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impre

soldats!!!!

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une petite pensé pour les soldats français morts au combat ces jours ci!!
en afghanistan.......... SadCrying or Very sadCrying or Very sadCrying or Very sadSadSadSadSadSad

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Après la mort de soldats français, vive polémique sur la stratégie en Afghanistan
[ 21/08/08 ]
Un hommage national doit être rendu aujourd'hui aux Invalides aux dix soldats tués lundi dans une embuscade tendue par les talibans. Soumis à fortes pressions, Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois justifié hier, à Kaboul, la décision qu'il avait prise de renforcer le contingent français.
L'hommage appuyé de la nation. Et une vive polémique. La mort dans une embuscade tendue par les talibans, lundi, de dix soldats français envoyés en renfort en Afghanistan cet été, a suscité une très vive émotion en France. Comme si le pays prenait soudainement conscience qu'il est impliqué dans une guerre à quelques milliers de kilomètres de ses frontières. Accompagné de Bernard Kouchner et de Hervé Morin, Nicolas Sarkozy s'est recueilli à Kaboul dans la chapelle ardente installée au QG des forces françaises. François Fillon s'est rendu au chevet des blessés rapatriés en France et une cérémonie nationale - religieuse et militaire - est organisée ce matin aux Invalides. L'ancien président de la République, Jacques Chirac, n'assistera pas à la cérémonie, mais il a tenu hier à s'associer à l'hommage de la nation et a écrit aux familles des soldats morts.

« La liberté du monde »
« C'est la journée de la compassion, de l'unité nationale autour de nos soldats », a insisté Jean-Marie Bockel, le secrétaire d'Etat aux Anciens Combattants, le Premier ministre lui-même appelant François Hollande à « respecter le temps du deuil ». Manière pour l'exécutif de tenter de jeter le discrédit sur les critiques de l'opposition, qualifiées en creux de politiciennes et déplacées.

Soumise à fortes pressions entre les difficultés économiques et les tensions internationales, la majorité cache mal sa nervosité. Devant les troupes, Nicolas Sarkozy ne s'est d'ailleurs pas contenté de mots de réconfort. Il s'est aussi appliqué à défendre sa décision, prise en avril, d'envoyer 700 hommes supplémentaires en Afghanistan. « Je vous dis en conscience que si c'était à refaire, je le referais », a insisté le chef des armées, appelant à « relever la tête » et à « continuer le travail », parce qu'« ici se joue une partie de la liberté du monde ».

Depuis Paris, Dominique Paillé, porte-parole de l'UMP et conseiller à l'Elysée, a renchéri : « Si l'on veut frapper le terrorisme, il est logique de le faire là où est son premier sanctuaire, en Afghanistan. » Une phrase tirée d'une réponse du Premier ministre socialiste Lionel Jospin à l'Assemblée, en 2001, au début de l'opération « Liberté immuable ».

Le débat s'annonce tendu
Sans exiger (comme Arlette Laguiller et Olivier Besancenot) le retrait des militaires français, ni même des derniers renforts expédiés, les socialistes n'ont eu de cesse de réclamer hier la « réorientation » de la stratégie en Afghanistan. Comme à droite, d'ailleurs, le souverainiste Nicolas Dupont- Aignan, le président du MPF Philippe de Villiers ou l'UMP Pierre Lellouche. « Priorité à tout ce qui est effort de reconstruction, de redressement de l'Afghanistan et puis surtout d'encadrement et d'accompagnement de l'armée afghane », a plaidé François Hollande. Sans cela, « on va dans le mur », a prévenu l'ex-ministre de la Défense Paul Quilès. Quant au PRG Joël Giraud, il en a profité pour épingler la restructuration des armées, annoncée en juillet, la fermeture du Centre national d'aguerrissement en montagne de Briançon étant à ses yeux « incohérente au regard de la stratégie d'engagement de la France en Afghanistan ».

Comme le demandaient les socialistes, la commission de la Défense de l'Assemblée doit auditionner Hervé Morin dès le début de la semaine prochaine. Le débat s'annonce tendu. D'autant plus tendu que des soldats cités par « Le Monde » ont épinglé la lenteur de la réaction du commandement et de sérieux problèmes de coordination lors de l'embuscade. Selon l'un d'eux, les forces françaises seraient restées sous le feu ennemi « pendant près de quatre heures sans renforts ».

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je me joint à vous pour cette hommage.


comme ancien militaire - et comme pompier -

les uniformes sont différents mais la fratérnité la solidarité et la camaraderie est la même pour toutes et tous ...

" frères d'armes "















SadSadSad

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