Invité Posté(e) le 14 décembre 2011 Pour info:http://guidetv.france3.fr/jsp/prog/fiche.jspx?idProg=49600163 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
jojoR16 0 Posté(e) le 14 décembre 2011 J'suis devant!Merci.Jojo Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 14 décembre 2011 De rien Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
laveyronais 0 Posté(e) le 14 décembre 2011 je l'ai enregistré et là j'arrive du boulotje regarderais ça demain matin..... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 14 décembre 2011 ... déjà vu sur la RTBF il y a quelques jours, c' est très bien fait ..... pour Renault RTBF = radio & télévision belge francophone, ca passe d' abord chez nous avant chez vous .... Na-na-na .... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 15 décembre 2011 André7575 a écrit: ... déjà vu sur la RTBF il y a quelques jours, c' est très bien fait ..... pour Renault RTBF = radio & télévision belge francophone, ca passe d' abord chez nous avant chez vous .... Na-na-na .... Je confirme. Mais ici, il y a en plus un débat, après le documentaire, avec la petite fille de Louis Renault, Hélène Renault-Dingli ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 15 décembre 2011 Pour info, je cite:"Renault : les héritiers attaquent l'Etat Par Amélie Gautier , le 14 décembre 2011 à 05h00 , mis à jour le 14 décembre 2011 à 22h19 INTERVIEW - Les descendants du constructeur automobile ont demandé mercredi réparation à la justice pour la nationalisation de la firme en 1945. Une sanction contre l'industriel accusé de collaboration pendant la Seconde guerre mondiale. Une de ses petites filles explique à TF1 News leur démarche.Mercredi devant le tribunal de grande instance de Paris, les héritiers de Renault ont demandé réparation à l'Etat pour la nationalisation-sanction de la firme automobile en 1945. L'une des héritières explique cette démarche à TF1 News. La décision, elle, sera rendue le 11 janvier.TF1 News : Pourquoi assignez-vous l'Etat français ? Hélène Renault-Dingli : Parce que nous estimons que la nationalisation-sanction de Renault est inconstitutionnelle. L'ordonnance de 1945 a bafoué plusieurs principes de notre Constitution : la présomption d'innocence, la personnalité des peines, le droit de propriété... Arrêté et emprisonné en septembre 1944, mon grand-père Louis Renault est décédé le mois suivant, sans avoir été jugé. L'ordonnance de 1945 a sanctionné sa veuve et son fils unique, Jean-Louis. C'est une première dans un Etat démocratique. Depuis 2010, tout citoyen peut contester les lois par le biais d'une "question prioritaire de constitutionnalité". C'est pour cela que, grâce à cette QPC, nous demandons réparation pour le préjudice matériel et moral que ma famille a subi. TF1 News : Mais ce procès est aussi un moyen de réhabiliter votre grand-père, accusé de collaboration avec l'Allemagne nazie, non ? H R-D : Non, l'action juridique que nous menons aujourd'hui n'est pas une relecture de l'Histoire. C'est une question de droit pur parce que les droits ont été bafoués. Ce procès, c'est pour les défendre. Ce n'est pas un procès en réhabilitation, mais un procès en indemnisation. Le juge n'a pas à se prononcer sur l'Histoire. Parallèlement, il est évident que nous serions heureux qu'un débat entre historiens s'ouvre. Nous sommes convaincus qu'il faut qu'il ait lieu. TF1 News : Que répondez-vous aux syndicats qui disent que les usines Renault ont tourné à plein régime au profit de l'armée allemande pendante toute la guerre et que la confiscation au profit de l'armée de libération était une décision appropriée... H R-D.: Ils peuvent dire ce qu'ils veulent. Aujourd'hui, la CGT est hors-sujet. Ce n'est pas au juge d'écrire l'histoire, ce n'est pas à la CGT ni même au Parti communiste français de rendre justice. Les accusations de collaboration avec les Allemands ne sont fondées sur aucune preuve. Dès décembre 1944, une commission d'experts mandatée pour analyser les comptes de l'usine a conclu que les usines Renault n'avaient pas fabriqué massivement. En tout cas, pas plus que les autres industriels placés sous le contrôle direct des Allemands. Aussi, ces usines avaient été placées sous le contrôle de trois commissaires allemands de la société Daimler-Benz, elles ont donc travaillé sous la contrainte, le contrôle direct des Allemands. Si l'on suit la définition que le général de Gaulle a donné lui-même de la collaboration active, on se rend compte que les usines Renault n'ont pas produit avec zèle. Elles ont produit sous la contrainte. TF1 News : Quelle image avez-vous de votre aïeul ? H R-D. : Celle d'un homme ayant œuvré toute sa vie pour la collectivité. C'est vrai qu'il avait un plaisir personnel à travailler et à créer, c'était un inventeur de génie. Mais ce que j'aimerais que le public retienne, quand le débat sera moins passionné, c'est l'apport industriel énorme qu'il a légué à la France. Tout le monde connait Louis Renault, l'inventeur génial automobile. Mais tout le monde ne connait pas les autres diversifications. Il a fait des automotrices, il a été l'un des pionniers de l'aéropostale... C'est quelqu'un qui a vraiment donné au pays un outil industriel important. Par Amélie Gautier le 14 décembre 2011 à 05:00" Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites