocké dans des dépots de la Production.

Mais même pour une série télé, il existe des limites ... en 1985, devant la consommation astronomique de voitures, les producteurs décident d'arreter les frais. Terminé donc les cascades monstrueuses, on met amors en place l'usage intensif de maquettes, ce qui était d'actualité à l'époque. La série y perdra une grande part de son intérêt et perdra toute crédibilité car l'emploi des modèles réduits s'accompagnera de sauts invrasemblables ... Aujourd'hui, il ne reste que 17 Dodge Charger de cette grande épopée. La plupart appartiennent à des collectionneurs privés. John Schneider le comédien incanant le blond Bo Duke, possède un exemplaire en parfait état, équipée du fabuleux moteur V8 426 ci Hemi de 425 chevaux.

A noter qu'en 2005, cette série télévisée a été portée au grand écran, trois des principaux rôles de Shérif, fais-moi peur ont été attribués à des valeurs montantes d'Hollywood : Seann William Scott, incarne Bo Duke, Johnny Knoxville, le cousin Luke, enfin, Jessica Simpson, chanteuse à succès dont c'est ici la première expérience sur grand écran, se glisse sous les traits de la sexy Daisy. Ces trois comédiens sont entourés des expérimentés Burt Reynolds (Boss Hogg) et Willie Nelson (Oncle Jesse).
Dans le comté de Hazzard, en Georgie, les cousins Luke et Bo Duke vivent sur une ferme avec leur cousine Daisy et leur oncle Jessie, à qui ils donnent un coup de main dans son commerce d'alcool de contrebande. Les deux cousins sont inséparables de leur Dodge Charger rebaptisée General Lee, qui arbore un drapeau de l'armée confédérée sur son toit. Un jour, le riche et influent Boss Hogg organise une course de voitures à laquelle les cousins s'empressent de s'inscrire. Mais il s'agit d'une diversion car Hogg, avec la complicité du shérif Coltrane, cherche à s'approprier la ferme des Duke, ainsi que d'autres propriétés du coin, pour ses futurs projets immobiliers.
Etonnant signe du destin : le tournage de Dukes of Hazzard débuta le 8 novembre 2004, soit 26 ans, quasiment au jour près, après le premier jour de tournage de One armed bandits, premier épisode de la série d'origine. Pas moins de 26 Dodge Charger Général Lee, datant de 1968 et 1969, furent utilisés pour les besoins du film Shérif, fais-moi peur. Une voiture ayant été utilisé dans la série d'origine fut même amenée sur le plateau, en guise de clin d'oeil nostalgique.

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"Autoroute racer" :

Leur passion : des bolides suréquipés avec lesquels ils organisent des courses sur l'autoroute. Leur problème : la police est à leurs trousses et les soupçonne d'être responsables de spectaculaires vols de voitures de luxe...

Pour Karl, un jeune officier de police, l'objectif était de les pister et d'accumuler les preuves à charge... du moins jusqu'à ce qu'il découvre Nicki, une bombe au volant d'une bombe (BMW M3, admirez la photo!). Séduit par la jeune femme et le groupe de pilotes extrêmes, Karl découvre un univers qu'il ne soupçonnait pas, fait d'adrénaline et d'exploits. Ecartelé entre sa hiérarchie et sa fascination, il va tout faire pour aider ses nouveaux amis à démasquer les véritables responsables des vols...






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Voici l'histoire des portes papillons les plus connues de toute l'histoire automobile, notamment grace au film "back to the futur", et je pèse mes mots!

En 1972 John Z. DeLorean fut nommé vice-président du groupe. C'est à partir de ce moment là que la carrière de DeLorean va prendre une nouvelle orientation. Il donna sa démission en 1973, c'est ce qu'il a toujours affirmé, bien que nombreux étaient ceux qui prétendaient qu'il avait été poussé à le faire …

Quoiqu'il en soit, en 1973 John Z. DeLorean décide de voler de ses propres ailes.

Son objectif était de construire un coupé à moteur arrière avec lequel il deviendrait leader dans ce créneau sur le marché nord-américain, il vise à concurrencer Porsche entre autres.

Pendant quatre ans, DeLorean parcourt le monde avec son projet sous le bras à la recherche des appuis financiers.

C'est finalement en Irlande qu'on lui prètera une oreille favorable. Voila donc notre Joh, installé dans son usine a Dunmurray près de Belfast dans cette pauvre Irlande du nord. La DoLorean DMC-12 (unique modèle d'ailleurs !) est issue d'un projet de Giorgetto Giugiaro en 1974, ce coupé à moteur arrière possédait une carrosserie en matière plastique, mais était recouverte de panneaux en acier inoxydable non peints, ce qui lui donnait ce ton argent caractéristique.

C'est peut-être cette matière qui a retenu la voiture pour le rôle dans la trilogie"Retour vers le Futur" … allez savoir ! Pour souligner l'originalité, Giugiaro avait repris la configuration portes " papillon " de la Mercedes 300 sl.

Le premier prototype fut construit en 1976, avec une transmission de Citroën CX, puis on y a ajouté un moteur de CX, ensuite remplacé par un moteur Renault V6.

Et c'est là que Lotus intervient dans le projet, fin 1978. Le travail est effectué en moins de deux ans, et la première voiture de pré-série achevée en décembre 1980. Le moteur en position centrale fut nettement reculé en position arrière à la demande de John Z. DeLorean (il y tenait très fort !).
Le comportement routier de cette auto n'était pas si bon que pour les voitures à moteur central, mais cela restait honnête, grâce à l'utilisation de pneus plus larges à l'arrière qu'à l'avant. Pendant deux ans la production sera entièrement exportée outre-atlantique, transportée par des boeing.

En raison des sévères normes anti-pollution en vigueur aux Etats Unis, le V6 était affublé d'un pot catalytique et ne développait plus que 132 chevaux pour un 2,8 litres et 1300 kg! Une version suralimentée était urgente, mais elle ne vit jamais le jour. Le projet d'un modèle quatre places non plus d'ailleurs.

Les DeLorean ne sont pas assez fiables, les problèmes ne sont pas assez rapidement résolus, la production chute, le gouvernement de Margaret Tatcher refuse de réinjecter de l'argent frais dans cette usine, et c'est la banqueroute.

Voici un document retraçant la production / mois de la DMC-12 !



Un scandale financier éclate quant à l'utilisation des fonds publics. L'aventure de John Z. DeLorean s'achève dans les bureaux de la police.

Fabriquée de façon peu rigoureuse, relativement peu performante et sans aucune image de marque, cette voiture née d'un rêve fou restera à jamais l'un des plus grands " bides " de l'histoire de l'automobile, avec seulement 9200 véhicules (approximativement). En fait la DeLorean DMC-12 ne fut qu'un prototype de salon très séduisant.

Voici la DeLorean classique avec son crateur :



Et puis voici celle que l'on peut voir dans le film :

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general lee un pur mythe et le concept audi pr I robot etait pas mal du tout et que dire de la delorean rien qu a revoir ses images ca donne envie de matter la trilogie Laughing

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Voici encore une voiture legendaire qui ait apparu sur nos ecrans dans le film "Le Mans" avec le célèbre Steve Mcqueen. Il sagit bien evidemment de la porsche 917 aux couleurs GULF.

Tout d'abord il faut etablir le contexte de l'epoque.
La puissance de rêve du sport automobile était à son zénith : les images étaient rares, et quelques privilégiés seulement avaient accès à cet univers magique dont les héros affrontaient la mort avec un détachement feint. Il était donc bien naturel que les "24 Heures" soient un jour l'hôte des écrans du 7ème Art.
Il faut bien se souvenir qu'en cette fin des années 60 début 70, les épreuves d'endurance étaient aussi populaires que la F1, et que notamment l'engouement autour des "24 Heures" était particulièrement vif : au Mans, mais aussi à Sebring et à Daytona, sur l'effrayant Nürburging (ancien tracé) ou sur les terribles petites routes de la Targa Florio, de somptueux duels opposaient des voitures aussi extraordinaires que les Porches 908 et 917, les Ferrari 512 S,les Alfa Roméo 33/3, les Matra MS 650 et 660, les Chevron B 16 et autres Lola T70.
Et les plateaux de pilotes étaient évidemment à la hauteur : Andretti, Redman, Donohue, Courage, les frères Rodriguez, Siffert, Elford, Hailwood, Ickx, Merzario, Regazzoni, Stommelen, Peterson, Bell, Hill, Cevert, Pescarolo, Beltoise, et autres Larrousse,Servoz-Gavin et Amon... le gratin mondial alternait F1 et Endurance !

Une fois ce contexte posé, on peut parler du film.
Le Mans ? Il en rêvait. Mais pas ses assureurs... Alors, il les fera un peu par film interposé. Ainsi naîtra "Le Mans" en 1970, film écrit par Harry Kleiner, produit par Jack N. Reddish et réalisé par Lee H. Katzin, avec une musique originale de Michel Legrand. Et surtout, Mc Queen fera ce qui lui tenait le plus à cœur : une ode au sport automobile et à la compétition, une hymne aux 24 Heures, qu'il aimait par dessus tout, et un hommage aux pilotes, et à leurs entourages, mécanos, ingénieurs, techniciens...

Tout ce qui avait été fait auparavant sur le sujet avait été très décevant, y compris "Grand Prix"(1966), avec James Garner. Des réalisateurs et des acteurs aussi réputés que Howard Hawks, John Frankenheimer, Paul Newman ou Kirk Douglas avaient eu beau s'attaquer au problème, nous n'avions droit qu'à des navets. Puis vint McQueen.
Même s'il n'a ni écrit le scénario ni conçu la mise en scène, c'est "son" œuvre : il s'est investi comme jamais, et il a donné le meilleur de lui-même. Il voulait un film "vrai" sur le sport automobile, ni plus ,ni moins. Une histoire qui sonne juste. Et quand un scénariste ou un réalisateur essaiera de pervertir le film, il les virera. Ou les fera virer. Il est prévu de débuter les prises de vues au printemps 1966, mais Steve part en Asie pour le tournage de "La canonnière du Yang Tsé" qui dure cinq mois de plus que prévu. De son côté, James Garner signe pour jouer le rôle-titre de "Grand Prix". Manifestement le projet de Frankenheimer est beaucoup plus avancé au point d'en être à louer plusieurs circuits. Finalement, le coup de grâce semblera venir de l'associé de Steve : Jack Wamer qui déclare brutalement qu'il n'a pas l'intention de produire un second film sur le Sport automobile. Quatre ans de travail passent à la trappe.
Pour commencer, il s'assurera la collaboration de professionnels authentiques, confiant un rôle important à Derek Bell de conseiller technique ou même d'acteur. Beltoise, Larrousse, Pesca, Jabouille et d'autres encore feront office de conseillers techniques. Fort de son budget de 5.5 milliards de francs de l'époque - il voulait être à l'aise de ce côté là - Steve s'occupera ensuite de louer ou acheter les véritables héroïnes des véritables 24 Heures :porche 917, Ferrari 512, Matra 650, etc... Résultat : le film sonne juste.
Pas d'hémoglobine pour l'hémoglobine. Pas d'hystérie. Pas de scènes surréalistes avec des cascades invraisemblables. Rien d'outrancier, ni dans le personnage incarné par Mc Queen, Mike Delaney, qui n'a rien d'un matamore - d'ailleurs il ne gagne pas les 24 Heures -, et auquel Steve donne une remarquable épaisseur humaine.
Côté fesses, sexe, amour et bons sentiments (tout ça c'est pareil), le scénario ne prévoira que le strict minimum. Il fallait bien une histoire ! "Le Mans" est un film fait par un fan pour les fans, et d'ailleurs dédié à "ceux qui ont perdu la vie" sur le circuit des 24 Heures.

Synopsis du film :
Michael delaney, pilote de course americain joué par McQueen, revient à la competition un an aprés avoir gravement été accidenté en course.Alors qu'il se prépare à affronter son rivale, l'allemand Erich Stahler, joué par sigfried Rauch, dans le cadre des 24 heures du mans, une histoire d'amour débute avec la femme de Belgetti, joué par la superbe Elga Andersen, le pilote qui à péri l'année précédente dans l'accident dont McQueen a rechappé de justesse.

Voici l'héroine du film, la porsche 917 :







Mais la porsche n'est pas la seul, comme il a été dit plus haut il y a aussi sa plus grande rivale, dans la vie comme a l'ecran, la Ferrari 512 S :



Puis la matra 650 moins connue :

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General lee rah c'était bon ca avec les portes soudées ils montaient et descendait par l'ouverte de la vitre!!!
Retour vers le futur que dire une trilogie que j'ai vu vu revue et lorsqu'elle repasse à la tv je regarde encore avec les répliques type de doc"Nom de zeusssssss" trop bon!
Dans autoroute racer il y avait uen bmw 2002 si je ne me trompe pas?

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Et encore une légende, décidement je vous gate, il sagit de la mustang Fastback GT dans "Bullit", la encore avec Steve Mcqueen.

Bullitt, un lieutenant de police, est chargé par un politicien ambitieux de protéger Johnny Ross, un gangster dont le témoignage est capital dans un procès où est impliqué l'homme politique. Malgré les précautions prises par Bullitt et ses hommes, Ross est grièvement blessé, puis achevé sur son lit d'hôpital. Bullitt s'aperçoit alors que la victime n'était pas le vrai Ross...

Pour ceux qui l’ignorent, cette oeuvre audio-visuel devint une référence notamment pour sa course-poursuite mythique qui opposa une Dodge Charger à une Ford Mustang Fastback GT de 1967 dans les rues de San Francisco.







La mustang bullit a été remise au gout du jour, on retrouve ainsi le fameux coloris Dark Highland Green (elle sera aussi disponible en noir), les jantes au dessin similaire à celles de 1967, l’absence de l’emblème Mustang sur la calandre et un blason estampillé "Bullit" en guise de poignée de coffre. A l’intérieur on remarque le nouvel habillage très retro en aluminium bouchonné sur la planche de bord qui restera une exclusivité de cette série spéciale Bullit.
Outre les quelques modifications de style, cette Mustang profite d’un remaniement de la mécanique et délivre à présent 15 chevaux de plus que la version initiale. Pour cela, des améliorations ont été portées à l’admission d’air. Le V8 de cette série spéciale Bullit offre ainsi 315 ch et 442 Nm de couple. Les rêveurs qui souhaiteront s’offrir l’un des 7 700 exemplaires produits devront débourser près de 31 000 dollars soit moins de 24 000 euros. Un tarif plus qu'intéressant pour un tel de véhicule.











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Sur la droite il y avait aussi la tite bmw e10 turbo dans autoroute racer Wink ms c clair que la e46 m3 dans sa robe jaune est superbe :p ( sans parler de celles qui sont au volant mdr )

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cti-59 a écrit:
General lee rah c'était bon ca avec les portes soudées ils montaient et descendait par l'ouverte de la vitre!!!
Retour vers le futur que dire une trilogie que j'ai vu vu revue et lorsqu'elle repasse à la tv je regarde encore avec les répliques type de doc"Nom de zeusssssss" trop bon!
Dans autoroute racer il y avait uen bmw 2002 si je ne me trompe pas?


C'est bien cela il sagit d'une 2002 orange mais malheureusement je n'ai pas de photos. D'ailleur elle ne suportera pas le traitement des courses Laughing . Mais c'est un bien pour un mal puisque ensuite il prend la porsche de la police.

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matthew59 a écrit:
Sur la droite il y avait aussi la tite bmw e10 turbo dans autoroute racer Wink ms c clair que la e46 m3 dans sa robe jaune est superbe :p ( sans parler de celles qui sont au volant mdr )



J'aime surtout lorsqu'elles passent devant le radar Laughing

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C'est clair mais tout n'est pas a jeter dedans, moi j'y etais allé juste pour voir la lamborghini mais hyper decu on la voit presque pas cry

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Steven Spielberg est un amateur de Lexus. C'est pourquoi il a personnellement demandé à la marque de lui concevoir un véhicule futuriste pour sa dernière production. Ce modèle 2054 comporte, entre autres, un moteur électrique de 500 kW et des batteries à recharge intelligente, des serrures à reconnaissance d'ADN, un autodiagnostic, un système de concierge activé par la voix et un contrôle de stationnement assisté par sonar. Il n'en fallait pas moins pour transporter Tom Cruise.



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Pour ceux d'entre nous qui auraient vu "Mr et Mme Smith", ils auront pu remarquer qu'il y avait trois M5 e39 du plus belle aspect.
Elles nous ont offert une superbe course poursuite sur le highway, mais malheureusement elles finissent toutes en pièces détachées et oui c'est souvent comme ca avec les voitures de méchants Laughing .

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Pour aujourd'hui ce sera encore une legende cinématographique, il sagit de Mad Max. Un film futuriste dans lequel le héros roule dans "l'interceptor" qui est en une ford falcon XB GT de 1973.
Cette voiture est essentiellement produite en australie mais pour les lignes on peut penser que c'est basé sur la carosserie d'une ford torino 1970 américaine.
Pour ce qui est du moteur, celle du film embarque un bloc 351ci et un compresseur weiand qui dépasse "juste un peu" du capot.
Pour les besoins du film, elle dispose aussi un kit carrosserie ainsi qu'une bonbonne de NOS pour envoyer 600 chevaux en pleine charge.
Il paraitrait que 4 voitures ont été fabriquées pour le film, cependant une douzaine de repliques circulent.
Si une telle voiture vous interesse, en australie il est possible de touver des fabricants de répliques qui feront la meme pour environ 60000 euros.



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"Boulevard de la mort" (Death proof), ou À l'épreuve de la mort (en version française du Québec) est un film américain réalisé par Quentin Tarantino faisant partie du diptyque Grindhouse, sorti le 6 juin 2007.

Synopsis :
Stuntman Mike « Mike le cascadeur » (Kurt Russell), un psychopathe, sillonne les routes en tuant les femmes qu'il trouve sur son chemin. Pour cela il a une méthode bien particulière, il se sert uniquement de sa voiture (chevrolet Nova).

On peut entre autre apercevoir dans le film chevrolet nova, Dodge Charger RT, Dodge Challenger RT et Mustang Fastback.

La chevrolet nova :



La dodge charger RT :



La dodge challenger RT :





Et enfin la mustang fastback :

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Voici ce que sera le "véhicule" de remplacement de la Batmobile, détruite au cours du prochain film en cours de préparation : une moto un brin spéciale, située entre le Quad et le Buggy. Le Batpod (c'est son nom), proposé par Lucius Fox (interprété par Morgan Freeman) remplacera donc la Batmobile avec elle aussi ses gadgets high-tech.

The Dark Knight, pour nous Batman begins 2 verra donc arriver ce nouveau véhicule qui cette fois-ci sera plus proche de la moto. Autre fait remarquable et pouvant être "symbole" pour nous petits français, c'est Jean-Pierre Goy, un stunter-cascadeur français qui a effectué les dernières mises au point de la machine dans un lieu tenu secret en Angleterre afin quelle soit prête pour le tournage de cet été.

Il est donc pour l'instant le seul à l'avoir "chevauché" avec ses roues avant et arrière motrices de 508 millimètres. Par contre pour l'instant aucune fuite sur le moteur puissant qui l'anime ou le coût d'une telle réalisation. Le bolide a été imaginé par Nathan Crowley, créateur de la déjà incroyable «Batmobile» pour le précédent film «Batman Begins».







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"Braquage a l'italienne" :
Une bande de cambrioleurs américains réussit à subtiliser dans une villa de Venise 35 millions de dollars en lingots d'or.

Mais peu de temps après, Steve, l'un des malfrats, assassine froidement le perceur de coffre-forts John et s'enfuit avec le butin en laissant ses autres complices pour morts, y compris Charlie, le cerveau de l'opération. Un an plus tard à Philadelphie, ce dernier, qui a survécu, apprend que Steve s'apprête à fourguer les lingots à Los Angeles. Il convainc alors Stella, la fille de John, de l'aider à se venger du traître en allant lui voler les précieuses barres en or dans sa vaste demeure californienne. Pour réaliser son coup, Charlie réunit les autres membres de sa bande, le chauffeur Handsome Rob, le spécialiste en explosifs Left Ear et le génie de l'informatique Lyle. De plus ils choisiront des minis allégées et boostées pour transprter l'or de la villa à la gare.



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