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Gogo1

Un beau Chassis

Messages recommandés

rallyteam54 a écrit:
Gaulois a écrit:


Séquoïa hhaaaaa


Fallait la poster dans presentation des membres .... pff
Respect !!

Je t'ai déjà dit que je voulais pas t'humilier .... hhaaaaa

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Non mais j'etais au boulot donc ça compte quand même !! Le PC aurait pas été eteint a 4h30 quand je suis rentré, j'aurais pu le prouvé llolol

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Gaulois a écrit:
Il était pas mal ce TOPIC dance


Debout les gars!
Victoire de Marcus en Suède!! de l'enthousiasme que diable!!

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Un beau chassis ....Une belle Suèdoise enfin ....Une SAAB , une VOLVO ....Allez lààààààààà hhaaaaa

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Mouais ....Ben je dois être d'une autre génération on va dire ça comme ça ...




Je sais pas , moi quelque que chose de plus authentique ...Une valeur sure ... hhaaaaa



Par exemple .... :pprrrrr

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La soeur cachée de Marthe VILLALONGA, qui pour ceux qui ne le savent pas est la mère cachée d'aleks ... donc c'est tante cachée cachée d'aleks ... hhoohhaaaaa

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PLIZZZZZ hhaaaaaC'est Marie-Pierre Casez ...De la PUB Pliz ,
-"Ah si j'avais su , je le ferais pas tous les jours"-

Un truc comme ça !

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BEAUX CHASSIS EN QUETE D’HOMMES

La direction de la filiale poids lourds de Renault parle de licenciements Les communistes rassemblent pour qu’on embauche en s’appuyant sur les besoins du marché. Une perspective qui s’impose peu à peu dans les usines de Vénissieux et d’Annonay

De notre envoyé spécial

« IL n’y a pas d’état d’âme chez RVI ». Lancée par Jean-Pierre Capron, P-DG de Renault Véhicules Industriels, cette formule méprisante annonçait un milliard de francs de bénéfices réalisés en Europe (1,5 milliards de francs en France), cent deux millions de francs de pertes chez Mack aux USA (filiale à 100% de RVI), et un projet de 829 suppressions d’emplois. « Une aberration » dit Gilbert, un ouvrier parmi les 5.800 salariés que compte l’usine mère de Vénissieux (Rhône).

Gilbert est communiste. Là où il travaille, un bâtiment gris abritant le montage des moteurs de l’AE, le plus beau camion de l’année 1990, les conditions de travail se sont dégradées. « Alors qu’on manque de bras, on exige de nous un rendement plus élevé. On est chaque jour obligé de changer de poste, car le montage des moteurs reste souvent en rade par manque de pièces ». Le « juste à temps » visant à éliminer les stocks jusqu’au point zéro - « de manière à réaliser des économies » affirme la direction- aboutit à l’inverse de son objectif. Avec çà, alors que l’encadrement ne parle que des Japonais, il n’est pas rare de croiser un groupe de techniciens de l’usine, occupés à repeindre les marques au sol de l’usine....

« Quel gâchis ! » estime cet adhérent de la CGC, qui depuis quelques temps manifeste de l’intérêt pour les arguments de la CGT. En décembre la CGT a organisé une consultation sur les besoins en effectifs. Des conclusions diamétralement opposées à celle de Jean-Pierre Capron sortirent des urnes. « La majorité des travailleurs ont dit qu’avec un marché du véhicule industriel en augmentation en France et en Europe, si on ne veut pas laisser le terrain libre à la concurrence étrangère, il faut embaucher chez RVI » signale Marc Blain, secrétaire de la coordination CGT du groupe.

La CGT revendique 2500 embauches pour rendre plus compétitives les chances de RVI sur le marché. Secrétaire de la section communiste de l’usine de Vénissieux, Daniel Pellegrin estime que « l’éclairage fournit par le PCF sur les conséquences néfastes de l’accord Renault-Volvo a progressivement éveillé les consciences ». Diffusion de « l’Humanité » avec ses quatre pages quotidiennes Rhônes-Alpes, distribution de « Plein Phare » le journal communiste d’entreprise, réunions de cellules, assemblées publiques autours des militants du PCF, se soldant par des adhésions (4 depuis le début de l’année), ont en effet fait germer quelques idées dans les têtes. Agé de 52 ans, cheveux et barbe poivre et sel, Serge a travaillé sur tous les postes. Ce fraiseur estime qu’avec une moyenne d’âge de 43 ans, « l’usine a besoin d’un coup de jeunes ». La semaine dernière les militants de la CGT avaient installé au coeur de Lyon un bureau d’embauche, vingt jeunes se sont inscrits, dont un ingénieur.

Dans quelques jours les communistes de l’usine, André Gérin, maire de Vénissieux, et les jeunesses communistes rassembleront des jeunes en quête d’emploi et de formation. « Certes, il y a encore beaucoup de gars qui ne disent rien, attendent la liste des suppressions d’emploi en faisant le dos rond, mais il y a aussi ceux qui parlent, redonnent du courage, montrent qu’on peut contraindre la direction à modifier sa stratégie ». C’est le sentiment de Christian. Ce régleur appuie sa conviction sur le fait que confrontée au refus de l’ensemble des syndicats (qui ont obtenu une expertise sur les comptes lors de la dernière réunion du CCE), la direction a du remiser au placard, pour au moins 49 jours, son plan de licenciements.

A une quarantaine de kilomètres au sud, Annonay (Ardèche). Ici l’inspecteur du Travail vient de refuser le licenciement de Francis, un ouvrier de l’usine RVI, où est fabriqué le FR1 (un super car, primé lui aussi). Si la direction évoque une baisse de la production pour justifier les suppressions d’emplois, l’inspecteur du Travail écrit : « Considérant que l’évolution du carnet de commandes du FR1 ne traduit pas une baisse (...) Considérant l’augmentation des cadences (...) l’autorisation sollicitée est refusée ». « Même si on a effectué 4576 heures supplémentaires en février, dit Albert Thoué, secrétaire du syndicat CGT, la plupart des clients doivent patienter neuf mois au lieu de trois avant d’être livrés ».

La faute à qui ? Manque d’effectifs répondent les communistes de l’usine, alors que la direction organise des séjours au château des Célestins, une bâtisse située à quelques kilomètres d’Annonay, pour essayer de convaincre les salariés d’empocher 50.000 francs et de faire leurs valises. Pour l’heure l’invitation demeure sans suite. C’est que le petit journal des communistes, « Les rouges du losange », dénonce régulièrement cette fausse sortie, et montre du doigt ces dizaines de cars rangés sur le parc de l’usine. Fabriqués ici pour Mack. Partis aux Etats-Unis, puis rapatriés, ces véhicules sont aujourd’hui destinés à la casse, ou bradés au Zaïre...

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Excellente cette blague , non ? En plus c'était le 25 avril ..
C'est pas "vieux" ... Mr. Green

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